La politique de la brute, c’est la seule chose, avec la grossièreté que Macron et son gang connaisse. Après avoir emmerdé les cheminots, les chômeurs, les soignants, les Gilets jaunes et à peu près tout le monde sauf les fainéants et les rentiers, le voilà qu’il s’attaque aux non-vaccinés comme si c’était là une espèce à part, responsable du fait que le vaccin au bout de trois doses, et bientôt quatre, ne protège pas la population. Cette politique ridicule et ruineuse devait être prolongée par une nouvelle loi encore plus restrictive pour « emmerder » les non-vaccinés qui sont pourtant une population assez résiduelle. Cette pression s’est révélée contre-productive. Castex, Véran sous la direction du médiocre Macron ont tenté de faire passer une nouvelle loi liberticide qui instaure sans conteste un fascisme sanitaire. Mais comme macron est un pitoyable tacticien, il n’a pas compris qu’il était en campagne et que ses ennemis guettaient ses faux pas. Quelques jours après nous avoir jouer le vieux refrain de j’ai appris de mes erreurs, j’ai appris à aimer les Français[1], le voilà qu’il nous explique qu’en réalité, il déteste les Français, puisque jusqu’à preuve du contraire, les non-vaccinés sont aussi des Français comme les autres[2]. C’est une manière de présenter ses vœux ! Le résultat de ses foucades est que par deux fois la discussion sur sa loi liberticide a dû être interrompue au parlement. On a vu au parlement une coalition hétéroclite, de gauche et de droite, se former contre le parti croupion de Macron. Et même certains députés LREM se rebeller contre l’imbécilité et l’arrogance macronienne en la matière. Mais si cette histoire fait autant de bruit dans le milieu journalistique, c’est parce qu’il y a maintenant des doutes sérieux sur la pertinence de la politique sanitaire ruineuse poursuivie aveuglément. Si jusque-là la majorité des Français semblait suivre Macron dans sa démesure vaccinale, l’émergence du variant Omicron semble poser des questions, notamment parce qu’il semble moins dangereux que les précédents variants, et qu’en infectant une large partie de la population il serait finalement beaucoup plus efficace que les vaccins qui ont une durée d’efficacité très réduite dans le temps. Du coup le projet de loi présent n’apparait plus très clair, est-il vraiment destiné à améliorer la condition sanitaire, est-il destiné à vendre les derniers stocks de vaccins ? ou est-il un simple test de la soumission des Français ?
Cela fait maintenant un an qu’on vaccine à tour de bras, et
de mensonge en mensonge on se dirige vers une obligation vaccinale pour toute
la population, sous le couvert de « n’emmerder que les non-vaccinés »[3].
Le gouvernement qui a beaucoup menti, ment encore plus pour faire croire deux
choses :
– d’abord que ce sont les non-vaccinés qui posent problème,
et donc que ce sont eux qui doivent être traqués en priorité. On joue
évidemment sur la peur en avançant des chiffres de contamination 200 000 à
300 000 par jour, nous dit Véran dont la malhonnêteté n’est plus à démontrer.
– ensuite, après nous avoir dit que le vaccin serait efficace pour assurer l’immunité collective avec deux doses lorsque 60% de la population serait vaccinée, on nous dit maintenant qu’il faut 100% de vaccinés. Véran avait dit que la vaccination obligatoire n’était pas envisagée, mais plus récemment il a admis sa propre hypocrisie et celle de tout le gouvernement, en avançant que le pass vaccinal était bel et bien une forme d’obligation vaccinale[4]. Le gouvernement a toujours une excuse pour annoncer de nouvelles lois liberticides. Dans le cas d’espèce, il s’agit de dire que tout ça c’est la faute des variants qui « percent le vaccin ». Mais évidemment les variants ne tombent pas du ciel, c’est une création presque directe des vaccins. Autrement dit sans les vaccins, les variants ne seraient pas apparus. Cependant le gouvernement ne veut pas l’admettre, car s’il le faisait cela voudrait dire que sa politique sanitaire – guidée par les experts stipendiés des laboratoires pharmaceutiques – est un fiasco. Nous ne supposons pas que la pandémie doive être traitée à la légère. Il est assez facile de montrer pourtant que le vaccin contre le COVID est inefficace et que finalement ce sont les gouvernements qui en restant sous l’influence des groupes pharmaceutiques ne font pas le travail qu’on attend d’eux. Ce qui explique les légions d’honneur données à deux commerciaux des laboratoires, Agnès Buzyn et Jean-François Delfraissy[5], alors que la première citée est menacée de procès pour son inefficacité et son imprévoyance en tant que ministre de la santé, et que le second est accusé de conflit d’intérêt[6].
