mercredi 15 juin 2022

Le réajustement permanent des frontières

Les frontières apparaissent au cours de l’histoire comme une nécessité, mais en même temps comme une forme qui doit être rectifier périodiquement. Ces rectifications, quoi qu’on en pense sont toujours le résultat d’un processus politique plus ou moins violent. A l’intérieur de celles-ci, il y a toujours une tension, entre ceux qui sont pour une ouverture ou une abolition des frontières, et ceux qui à l’inverse défendent la fermeture. Les premiers on les a vu à l’œuvre en tant que collaborationnistes pendant l’Occupation. Leur idée qui a été reprise telle quelle par les européistes est que cette abolition permet une meilleure coopération dans la paix. Les seconds pensent au contraire que leur culture et leur civilisation sont en jeu, et qu’une trop grande ouverture des frontières éradiquerait au-delà de la civilisation la mémoire des peuples. Bien entendu, entre les deux les prises de position se dégradent de la plus grande fermeture à la plus grande ouverture. Les raisons le plus souvent invoquées pour ce processus de réajustement sont d’ordre économique – l’ouverture ou le protectionnisme sont bons pour le développement – ou d’ordre civilisationnel – on préfère l’entre-soi ou on préfère se mélanger, se créoliser comme dirait Jean-Luc Mélenchon. L’Union européenne est un projet pétri de contradictions, non seulement elle est incapable de définit clairement ses frontières, celles existantes, comme celles projetées, mais ses contours ne sont pas vraiment fixés. Il y a quelques années un énergumène polonais qui s’était fait remarquer à cause d’une hisqtoire de plomberie et à qui on posait la question disait qu’il était envisageable que l’Union européenne inclut à terme le Japon. Cette bévue avait fait rire bien entendu, mais au-delà de la bêtise de son auteur, elle prouvait que même les européistes les plus convaincus n’avaient pas une idée vraiment claire de l’espace dans lequel ils voulaient développer leur projet. 

Les économistes américains considèrent souvent que l’Union européenne est un espace fermé à leurs marchandises et à leurs capitaux, et qu’ainsi ils reviennent à un protectionnisme honteux, à la fois entravant le développement économique, mais aussi entravant l’idée même de liberté. On est très loin de Vauban qui justifiait les frontières de la France du point de vue de la spécificité d’un espace borné par les mers, les montagnes ou les fleuves[1]. Pour lui c’était la seule manière de construire la paix. Il n’était pas le seul à penser cela, la plupart des auteurs mercantilistes supposaient que la raison conduirait à la stabilisation des frontières, à la paix et au développement économique. Le libéralisme renversa cette proposition, arguant que seule l’ouverture des frontières permettrait la paix et la prospérité. Passons sur la Guerre de l’opium qui vit la France, l’Angleterre et les Etats-Unis ouvrir les frontières de la Chine à coups de canons, au nom de la liberté[2]. L’histoire récente du capitalisme montre que c’est au contraire l’idée d’ouverture tous azimuts qui crée les conflits et les guerres. La plupart des guerres engendrées par l’Impérialisme américain depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le monde entier, jusqu’à celle d’aujourd’hui engagée en Ukraine, se sont faites au motif d’apporter le bien, la démocratie et le développement économique, voulant démontrer par là que l’idée même de frontière était mauvaise en soi et pour soi. La technique peut être directe ou indirecte, peu importe, il s’agit toujours de gérer un conflit armé, comme aujourd’hui en Ukraine, que les Américains ont voulu. Les Etats-Unis par ailleurs ont pourtant une vision très fermée de leurs propres frontières, comme la tentative de Donald Trump de construire un mur à la frontière du Mexique le montre. Mais ces violations américaines des frontières, comme en Serbie par exemple, entraîne des morts et des crimes de guerre qui ne leur sont pas imputés, parce que s’ils ont la plus grosse capacité militaire de la planète, ils ont aussi la haute main sur les instances juridiques au niveau international. On l’a vu quand il a fallu, en 2012, faire des procès abusifs à l’Argentine pour défendre le fonds Elliott et appauvrir un peu plus les malheureux Argentins[3]. Peu ce sont émus de cet énorme scandale, sans doute pour mieux se réserver pour verser des larmes de crocodiles sur l’Ukraine dix ans plus tard. Ils ont manipulé le droit pour faire en sorte qu’ils aient les capacités d’intervenir juridiquement contre des concurrents, dès lors que les marchés se font en dollars. C’est une autre manière de violer les frontières, à la surpuissance militaire, ils ont ajouté des principes juridiques qui ne sont valables que pour eux-mêmes ! et ça marche très bien, personne n’osant soulever cette inégalité de fait face à la loi. C’est ce qu’on appelle l’extraterritorialité du droit américain qui est la seule forme juridique au monde qui s’applique en dehors de leurs frontières. Si cette manière de faire la guerre – y compris d’ailleurs à ses alliés – est comprise comme un acte malveillant aujourd’hui, aucune instance internationale, qu’elle s’appelle l’ONU, l’OTAN ou autre chose, n’est intervenu pour s’y opposer. Cette particularité est le complément de la puissance militaire américaine, mais aussi de la puissance de sa monnaie. Elle permet de racketter tranquillement les entreprises ou les citoyens d’un pays qui ne se plient pas à leur injonction[4]. On a vu ça récemment avec ce scandale très vite étouffé d’Alstom, quand, pour accélérer la vente de ce joyau de l’industrie française, l’Etat américain a mis en prison et poursuivie des dirigeants français de cette entreprise[5]. Cette extraterritorialité du droit américain est bien plus qu’un viol des frontières, c’est la superposition d’un droit étranger au droit national. Toutes les années la justice américaine utilise son extraterritorialité juridique qui n’a pas de réciprocité, pour voler des milliards de dollars aux entreprises et citoyens européens par exemple. Il est clair que tôt ou tard les nations seront obligées de réagir à cette agression qui est une forme de pillage sans intervention militaire, mais aussi d’éliminer des concurrents potentiels quand les Etats-Unis veulent s’approprier un marché juteux pour ses entreprises comme par exemple la reconstruction de l’Irak[6]. Cette manière de faire a été longuement analysée dans l’ouvrage de Naomie Klein, La stratégie du choc, montée du capitalisme du désastre[7]. 

