Cet ouvrage placé sous le patronage de Robert Giraud,
de Jacques Yonnet, de Jean-Paul Clébert et de Robert Doisneau, est une sorte de
dérive dans Paris, avec comme quartier pivot, les Halles qui n’existent plus.
Patrick Cloux nous parle d’un temps où les bistrots existaient encore en grand
nombre, non seulement à Paris, mais ailleurs. Le nombre de bistrots en France n’a cessé de baisser au fil des années. Il
y a plus d’un siècle (en 1910), on en comptait plus d’un demi-million dans l’Hexagone.
50 ans plus tard, il n’en reste déjà plus que 200 000. En 1970, on en
compte moins de 100 000. Si l’on en croit les chiffres récents de l’Insee,
la France ne compte plus que 36 176 bistrots pour
l’année 2015. C’est très certainement la rançon de ce qu’on appelle le progrès.
Donc, dans un premier temps, Cloux va nous raconter le Vieux Paris, les années
cinquante-soixante, dérivant entre les Halles et la Maube. A travers le
catalogue de cette curieuse librairie, il enfile les auteurs et leurs ouvrages
pour tenter de rendre compte d’un Paris qui est mort et enterré. Pour la
plupart, l’écriture et le vin sont le compte rendu d’une lente dérive, d’un
bistrot à un autre, d’un copain à un autre, mais aussi une attention pour
toutes ces cloches et ces marginaux, tous ceux que la vie a laissé de côté, sur
le bord de la route du progrès et de l’ambition. Ce qu’il y a de commun à tous
ces écrivains c’est qu’ils s’en foutent royalement de faire carrière, ils
écrivent pour leur bon plaisir et celui des amis. A part Jean-Paul Clébert, et
encore, les autres ne seront jamais des vrais professionnels de l’écriture.
Catalogue donc, mais pour la bonne cause, et surtout pour ceux qui ne
connaissent pas cette littérature si particulière. Cloux a de bonnes
références, c’est certain. On va donc aller, par une série de glissement
successifs, de la Libération à aujourd’hui. Et en même temps on verra comment
se ferment et son combattus les espaces de la marge.
Ce n’est pas à coups
de trique que cela se fait, mais à coups de rénovations incessantes, de
gentrification. Quand Yonnet, Giraud et quelques autres fréquentaient la Maube,
c’était peut-être central, mais pas du tout bien fréquenté au sens que l’on
peut donner à ce mot aujourd’hui. Il y avait tout un milieu de petites gens,
les biffins, les saoulots, des truands aussi c’est ce qui plaisait à Guy Debord
qui se réfugia un temps rue Montagne Sainte-Geneviève, avant que de rejoindre
les Halles. Ce quartier est aujourd’hui très cher et cossu. En quelque sorte on
en a chassé le peuple de Paris. C’est une histoire de grand remplacement si on
veut.
Les Halles c’était le ventre de Paris comme disait Zola. Que des commerces de bouche, du gros et du demi-gros, mais aussi du détail. C’était pour le coup très coloré, dans tous les sens du terme. Tout autour se greffaient des activités plus ou moins licites, des bistrots dans les rues adjacentes, des restaurants où on pouvait souper après le spectacle, des putes et des marlous, des trafiquants de tout et de rien. C’était non-stop, de jour comme de nuit. C’est de cette poésie que les écrivains que nous avons cités vivaient, non pas que leurs ouvrages leur rapportaient beaucoup de thunes, mais plutôt parce que cette poésie vivante avait trouvé son support dans cette activité toujours plus dense. Il y avait quelque chose de fascinant dans cet étalage d’une débauche de fromages, d’œufs, de viande, de légumes et de fruits. Dans Voici le temps des assassins de Julien Duvivier, film que Cloux cite fort justement, on peut y voir Jean Gabin, patron d’un restaurant réputé, faire ses courses sur le pas de sa porte ou quasiment. Ça grouille énormément. Frédéric dard sous le nom de San-Antonio, écrira La tombola des voyou, une aventure de son commissaire située dans ce quartier. Il en restituera excellemment l’ambiance. Sortant de la guerre et des restrictions féroces de l’Occupation, l’heure était à la bouffe, tout pour la gueule. Ça ne va pas durer.