Le premier argument contre cette politique ruineuse et inefficace, c’est le gouvernement lui-même qui le donne. Dans la nouvelle loi qu’il prétend faire passer en comptant sur l’apathie des députés, il demande à ce que le pass vaccinal non seulement soit valide pour ceux qui ont reçu les trois doses, soulignant l’inefficacité des deux premières, mais en ajoutant que ce pass vaccinal sera impérativement accompagné d’un test négatif pour aller dans les restaurants, les cinémas, etc. Bien entendu, si le vaccin était efficace, on n’aurait pas besoin d’ajouter un test négatif. Mais pour l’instant cela marche avec la fable selon laquelle le vaccin à trois doses reçues protège, non pas de la contagiosité, on peut recevoir le COVID ou le donner en étant vacciné, mais des formes les plus graves qui conduisent à la réanimation[7]. 1, 2, 3 doses, nous en sommes au même point. Ce qui n’empêche pas le sinistre Delfraissy de pousser pour la quatrième dose[8]. Il emboîte ainsi le pas au PDG de Pfizer, Alain Bourla, celui qui est rémunéré 5 milliards de dollars par an, qui bien évidemment milite pour une quatrième dose. Cette quatrième dose est contestée de deux côtés, d’abord du côté de l’OMS qui avance qu’on ne s’en sortira pas en multipliant les doses[9]. Il va de soi que le gouvernement n’écoute pas ce genre d’avis qui remettrait en question non seulement la logique de sa politique sanitaire – le tout vaccinal – mais aussi ses liens avec les grands laboratoires. Et puis il y a Israël qui jusqu’ici était à la pointe de la vaccination tous azimuts et qui était pour une quatrième dose et qui maintenant fait marche arrière, sous-entendant par là qu’à tout le moins une quatrième dose ne servirait à rien[10]. Le problème est que le virus mute comme on le sait, et en mutant il fabrique des variants qui deviennent imperméable au vaccin. Comme on peut le voir dans le graphique ci-dessus, l’efficacité du vaccin diminue rapidement avec le temps.
Mais les résultats dont on dispose sont aussi alarmant d’un autre point de vue. Si je regarde la tableau ci-dessus, je vois que le nombre de décès est proportionnellement aussi important sinon plus chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. En effet les non vaccinés représentent environ 27% de la population, mais seulement 11 % des décès. Il est d’ailleurs remarquable que l’Afrique continent sous-vacciné mais aussi sous-équipé du point de vue hospitalier connaissent bien moins de décès que l’Union européenne. Pour toute l’Afrique, soit une population de 1,26 milliards de personnes, en septembre il y avait eu seulement 200 000 décès liés au COVID, soit bien moins que la France et l’Italie réunies qui avaient 245 000 décès du COVID pour une population de 127 millions de personnes, soit un taux de létalité 10 fois plus important que pour toute l’Afrique ! il est très clair qu’il n’existe aucune corrélation entre le taux de vaccination et le nombre de décès constatés du COVID. Cette disparité entre l’Afrique et l’Union européenne dans les taux de létalité semble montrer que le vaccin n’est pas efficace. En Europe nous sommes vaccinés deux doses à 68%[11], en Afrique le taux de vaccination ne dépasse pas les 3 %. Cette disparité dans les taux de létalité n’est pas commentée dans les médias, ni par le gouvernement, ni par Pfizer bien entendu ! Le monde disait que la catastrophe redoutée pour l’Afrique n’avait pas eu lieu[12]. C’est peu de le dire ! C’est même l’inverse qui s’est produit, ce sont les Européens qui ont connu la catastrophe et ce n’est pas fini !
|
|
Afrique |
Union
européenne |
|
Population |
1,27 milliards |
447 millions |
|
Décès COVID |
200 000 |
1 million |
|
Taux de vaccination |
3% |
68% |
Le nouveau variant Omicron a rendu les choses encore plus compliquées. En effet ce variant que Véran agite pour faire peut aux enfants présente trois caractéristiques :
– il parait très contagieux et se reproduire rapidement, ce
qui est une bonne nouvelle pour Véran qui justifie ainsi la vaccination des
enfants de 5 à 11 ans ;
– mais il semble que ce nouveau variant soit bien moins
virulent que le Delta par exemple[13].