Liste des coups d’Etat fomentés par l’Impérialisme américain depuis 1945 en Amérique latine 

Mais la guerre juridique ou monétaire n’est pas la seule arme utilisée par le capitalisme américain et plus généralement de l’Occident. Avant on parlait de complexe militaro-industriel, puisque cela voulait dire que l’industrie de l’armement était un élément décisif dans l’accumulation du capital.  Mais on a oublié cette logique, jusqu’aux guerres en Irak dont la justification américaine devant l’ONU tenait de l’escroquerie intellectuelle et qui apparaitront comme une dépense ruineuse et inutile[8]. Sans le dire les pays occidentaux sont des fauteurs de guerre qui ravagent – à travers leurs coalitions plus ou moins bancales et forcées – les pays émergents ou en voie de développement qui voudraient échapper à leur tutelle. Les guerres qui surgissent ici et là depuis quelques dizaines d’années – disons depuis la chute de l’Empire soviétique – et qui le plus souvent sont repoussées pour l’instant à l’extérieur du monde occidental se présentent la plupart du temps comme un réajustement des frontières. Bien avant qu’on ne se rende compte de l’importance du problème ukrainien, on a vu par exemple la Turquie d’Erdogan annexer une partie du nord de la Syrie, en évacuer les populations Kurdes et les remplacer par des Turcs, dans l’indifférence. Cela s’est passé sous les yeux de l’Occident qui n’a pas levé un sourcil, et avec l’assentiment des Allemands, grands alliés du potentat turc. On l’avait vu aussi avec l’effondrement de l’URSS, et de celui presque simultané de la Yougoslavie. Le premier ensemble a été dépecé et a donné naissance à de nouvelles entités nationales autonomes, dont l’Ukraine bien entendu, mais aussi la Moldavie et la Georgie qu’on essaie d’enrôler aujourd’hui dans l’OTAN. La seconde s’est achevée dans le chaos de la guerre en Serbie avec ses lots d’horreurs dont les bombardements américains qui n’ont pas ému grand monde, on a entériné l’idée de l’OTAN d’une partition et baptisé de nouvelles nations sur le front de l’ONU. La Tchécoslovaquie a été elle aussi partitionnée dans un accord à l’amiable avec la création de la République tchèque et de la Slovaquie. C’est un des rares cas où la partition se fait sans guerre. En Palestine il n’a pour l’instant pas été possible de partitionner ce territoire entre deux Etats vraiment autonomes, Israël existe bien comme un Etat à part entière, mais les Territoires palestiniens restent une réalité fantomatique, et la population arabe d’Israël menace de faire sécession. Les frontières des pays d’Afrique sont le plus souvent incertaines, la Maurétanie et le Maroc se disputent depuis des décennies le Sahara occidental. La Chine a récupéré Hong Kong à la fin du XXème siècle et prétend récupérer le plus tôt possible Taïwan qu’elle considère comme faisant partie de son territoire. A cela s’ajoute les revendications autonomistes en Catalogne, en Ecosse, voire en France et au Canada, et encore la volonté de réunification des deux Irlande. 