Et puis le temps
passa, et on commença à se préoccuper de plus en plus de son corps de son
hygiène, l’alcool fut banni et on décida de cacher les Halles. C’est Michel
Debré qui en 1960 décida de la destruction des Halles et de leur déménagement
vers Rungis, déménagement qui fut longtemps repoussé jusqu’au début de l’année
1969[1].
Cette deuxième phase, présentée comme une rationalisation de l’espace urbain,
se justifiait soi-disant par la nécessité d’avoir aussi un lieu plus vaste et
plus facile d’accès pour les commerçants. Du même coup qu’on détruisit les
pavillons Baltard, on allait livrer l’espace ainsi libéré à la spéculation
immobilière – une passion parisienne tout de même – et au remplacement des
commerces de bouche par des boutiques de fringues et autres inutilités. En même
temps on coupait les Parisiens de leurs approvisionnements alimentaires. Cloux
fait remarquer que la décision de remplacer les Halles par un MIN – Marché
d’Intérêt National – date du moment où les grandes surfaces ont commencé à
proliférer. Ce fut un immense malheur, on parla de L’assassinat de Paris[2].
Certes on avait auparavant détruit une première fois cette ville avec les
travaux du Baron Haussmann, mais là c’était à la totalité de la mémoire qu’on
s’attaquait. L’ignominie fut complétée par la construction du Musée Beaubourg
qui n’est pas très loin des Halles, qu’on appelle plus communément le Centre
Pompidou pour qu’on se souvienne que le responsable premier de cette
destruction était bien le successeur de de Gaulle. Dans les deux cas la laideur
fut au rendez-vous. Certes on peut toujours arguer que les villes doivent
évoluer avec leur temps. Mais quand ce temps est celui de la marchandise,
est-ce bien utile ? En même temps qu’on célébrait les noces de l’argent
sur cette destruction, on chassait les Parisiens de leur ville. On les renvoyait
vers la périphérie, toujours plus lointaine au fur et à mesure que le prix de
l’immobilier augmentait et qu’on construisait aussi des lignes de transport,
métro et RER pour les évacuer. On trouvera d’ailleurs un accélérateur à ce
processus ; l’abolition progressive de la loi de 1948. Cette loi de 1948
avait été votée à la Libération pour protéger les plus pauvres de la
spéculation immobilière, et donc avec son abolition, il s’agissait de permettre
à la fois d’augmenter les loyers, faire grimper vertigineusement le prix des
biens immobiliers et se débarrasser des pauvres. Cette loi de 1948 avait comme
effet de maintenir les quartiers de Paris en vie, de les protéger en
stabilisant leur population. Ce qui entravait la course au profit par les
moyens de la spéculation immobilière. Cette abolition est d’ailleurs à
l’origine des APL car si en abolissant cette loi, on savait que les loyers
allaient augmenter, on prétendit – Valéry Giscard d’Estaing – compenser cette
augmentation par des aides. Mais le remède fut plus terrible que le mal puisque
ces APL permirent aux propriétaires d’augmenter encore les loyers et d’exclure
encore plus les plus pauvres des centres-villes. Ce qui était le but. Cette
« gentrification » était en fait une manière de détourner les hausses
de la productivité du travail vers les propriétaires oisifs et rentiers,
creusant du même coup les inégalités. On remarque qu’en France ce travail fut
très violent, comme en Angleterre et qu’il fut pour partie mené par un lobby de
l’immobilier très puissant qui travailla à modifier les lois à son profit –
destruction de la loi de 1948, prêts à taux bonifiés pour les entrepreneurs de
la construction – notamment en finançant les campagnes électorales des
politiciens de droite, gaullistes et giscardiens ensuite[3].