Il ne semble ne provoquer que des formes bégnines et sa vie semble également de
courte durée, ce qui est une mauvaise nouvelle pour Véran qui ne pourra pas
justifier longtemps ses fantaisies liberticides ;
– enfin la mauvaise nouvelle pour Pfizer, c’est que le variant Omicron se moque du vaccin, c’est-à-dire que le vaccin est incapable, même sur le court terme d’enrayer la pandémie d’Omicron[14]. Pfizer l’a reconnu implicitement puisqu’il a annoncé un nouveau vaccin spécialement contre Omicron – soit une cinquième dose[15] ! Ce vaccin serait prêt selon son PDG multimilliardaire aux alentours de mars 2022, mais il est très probable que ce variant aura disparu à cette époque. Ce qui ne veut pas dire que Véran qui confond facilement entêtement imbécile et volonté politique, ne poussera pas à la consommation de ce nouveau vaccin. C’est un peu comme le iPhone 10, 11, ou 12, ça ne sert à rien de changer son appareil, ça n’amène aucun confort supplémentaire, mais les consommateurs veulent le tout dernier modèle. Le variant Omicron semble promis rapidement à disparaître aussi vite qu’il est venu, c’est ce que laissait entendre le Washington Post du 22 décembre 2021[16].
Il y a cependant beaucoup
plus intéressant. Une étude réalisé à Durban démontre que l’infection avec
Omicron protégerait du variant Delta, ce serait bien mieux qu’un vaccin et beaucoup
moins cher[17].
C’est très certainement une mauvaise nouvelle pour Pfizer qui vient d’être
condamné à la fin du mois de décembre à de nouvelles amendes de 345 millions de
dollars[18]. Ce
laboratoire en fait collection, à la fois pour des tromperies, pour
charalatanisme, pour un manque d’éthique et pour des stratégies fourbes de
monopole. Mais le chiffre d’affaires de Big Pharma se moque de ces imbécilités
comme de soigner des populations, leur œil est tourné uniquement sur la
rentabilité. On le sait depuis longtemps les prix des médicaments comme des
vaccins est sans rapport avec les coûts de production. J’avais signalé que la
marge de rentabilité du vaccin Pfizer était de 97%, le coût d eproduction de la
dose étant de 0,97 cts d’euro. Comment peut-on en arriver là sans parler de
corruption massive ? En effet quand la Commission européenne négocie pour
des achats massifs de doses chez Pfizer – la mari de Ursula Von der Leyen Heiko
Von der Leyen fournit des thérapies géniques qui se retrouvent dans les vaccins
de Pfizer – c’est d’un marché de 36 milliards d’euros. Non seulement le prix de
la dose qui était de 12 € est passé à 15 € puis à 20 €, alors que le coût de
production diminuait forcément avec l’amortissement des frais de recherche, mais
en outre, il était évident que Pfizer ne trouverait pas ailleurs des clients
aussi complaisants. On aurait pu par exemple acheter les doses, mettons à 5 €,
ce qui laissait encore un joli bénéfice pour la firme d’Alain Bourla. La
campagne de vaccination à l’échelle planétaire est estimée entre 150 et 200
milliards de dollars[19].