Annexions turques récentes en Syrie 

Pour cette raison, il faut regarder la guerre en Ukraine comme un simple cas de ce processus constant en Europe d’un réajustement permanent des frontières. Dans tous les cas de rectification des frontières que l’Europe a connu au fil des derniers siècles, il y a une hétérogénéité des populations qui sont censées composer une nation. Cette hétérogénéité est à la fois ethnique et langagière. Retracer les frontières d’une nation existante, doit être compris comme le résultat d’un échec à unifier la langue et la population. Le cas de l’Ukraine est exemplaire à cet égard, nation faite de pièces et de morceaux, elle est aujourd’hui, dans ses frontières de 1991, divisée au moins en trois régions. L’Est est russophone et ses habitants ont l’habitude de travailler avec les Russes, voire ils se sentent Russes, souvent ils sont plus proches de la Russie par leurs liens familiaux que des Ukrainiens de l’Ouest. Ces derniers, sur près d’un tiers du territoire sont proches de la Pologne, reste un gros tiers au centre de la nation qui en représenterait le cœur, à défaut d’en représenter la vérité. En Pologne on trouve des politiciens qui revendiquent les deux régions les plus à l’Ouest, la Volhynie et la région de Lviv, arguant que celles-ci sont constitutives de la Pologne authentique. Dans le Donbass, il est clair qu’un référendum non seulement entérinerait son autonomie, mais conduirait, selon la volonté populaire, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, à un rattachement à la Russie, sans qu’il soit besoin de truquer les élections depuis Moscou. 

Partage de l’Ukraine selon les langues 

La mondialisation avait, au moins sur le plan de la rhétorique, pour ambition de rejeter vers l’arrière les questions frontières, en adhérant à des ensembles supranationaux, on pensait que cela suffirait pour éviter de se pencher à nouveau sur la question du tracé des frontières. Cela n’a pas été le cas, au contraire. Si en Ukraine on voit bien qu’une des raisons à la guerre est la volonté d’intégrer ce territoire à l’Union européenne et à l’OTAN, à l’inverse, c’est la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne qui a relancé la question des frontières avec l’Irlande, mais aussi la possibilité d’une indépendance de l’Ecosse. Il y a quelque chose d’illogique en Occident de réclamer la liberté pour les migrants et de demander au contraire de renforcer ces frontières pour faire face à une invasion russe. L’Union européenne manie un double langage : d’une part elle se dit totalement ouverte pour les flux de marchandises, puisqu’elle place la loi du marché au-dessus des frontières et des législations nationales, mais d’autre part elle nous raconte qu’il faut se renforcer en intégrant de nouveaux pays à son ensemble déjà fortement hétérogène. En intégrant de nouveaux arrivants dans l’ensemble européen, c’est une modification des frontières qui ne dit pas son nom, exactement comme quand l’OTAN augmente le nombre de ses bases autour de la Russie, ou comme quand la Crimée, Donetsk et Lougansk, réclament leur autonomie. On a suffisamment insisté sur le fait qu’au fil des années, les frontières de l’OTAN s’étaient élargies pour encercler la Russie, sans même parler des provocations incessantes que ce pays a subies. 