Certes ces intentions n’étaient que rarement avouées – Jean-Claude Gaudin n’aura pas ce genre de scrupules et avouera qu’il veut bien remplacer les vieux marseillais pauvres par des Parisiens transplantés, mais plus riches – cependant, c’est bien ce qui se passa. La déportation se fit en masse, et à coups de bulldozers. C’était la même technique que celle des Allemands à Marseille qui, en 1943, détruisirent la vieille ville et déportèrent ses habitants en masse aussi[4] . Les Boches avaient avancé sous la pression discrète de certains notables de la ville, que cette destruction et cette déportation étaient nécessaires pour des raisons d’hygiène et de sécurité. C’est toujours la même rengaine de la purification de la ville. Sur le très long terme et pour des raisons compliquées, le projet de Gaudin échouera : le centre-ville de Marseille a du coup été complétement délaissé, abandonné, et cet abandon fut très visible dans l’effondrement bien réel de deux immeubles de la rue d’Aubagne qui entraîna la mort de huit personnes[5]. Si cette entreprise a échoué, c’est surtout parce que Marseille est une ville très pauvre, en déclin depuis des décennies, sans classe moyenne supérieure ascendante. Paris a au contraire saisit l’opportunité de faire étalage de sa richesse en donnant son cœur de ville aux plus riches. Mais ce transfert historique a pu se faire parce que la ville attirait toute la richesse d’un grand Etat très centralisé.
Les vieilles Halles du temps où Paris était encore Paris
Quand on regarde l’histoire des Halles à travers le regard de Patrick Cloux, il y a bien un cheminement, mais d’abord vers la laideur. Déjà en détruisant les pavillons Baltard, on tuait la mémoire des lieux. Peu à peu les commerces de bouche, et les artisans, ont été remplacés par des bureaux et des commerces de fringues et autres marchandises modernes. Si dans le quartier on ne risque plus de trouver des marchands de vin et des bougnats, on peut y voir tout de même des salles de sport où transpirent des jeunes cadres dynamiques ! Ce désastre a eu lieu dans toutes villes, moyennes ou grande, c’est le produit du sale travail des aménageurs urbains qui effacent toutes les différences et les spécificités des lieux derrière des normes architecturales qui ressemblent à une police des esprits et des comportements. Mais c’est un marché très juteux. Cloux est relativement tendre avec l’ignoble Pompidou, sans doute parce qu’il était auvergnat ! Mais les saloperies de cet homme politique ne se comptent plus. Rappelons-nous que c’est lui qui en 1967 lancera le démantèlement de la Sécurité Sociale. Il y eut à ce moment-là des manifestations énormes qui préfiguraient en fait ce que sera Mai 68. Pour notre sujet, plus précisément, non seulement il a fait Beaubourg, mais en plus il a détruit les Halles au nom de la modernité. Détruire ces deux quartiers, c’était tuer Paris. Ce crime contre l’Humanité fait que cette ville n’est plus aujourd’hui qu’une marchandise pour les touristes qui viennent s’esbaudir devant les cendres de Notre-Dame de Paris, le Louvre ou Beaubourg. Ce crime demandait des complicités nombreuses pour se commettre. D’abord évidemment les architectes qui avaient flairé qu’une telle transformation rapporterait beaucoup d’argent. Plus récemment, on a construit au-dessus du Forum des Halles une Canopée ! Comme si le caractère lugubre des lieux ne suffisait pas ! Mais cette Canopée – rien que le nom me donne le mal du macaque – a coûté aussi 1 milliard d’euros ! Une paille ! Et forcément comme toujours en ce qui concerne la « rénovation urbaine », les pots de vin sont proportionnels aux sommes en jeu. Cet aspect malheureux n’est pas soulevé par Cloux, il regrette bien sûr la disparition des Halles, mais il se refuse à faire le rapprochement avec la canaillerie des élus. C’est pourtant le moteur, Zola l’avait déjà remarqué dans L’argent (1891). En somme ce qu’on peut reprocher à Cloux, c’est de ne pas faire de politique. Or en matière de rénovation urbaine et de poursuite de la modernité, on ne peut faire qu’une lecture politique, voire même révolutionnaire. Beaucoup avait compris d’ailleurs qu’en déménageant Les Halles à Rungis, c’était bien plus qu’un changement d’époque dont il s’agissait. On basculait vers une restriction totale de la liberté. Car aux Halles on pouvait toujours y trouver des petits boulots qui dépannaient l’indigent, le provincial débarqué fraichement sur Paris.
