Marion Maréchal rejoint Zemmour
Quand on voit le ballet des trahisons en tout genre qui agitent le monde politique, on a de quoi être complètement dégouté de cette engeance, Et voter s’apparente clairement à un jeu de trompe-couillon où les convictions passent très loin derrière les petites combines d’arrière-cuisine. Les méthodes marketing de Zemmour et de Macron sont les mêmes, débaucher de vieux croutons ou des personnes sans aucun avenir pour tenter de faire croire qu’il y a un élan populaire important vers eux[1]. Les transfuges du RN ou de LR vers le parti-croupion de Zemmour n’ont pas été très nombreux et c’est pour cette raison qu’on les a distillés au fil de la campagne. La plupart de ces transfuges sont des personnages louvoyants, certains ont été payés grassement par Zemmour, mais le succès n’a pas été au rendez-vous, et si on se fie aux derniers sondages, Zemmour arrive maintenant en quatrième position et sera probablement dépassé in fine par Mélenchon[2]. Quand Marion Maréchal qui cherche à exister désespérément, rejoint l’homme à la tête de rare – comme l’appelle Sarkozy – elle commet une triple faute. D’abord elle trahit son parti, ensuite elle trahit sa famille dans sa volonté de rejouer la scène du meurtre de César par Brutus, et enfin elle trahit sa propre parole puisqu’elle avait annoncé qu’elle soutiendrait entre les deux candidats soi-disant souverainistes celui qui serait le mieux placé pour accéder au second tour. Cette posture de traitresse ne devrait pas faire sortir Zemmour du trou dans lequel il est enterré depuis qu’on a mis à jour son retournement de veste sur la question russe. Alors que cherche Marion Maréchal au-delà de faire éjecter sa tante de ce cirque ? Teste-t-elle son charisme ? Pense-t-elle sérieusement que cette politique de la terre brûlée lui sera profitable sur le long terme ? Si son ralliement était prévu depuis longtemps malgré ses grimaces, il intervient au plus mauvais moment pour elle, sans qu’il soit profitable pour Zemmour. A Toulon elle a déconné en avançant qu’elle y allait malgré ses attaches familiales parce que la France l’appelait ! En quelque sorte elle s’inscrit dans les pas du Maréchal Pétain qui offrait sa personne à la France. Marion a argué que Zemmour était capable de réunir toutes les droites, les sondages qui montrent Zemmour en quatrième position, talonné par Mélenchon, montre que cette fable de l’union n’a pas de sens car dans la réalité, cette candidature divise la droite plus ou moins souverainiste pour le profit exclusif de Macron. Les meetings de Zemmour sont de moins en moins bien maitrisés, on l’avait vu au Mont Saint Michel, voici l’autre traitre, Guillaume Peltier, qui pour saluer l’entrée en campagne de Marion Maréchal dans son camp avançait sur son compte Twitter Nous avons tous pour @MarionMarechal des yeux de chimères… En confondant bêtement Chimène et les chimères – qui sont un songe creux, une sorte de cauchemar, ou la poursuite d’un rêve sans avenir – il montrait par là qu’il n’y croyait pas vraiment. Ainsi en est-il aujourd’hui de cette classe politique totalement obsédée par sa propre cupidité et sans véritable culture. Mais qui s’étonne encore qu’on la moque. Dans un article documenté, Le monde rappelait qu’une des raisons du ralliement de Marion Maréchal à Zemmour, en dehors de sa volonté bizarre de tuer sa tante, était l’argent. Le quotidien du soir rappelait que son Institut des sciences sociales, économiques et politiques (Issep) ne vivait que de dons et de subventions pour faire la propagande pour un modèle ultra-libéral d’économie de marché, et que ses dépenses n’étaient couvertes qu’à 87%[3]. Or comme nous l’avons signalé moulte fois, Zemmour a beaucoup d’argent et pourrait l’aider à boucler son budget. La politique c’est un métier qui rapporte plus ou moins selon les circonstances, et cela passe avant les convictions véritables. Certains proches de Marion Maréchal ont parlé d’un suicide politique.
Meeting de Toulon, le 7 mars
2022
Bien entendu, il serait incongru de dire que tous les zemmouriens sont des nazis, mais on pourrait dire à l’inverse que les nazis sont zemmouriens, sauf De Lesquen et Jérôme Bourbon. Ces nazillons quin’ont en vérité que peu de moyens d’exister ont pris l’opportunité de la candidature Zemmour pour faire avancer leurs idées d’un autre âge. Certes ils regrettent que ce soit un Juif qui porte leurs idées, mais justement cela leur permet d’exister. Ils se trahissent seulement eux-mêmes, comme ils trahissent leur aryanité supposée. Cet épisode ridicule montre à l’évidence que Zemmour qui est en mission tout de même pour casser Marine Le Pen, croit manipuler des nazis, mais ceux-là en retour se croient maître de son destin. Il est probable qu’ils lui demanderont des comptes, après sa défaite[4]. C’est une aubaine pour les journalistes de L’Obs qui vont pouvoir faire du tapage sur le thème, Zemmour est le candidat des nazis. Ce qui est vrai c’est que Zemmour marque le retour d’une vraie droite pétainiste, autoritaire, mais bien peu nationaliste, européiste et affairiste.