Expansion continue des frontières de l’OTAN 

Les exemples récents nous montrent que le réajustement des frontières est une constante de l’histoire humaine. Ce qui veut dire que l’espace géopolitique fonctionne à la fois avec la mise en place des frontières et avec son dépassement. C’est presqu’un fait de nature. Ces mouvements montrent que l’idée de fin de l’histoire qu’on a vendue aux imbéciles au début des années quatre-vingt-dix à travers l’ouvrage médiocre de Francis Fukuyana, The end History and the last man[9] reposait sur une très mauvaise lecture de Hegel[10]. Les mouvements de recomposition permanente des frontières est constitutif de l’Histoire. Les moyens de la recomposition de ces frontières sont plus ou moins lents, ils sont au moins au nombre de trois :

politiques, des accords, des votes et des traités, par exemple quand l’Union européenne annexe à sa logique une nouvelle nation, ou quand les républiques du Donbass et la Crimée proclament unilatéralement leur indépendance. Les européistes qui critiquent si frénétiquement la rectification des frontières en Ukraine, trouvent tout à fait normal d’acheter quelques politicards véreux pour accroitre leur ère d’influence en intégrant de nouveaux pays à sa logique mortifère ;

militaires, une armée intervient brutalement soit pour annexer une partie du territoire contre la volonté même de la population, comme ce fut le cas quand l’Allemagne par trois fois a prétendu annexer l’Alsace et la Lorraine ; 

 

  économiques et démographiques, quand les échanges de marchandises ou les migrations recréent des relations transfrontalières, subies ou décidés. Les marges de la nation française ont toujours été très réticentes à accepter un excès de centralisation du pouvoir.

C’est une question qui est bien connue depuis longtemps et qui a alimenté au XVIIIème siècle le débat sur le protectionnisme. François Quesnay dans ses articles intitulé Grains et Fermiers, publiés en 1756 s’avance vers l’idée d’une libéralisation du commerce du blé, au motif que cela fera augmenter le prix du blé et que cela sera bon pour les fermiers et donc que cela ranimera l’agriculture française qui deviendra dominatrice et rendra dépendantes les autres nations[11]. Mais Ferdinando Galliani dans ses Dialogues sur le commerce des bleds[12], va montrer que l’ouverture des frontières modifie les formes spatiales du marché et si elle augmente le prix du blé pour les fermiers, elle va priver la France et donc les plus pauvres de cette denrée essentielle pour l’indépendance de la nation. L’abolition des frontières recrée un nouveau centre pour le commerce, plus à l’Est au détriment des populations françaises situées à la périphérie du royaume. Bien que les économistes d’aujourd’hui soient bien moins formés que les économistes du XVIIIème siècle à ce type de dialectique, certains se sont tout de même aperçus que l’appartenance à l’Union européenne, consolidée par la monnaie unique, présentait un inconvénient difficile à surmonter, se traduisant par un déficit commercial colossal et croissant avec l’Allemagne, et par une influence politique augmentée de Berlin[13].   

La logique des modifications des frontières repose très souvent sur une logique démographique. Les migrants dont on tolère et dont on justifie le viol permanent des frontières pour des raisons non pas de droit mais « humanitaires »[14], sont poussés par leur fécondité à s’éloigner de leurs pays d’origine pour chercher un sort meilleur. Mais la fécondité n’est pas la seule dimension de la démographie. La volonté des populations russophones du Donbass de se détacher de l’Ukraine repose sur la nécessité d’échapper aux brimades et aux discriminations qu’elles endurent de la part du pouvoir de Kiev, mais aussi sur les liens anciens familiaux et culturels qu’elles ont noués avec la Russie. Autrement dit elles ne veulent pas être coupées de ce qu’elles considèrent comme leurs racines. Chaque bloc démographique va avoir une lecture différente d’un conflit qui peut prendre des allures de guerre. Par exemple, lorsque les alliés ont débarqué en France, en Méditerranée, puis en Normandie, les pétainistes et les collaborateurs considéraient cela comme une agression, les autres comme une Libération. Le second bloc était plus nombreux et plus enthousiaste que le premier. Plus récemment, la presse occidentale a présenté la victoire des troupes russes à Marioupol comme un viol de la souveraineté ukrainienne, laissant entendre que les populations de cette ville étaient traumatisées par les exactions de l’armée russe. Mais plusieurs films qui ont circulé sur les réseaux Internet, montraient à l’inverse que les Russes étaient accueillis dans cette ville comme des libérateurs[15]. Dans le Donbass, et donc à Marioupol aussi, c’est le groupe qui considère les Russes comme des libérateurs qui est, et de loin le plus important. Il n’est pas question de dire ici que ces deux manières de voir une action militaire est équivalente dans un camp ou dans un autre, mais seulement de souligner que la logique du conflit dépend de la vision que les populations locales en ont. Les populations du Donbass qui luttent depuis 2014 contre les abus du pouvoir de Kiev, trouvent dans l’aide de l’armée russe une raison de se couper définitivement de l’Ukraine officielle. 