Comme on le comprend les gouvernements qui ont suivi les recommandations des grands laboratoires ne savent plus aujourd’hui à quel saint se vouer. Ils naviguent de confinement en rappel de vaccin, stigmatisant toujours plus les non vaccinés, ajoutant à la triple dose un test PCR négatif – ceinture et bretelles – pour aller au restaurant ou au cinéma, et puis rajoutant la jauge pour les spectacles, fermant les boîtes de nuit. Croyant, ou faisant semblant de croire, bêtement que ce sont les enfants qui accélèrent la circulation du vaccin, ils tentent de les faire vacciner contre pourtant les recommandations de l’OMS. C’est un grand désordre qui règne un peu partout en Europe. Il y a des choses tout de même bien difficiles à avaler. En France on empêche ou tente d’empêcher les médecins d’utiliser Ivermectine, les antibiotiques du type azithromycine ou l’hydroxychloroquine, des médicaments bien connus depuis des décennies, sans qu’on en connaisse précisément les raisons scientifiques. Ce qui laisse la porte ouverte à de nombreuses thèses complotistes disant que si on interdit ces médicaments qui soignent, c’est qu’on le fait exprès pour éradiquer une partie de la population mondiale qui se trouve en surnombre. Personnellement je ne prête qu’une oreille lointaine à ces propositions parce que je sais que les « maîtres du monde » ne sont pas assez intelligents et n’ont pas assez d’imagination pour mener ce type de plan sur le long terme. Ils vivent au jour le jour, Pfizer ne voit pas plus loin que son bénéfice actuel. L’important pour Alain Bourla c’est de gagner quelques milliards, ensuite que Pfizer ferme ou continue, il s’en moque bien. Il ne pourra jamais dépenser tout l’argent qu’il a accumulé en deux ans de crise du COVID. N’étant pas scientifique je ne me prononcerais pas sur les traitements comme l’Ivermectine, les antibiotiques du type azithromycine ou l’hydroxychloroquine, je sais seulement qu’ils existent, mais je sais qu’on n’a pas creusé cette piste pour en améliorer les effets. C’est pourtant ce que demandait l’OMS au printemps dernier, plutôt que se plonger dans la vaccination sans fin, car vacciner tout le monde coûte cher, et l’argent qu’on met dans cette politique du tout vaccinal, on ne le met pas ailleurs. Dans certains pays comme le Guatemala, ou le Portugal qui sont des pays bien plus démocratiques que la France, ce qui n’est pas difficile par les temps qui courent, on trouve des kits médicaux pour lutter contre le COVID. Notre corps des médecins qui est de plus en plus réactionnaire et vendu, préfère donner des blâmes à Didier Raoult pour tenter de le discréditer aux yeux de l’opinion, parce qu’évidemment en le condamnant même symboliquement on donne du crédit aux errements absurde du Conseil scientifique et au gouvernement[20]. La voie de Big Pharma qui a été choisie pour conduire les politiques sanitaires dans les pays rongés par le néolibéralisme, va bien avec l’aspect mercantile de la santé et donc avec la privatisation rampante de celle-ci. Il est affirmé sans preuve que ce qui est cher est bon, et donc il faut que les doses de vaccin soient absurdement onéreuses, même si cela doit ruiner les services hospitaliers et finalement empêcher le traitement d’autres affections.
Car l’hôpital public est au bord du gouffre, même Le monde le journal macronien s’en rend compte, des unités de soins ont été fermées, 5700 lits ont été fermés en 2020 en pleine pandémie, et même si ce n’est pas Macron qui s’est lancé dans cette entreprise de destruction, c’est bien lui qui l’a menée à son terme[21]. On préfère mettre l’accent sur la responsabilité des non-vaccinés. Les soignants qui protestaient contre cette dégradation incroyable du système sanitaire français, et qui alertaient sur ce problème ont été reçus à coups de matraque et de LBD. Sous prétexte de contenir les dépenses de santé et de faire plaisir à Bruxelles, on a assassiné l’hôpital public, ce fut en son temps Jean Castex qui, sous la houlette de Sarkozy, mit en place cette ignominie. On voit bien la logique de la chose, en diminuant les moyens financiers de l’hôpital public, il est facile de dire que les mauvais sujets non vaccinés qui saturent les lits de réanimation sont responsables de cet état de fait, mais la vérité est qu’on a préféré donner des milliers à Pfizer et Moderna, plutôt qu’à l’hôpital public, c’est un choix tout à fait politique qui ne peut se comprendre qu’en référence à l’idéologie du marché. Le quoi qu’il en coûte macronien n’a de sens que pour les multinationales et les entreprises cotées, pas pour le petit peuple à qui parfois on fait une aumône pour l’aider à payer son gaz ou son électricité.