Les Halles aujourd’hui avec la Canopée
Au-delà de faire de l’argent, il y a cependant autre chose,
le but ultime est de transformer la population en créant pour elle des normes
de comportement. Les nouvelles Halles représentent plusieurs caractéristiques
remarquables. D’abord, on a enterré les humains qui se livrent au plaisir
louche du shopping. Avançant comme des zombies, immobiles sur des escaliers
roulants, ils présentent un air hagard qui laisse entendre qu’ils ne sont pas
vraiment vivants. C’est pour ça qu’on a fait de ce peuple de consommateurs des
sortes de troglodytes qui périodiquement vont habiter les entrailles de la
ville. En même temps, si on observe bien, ce peuple pressé reste très discipliné.
Il avance comme on lui dit d’avancer. Il va et vient entre des boutiques
uniformes et interchangeables, comme s’il cherchait la sortie de ce piège
ruineux. Surveillé en permanence par des vigiles, il ne crie pas, ne fume pas,
ne manifeste rien, ni même un embryon d’envie ou de désir. C’est une foule très
disciplinée qui se rend dans les sous-sols pour prendre le métro ou le RER et
revenir dans son logement périphérique, elle n’habite pas Paris, c’est
seulement la marchandise qui règne au cœur de la ville. Patrick Cloux à
l’inverse nous explique comment le quartier des Halles était véritablement
habité. La foule est peut-être dense, mais l’espace est vide d’Humanité. Certes
les Halles d’antan n’étaient pas toujours très riantes, et on peut aujourd’hui
trouver écœurant le déballage de ces centaines de mètres carrés de barbaque,
surtout si on est végétarien, mais au moins, on ne la cachait pas. On pouvait
la voir et la toucher, aujourd’hui, la viande arrive chez votre boucher, déjà
découpée en morceaux, dans des cartons, parfois sous cellophane. C’est
l’hypocrisie de ce temps, on veut bien manger de la viande, mais on ne veut
rien savoir des conditions de son abattage, de son dépouillement et des
meurtres qui sont commis contre l’espèce animale[6].
Aujourd’hui on ne voit plus rien de ce travail, tout est caché, comme les
prisons, on a mis ça en dehors des villes pour laisser croire à une vie sans
luttes et sans aspérités. Ce n’est pas qu’à Paris que ce phénomène est apparu,
dans toutes les villes on a subi le même acharnement à faire disparaitre les
traces d’un labeur manuel, un peu indécent. Autour des Halles se tenaient donc
toute une série de boutiques d’artisans, elles n’existent plus beaucoup, ou
seulement à l’état d’exemple de ce qui a disparu et restent très chères,
réservées aux bourgeois friqués. Mais dans les Trente Glorieuses, on réparait,
il y avait encore des cordonniers, des réparateurs de porcelaine et de
parapluies, des menuisiers. Au rez-de-chaussée de l’immeuble où j’habitais, il
y avait un menuisier, et personne ne se plaignait de ce qu’il fasse du bruit à
taper avec son marteau, ou à scier de la planche. C’était les bruits du labeur.