Les habitants de Marioupol accueillent les soldats russes comme des libérateurs 

Comme on le comprend, une défaite de l’OTAN et des Etats-Unis dans la guerre qu’ils ont entamée contre la Russie par Ukrainiens interposés, serait d’abord une défaite de la mondialisation et un retour, une consolidation, vers un souverainisme actif, donc un renouveau du fait national. Dans un article fort intéressant, Jacques Sapir expliquait comment les sanctions occidentales désordonnées qui ont très peu d’effet sur l’économie et la politique russe, poussent la Russie à recentrer son économie sur elle-même, mais aussi à modifier ses circuits d’échanges commerciaux, abandonnant l’Europe occidentale au profit de la Chine et de l’Inde qui ne jouent pas le jeu des sanctions[16]. Croyant enfermer la Russie dans une tenaille commerciale et financière, les Occidentaux au contraire travaillent à leur propre exclusion de l’espace mondial de la dynamique des échanges ! Il reste à espérer que la perspective de la défaite ne pousse pas les Etats-Unis et l’OTAN à transformer un conflit localisé en une nouvelle guerre mondiale.


[1] Sébastien Le Prestre de Vauban, Oisivetés, édition intégrale établie sous la direction de Michèle Virol, Champvallon, 2007

[2] Julia Lovell, La Guerre de l'opium, Buchet-Chastel, 2017

[3] Éric Dor, « Dette argentine : jusqu’où porte la juridiction autoproclamée de la justice américaine ? », Outre-Terre, vol. 43, no. 2, 2015, pp. 22-44

[4] https://www.afje.org/actualite/la-portee-extraterritoriale-des-sanctions-en-droit-et-en-fait--253

[5] https://www.nouvelobs.com/economie/20180403.OBS4588/affaire-alstom-general-electric-frederic-pierucci-l-homme-qui-en-sait-trop.html

[6] https://www.touteleurope.eu/l-ue-dans-le-monde/extraterritorialite-du-droit-americain-l-europe-face-aux-etats-unis/

[7] Actes Sud, 2010.

[8] Joseph Stiglitz & Linda Bilmes, The Three Trillion Dollar War: The True Cost of the Iraq Conflict, W.W. Norton &

[9] Free Press, 1990, traduction en français sous le titre La fin de l’Histoire, Flammarion, 1992.

[10] FESSARD Gaston, SALES Michel, « Le problème de la fin de l’Histoire », dans, Hegel, le christianisme et l'histoire. sous la direction de FESSARD Gaston, SALES Michel. Presses Universitaires de France, 1990.

[11] Articles republiés dans François Quesnay. Œuvres économiques complètes et autres textes, INED, 1958, tome deux.

[12] Publiés par Denis Diderot en 1770 à Londres, sans nom d’auteur. Réédition en 1984 chez Fayard.

[13] https://www.cep.eu/eu-themen/details/cep/20-jahre-euro-verlierer-und-gewinner.html

[14] https://www.france24.com/fr/france/20210331-aide-aux-migrants-la-cour-de-cassation-relaxe-d%C3%A9finitivement-le-militant-c%C3%A9dric-herrou

[15] https://www.donbass-insider.com/fr/2022/05/17/la-vie-reprend-a-marioupol-des-ecoles-sont-ouvertes-aux-enfants/

[16] https://www.les-crises.fr/comprendre-les-dilemmes-de-l-economie-russe-aujourd-hui-jacques-sapir/

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