Le monde, 31 décembre 2021
Les choses cependant commencent à changer un peu, même BHL avec qui je suis presque toujours en désaccord, s’en est rendu compte et commence à militer pour sortir de cette psychose mise en scène par les gouvernements au nom de l’hygiénisme. Il devient absurde de maintenir tout un peuple sous la férule pour lui faire accepter des décisions que le plus souvent il ne comprend pas. Un médiatique comme David Pujadas qui n’a rien d’un rebelle ou d’un complotiste dénonçait ce climat de peur entretenu volontairement par les médias. Il sait de quoi il parle. Il ajoutait pour preuve que d’afficher en permanence le chiffre des contaminations n’était pas pertinent[22].
Suppléments
Sur le décompte des malades du COVID
Le dernier rapport hebdomadaire de l'institut Koch[23]
établit qu’entre l’apparition du variant omicron et le 28 décembre, «10 443 cas
d’omicron » avaient été rapportés en Allemagne, «dont 1 555 confirmés avec
certitude par séquençage du génome, et 8 888 classés comme omicron au moyen
d’un test PCR spécifique au variant».
Le rapport précise que des « informations
complémentaires sont connues sur le statut vaccinal de 4 206 malades ». Si
peu ? C’est surprenant. Il y avait une question à poser pourtant. Celle-ci : « Êtes-vous
vacciné ? » Question simple pourtant.
Et il s’agit de l’institut Robert Koch équivalent de
l'institut Pasteur ! Bon ce n’est pas grave. Continuons...
Donc sur 4206 cas d omicron., il est précisé que «186
patients n’étaient pas vaccinés, et 4 020 étaient complètement vaccinés ».
Donc effectivement 95,58 % des cas concernent des gens vaccinés. Pour ceux qui
sont nuls en math on divise 4206 par 4020 on trouve 0,9557774607703. Donc on
arrondi à 0,9558. On multiplié par 100 pour obtenir 95,58 %.
C’est beaucoup : 95,58% des malades omicron sont vaccinés, alors même que ceux-ci représentent moins de 75 % de la population. Il s’agit là de la preuve que le vaccin, plus encore que d’être inefficace face aux infections, augmenterait les risques de contamination.
Communiqué de Didier Raoult le 4 janvier 2022
Il est très contagieux mais donne des formes bénignes.
A l’IHU ils ont constaté énormément de cas, dont les 2/3
sont asymptomatiques, mais moins d’hospitalisations, de réanimations et un seul
décès : un patient âgé vacciné.
Omicron ce n’est pas le même virus que le Sars cov 2, il
ressemble aux coronavirus et aux rhinovirus du rhume, ce qui n’est pas
nécessairement anodin chez les plus vulnérables.
En ce qui concerne les Vaccins ADN ARN
- On ne peut pas dire qu’ils ont permis un contrôle de
l’épidémie
- Ils ont apporté une protection relative contre les
réanimations et décès pour les variants jusqu’au Delta.
Les infections après vaccination se produisent
- 2 ou 3 semaines après la vaccination chez des jeunes qui
ont une très bonne immunité
- 3 à 4 mois après, chez les sujets âgés, l’infection liée
aux anticorps favorisants pouvant être plus grave.
Les pays riches qui ont la plus forte couverture vaccinale
ont plus de cas et de morts. On peut avancer deux raisons:
- moins de soins de proximité : le médecin est sorti de la
gestion de la maladie
- La population y est plus âgée
La vaccination peut être envisagée individuellement pour les
personnes à partir de 60 ans après une estimation de la balance
bénéfices/risques.
Au niveau collectif il n’y a pas de contrôle de l’épidémie
par le vaccin.
La vaccination des enfants n’est pas justifiée
Didier Raoult souligne le danger des collusions (le
Président du conseil scientifique est aussi le président du conseil d’éthique
et il conseille le ministre). Il remarque que politiquement, on voit un
renversement : l’extrême droite défend la liberté et ceux qui étaient libéraux
sont pour la contrainte. Il met en garde contre la tentation d’imposer aux gens
ce qu’on pense bon pour eux, ce qui s’accompagne de contraintes et de censures
des données contradictoires avec les opinions officielles.