Le pavillon de la viande aux
Halles vers 1948-1949
Un des éléments importants sur lequel insiste Cloux, c’est le chant et la musique. Musique sans le secours de l’électricité. Dans ces années-là, on pouvait entendre de l’accordéon, ou même la grande Fréhel pousser la goualante dans un bistrot pour un verre de vin et quatre sous, les pieds dans ses charentaises. Aujourd’hui aux Halles justement, depuis qu’on a fait la Canopée, il y a une salle – subventionnée, ça va sans dire – qui donne à entendre du rap, cette connerie sans parole et sans musique. Les plus vieux se souviendront du bruit des villes, les ouvriers qui chantaient en travaillant, les cours de récréation qui résonnaient de loin en loin, des chanteurs des rues qui ensuite vendaient les paroles des chansons sur de grandes feuilles, jaunes ou roses, vertes parfois, afin que tout le monde puisse suivre. Les écrivains qu’évoque Cloux sont toujours d’abord des conteurs, dont la logique s’inscrit dans les bistrots et les quartiers aux identités si marquées. Cloux d’ailleurs parlera d’« identitaires » pour expliquer ce comportement singulier, comme si l’oralité comptait plus que l’écrit.
J’ai parlé tout à l’heure de catalogue pour qualifier l’ouvrage de Cloux, ce n’est pas du tout une manière de dévaloriser son travail, bien au contraire. Dans la forme, et bien qu’il suive une sorte de chronologie, c’est volontairement une grande dispersion. On peut circuler entre tous les auteurs qu’il cite, la plupart de ces ouvrages non seulement sont excellents et poétiques – comme moi Cloux souligne la très grande importance de Jacques Yonnet – mais ce sont des classiques ou des livres d’histoire, comme on veut, qui non seulement parlent d’une ville qui est maintenant morte, probablement à jamais, mais aussi d’une langue, car en tuant Paris, c’est-à-dire en mettant à la porte son petit peuple, comme jadis on en chassait périodiquement les Juifs[7], c’est aussi un grand pan de la langue française qui disparaît.
P.S.
En faisant des recherches sur ce thème, je tombe sur le
livre de Françoise Fromonot[8]
qui raconte comment les Halles sont un objet de spéculation constant. On y fait
de l’argent en grande quantité, notamment dans les dépassements permanents des
différents chantiers de rénovation. La Ville de Paris a également bradé le
Forum des Halles à Unibail-Rodamco-Westfield, soit 100 000 m2
pour 1420 € le m2 ! Connaissant le prix du foncier commercial
dans le quartier, on comprend que la canaillerie porte sur au minimum 1
milliard d’euros. Une telle canaillerie ne peut exister sans une cascade de
pots de vin. On voit à quoi sert l’idée de rénovation permanente des centres-villes.
L’idée de préserver le patrimoine – dont on nous rabat les oreilles – ou de
garder une continuité historique, ça passe bien loin derrière la spéculation
immobilière qui est le fer de lance de l’enlaidissement permanent par les
urbanistes des villes.
[1] Jean-Louis ROBERT et Myriam
TSIKOUNAS (dir.), Les Halles : Images d’un quartier, Éditions
de la Sorbonne, 2004.
[2] Louis Chevalier, L’assassinat de Paris, Calmann-Lévy,
1977
[3] Voir sur
ce thème le film de Claude Sautet, Mado, 1976.
[4] Gérard
Guichetau, Marseille 1943, la fin du Vieux Port, Daniel Cie, 1973.
[5] https://www.bastamag.net/Marseille-rue-d-Aubagne-effondrement-logement-habitat-indignes-Gaudin-mal-loges
[6] Georges
Franju avait tourné sur ce thème un documentaire qui fit date, Le sang des
bêtes, 1949
[7] Chronique
métrique de Godefroy de Paris, suivie de la taille de Paris, en 1313,
publiées pour la première fois, d'après les manuscrits de la Bibliothèque du
Roi, par J.-A. Buchon, Paris, Verdière (Collection des chroniques nationales
françaises, 9), 1827
[8] Françoise Fromonot, La
comédie des Halles – intrigues et mise en scène, La fabrique, 2019
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