[1] https://www.leparisien.fr/politique/jai-appris-emmanuel-macron-dans-les-starting-blocks-pour-2022-15-12-2021-2IQAVJASZZGIDKAOM5KUW7M5DQ.php
[2] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html
[3] Dans son
interview stupide au Parisien, Macron, en bon petit soldat du néolibéralisme,
met en parallèle les « emmerdements » de l’administration envers les
entrepreneurs, et les emmerdements envers les non-vaccinés. Les premiers sont
mauvais parce qu’ils ralentissent la croissance, les seconds sont bons parce qu’ils
accélèrent la croissance, notamment en faisant faire des profits
supplémentaires à Big Pharma.
[4] https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/12/18/marine-le-pen-s-oppose-au-passe-vaccinal-et-denonce-un-plus-grand-enfermement-des-francais_6106607_823448.html
[5] https://www.leparisien.fr/societe/legion-dhonneur-jean-francois-delfraissy-et-lensemble-du-conseil-scientifique-decores-01-01-2022-AFMNEEVVRFGURBTBZSDVPTLLBE.php
[6] https://www.marianne.net/societe/118000-euros-de-msd-116000-euros-de-roche-faut-il-s-inquieter-des-liens-entre-labos-et
[7] https://www.lci.fr/sante/vaccin-covid-19-variant-omicron-un-vaccine-est-il-tout-aussi-contagieux-qu-un-non-vaccine-2205088.html
[8] https://www.capital.fr/economie-politique/vaccin-covid-19-delfraissy-ouvre-la-voie-a-une-4e-dose-1422314
[9] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/22/covid-19-aucun-pays-ne-pourra-se-sortir-de-la-pandemie-a-coups-de-doses-de-rappel-juge-l-oms_6107066_3244.html
[10] https://www.midilibre.fr/2021/12/30/covid-pourquoi-israel-a-finalement-decide-de-suspendre-linjection-dune-quatrieme-dose-de-vaccin-10019189.php
[11] https://www.touteleurope.eu/societe/vaccination-contre-le-covid-19-en-europe-ou-en-est-on/
[12] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/09/08/covid-19-l-afrique-enregistre-plus-de-200-000-morts_6093849_3212.html
[13] https://www.lepoint.fr/sante/omicron-propagation-efficacite-des-vaccins-la-mise-au-point-de-l-oms-12-12-2021-2456415_40.php
[14] https://www.franceinter.fr/societe/le-pfizer-seulement-efficace-a-33-contre-les-infections-omicron-cinq-questions-sur-un-chiffre-frappant
[15] https://www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2526190-vaccin-pfizer-contre-omicron-une-3eme-dose-ou-un-nouveau-vaccin/
[16] https://www.washingtonpost.com/world/2021/12/22/south-africa-omicron-coronavirus-cases/
[17] https://www.cnbc.com/2021/12/28/covid-omicron-appears-to-protect-against-delta-could-displace-it-study.html
[18] https://lemediaen442.fr/pfizer-vient-detre-condamne-a-345-millions-de-dollars-damende/?fbclid=IwAR1vsnJoht_oNG6NB7X88r5nw13zcTCL1h2lFOAOsQ-q6H2rew8QEhvM7vE
[19] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/vaccin-covid-157-milliards-pour-soffrir-limmunite-de-groupe-mondiale-1312700
[20] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-ecope-d-un-blame-de-l-ordre-des-medecins-94aaf38a-544b-11ec-a081-b231ae9c4400
[21] « L’hôpital au point de rupture
: une crise qui vient de loin », Le monde, 31 décembre 2021. Voir aussi
https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/01/05/covid-19-pourquoi-ne-pas-avoir-donne-les-moyens-aux-soignants-d-eviter-que-se-repetent-les-situations-de-tri-tragique_6108227_3232.html
[22] https://www.europe1.fr/medias-tele/david-pujadas-les-medias-entretiennent-un-climat-de-peur-face-au-covid-19-4085752
[23] L'institut Koch en Allemagne
est l’équivalent de l’institut Pasteur en France.
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