Macron qui laisse Poutine faire sa campagne a demandé à son équipe de faire passer le message de ses ralliements. Ils viennent de LR ou du PS. C’est une reconstitution de l’UMPS, avec le plus souvent des politiciens de métier sans avenir et sans idée. Voici d’abord François Rebsamen. Le maire de Dijon qui a commencé sa vie politique chez les trotskistes de la Ligue Communiste Révolutionnaire – ce qui prouve qu’il est vraiment très vieux – se dit de gauche et se dit encore socialiste. On connait sa figure parce qu’il a été ministre du travail – poste qu’il avait confondu avec ministre du capital – de 2014 à 2015. On peut le voir dans le film de Gilles Perret, Vive la sociale. Il est interrogé pour l’occasion dans l’ancien bureau d’Ambroise Croizat qui fut le créateur de la Sécurité sociale. Mais l’ignare Rebsamen ne connaissait même pas son nom. Voilà donc ce comédien nous expliquer qu’il rejoint Macron parce qu’il est socialiste et homme de gauche ! Certes les socialistes sont connus pour leurs nombreuses trahisons, et si leur surnom est celui de « social-traitres », ce n’est pas sans raison. Macron est un homme de droite de la pire espèce qui vise justement à tout privatiser et à en finir avec la Sécurité sociale. Le menteur Rebsamen le sait parfaitement, mais ce menteur donne des raisons alambiquées pour la galerie dans son virage vers la droite extrême néo-libérale. Voici comment il justifie son choix : « C'est un choix d'évidence. Aucun autre candidat ne semble aujourd'hui plus compétent. Il a l’envergure et la crédibilité d’un chef d’Etat. Il l'a prouvé chaque jour alors que nous sommes en guerre »[5]. Outre qu’on connaît le bilan économique et social désastreux de Macron contre lequel on a manifesté presque tous les samedis de son malheureux quinquennat, il faut rappeler à cet individu que Macron lui-même nous dit que nous ne sommes pas en guerre. Mais Rebsamen ne semble suivre l’actualité que de très loin, seulement en regardant les plateaux de BFMTV. Rebsamen ment lui aussi triplement pour justifier son choix, d’abord en avançant qu’il serait socialiste, ensuite qu’il serait de gauche et enfin que Macron serait compétent. Les mots ont un sens, socialiste cela signifie « socialisation des moyens de production », c’est à -dire le contraire de la privatisation. Être de gauche cela signifie lutter contre les inégalités économiques et sociales, inégalités qui, tout le monde en convient, se sont creusées durant le quinquennat de Macron. En trahissant son propre parti, il fait exactement ce que les caciques du PS ont fait en 2007 en plombant la candidature de Ségolène Royal. Il dézingue en creux Anne Hidalgo qui n’avait pas besoin de ce coup de pied à l’âne. C’est l’esprit femelle de Rebsamen qui parle, il se met du côté du potentiel vainqueur. Rappelez-vous ce que disait Rebsamen au début du quinquennat hollandais, il disait que les patrons qu’il avait consultés ne demandaient qu’une seule chose, qu’Hollande prenne Macron comme conseiller à l’Elysée. Rebsamen s’amusait de cette fantaisie qui indiquait pourtant déjà un goût pour la soumission au-delà du slogan pour allumer la galerie, Mon ennemi, c’est la finance !
L’ancien trotskiste Rebsamen trahit son parti et la gauche en se portant au secours du parti de la banque et de la finance
Des traitres le parti socialiste en regorge, à croire même qu’ils les élèvent en batterie et qu’il n’y a plus que ça. De vieilles vieilleries ont rejoint Macron, comme si leur voix avait un poids quelque part. c’est plus les jeunes avec Macron, mais les croulants, semi-moribond avec lui ! Ces ralliements sont censés compenser les dérives droitières de Macron pour faire semblant qu’en dépit d’une politique économique et sociale proprement thatchérienne, le squatter de l’Elysée ferait tout de même aussi un peu de social, et qu’au besoin ce quarteron de politicard en retraite ly aiderait. Voici Marisol Touraine qui manie la langue de bois aussi bien qu’un quelconque Zemmour : « Le vote utile et responsable, c’est Emmanuel Macron. Il est le seul qui a la solidité pour faire face aux défis et porter une vision positive de l’avenir ». Ça ne mange pas de pain et ça ne veut strictement rien dire car aucun homme politique de droite ou de gauche ne prétendrait avancer qu’il n’ a qu’une vision négative de l’avenir et qu’il est incapable de faire face aux défis. Mais qui est Marisol Touraine ? On pourrait dire que c’est la fille de son père et cela suffirait, sauf que les jeunes générations ne se souviennent pas d’Alain Touraine. Ce sociologue était un chantre de la deuxième gauche anticommuniste et convertie aux joies du marché débridé après avoir un temps, assez bref finalement, chanté les louanges de l’autogestion. Pour mémoire, elle est mariée avec un des enfants de François de Menthon qui en tant que ministre de la justice du général de Gaulle s’était appliqué à sauver les pétainistes de sa classe trop durement compromis dans la collaboration[6]. Officiellement anti-gaulliste, François de Menthon était un européiste militant, appuyant ainsi le projet des anciens collaborateurs qui inspirèrent la naissance de l’Union européenne. Marisol Touraine, autre européiste, s’était inscrite dans la lignée de Rocard et à ce titre elle participa à l’effondrement du Parti Socialiste. Au ministère de la santé elle fit la démonstration de sa grande incompétence et de sa volonté de massacrer l’hôpital public. C’est la très haute bourgeoisie. Parmi les méfaits que cette femme a commis, on peut parler de l’engagement de complaisance de Gabriel Attal dans son cabinet, payé à ne rien faire, seulement à démontrer sone xtrême nullité. A ses côtés dans ce mercato d’arrière-saison, voici Elizabeth Guigou. Elle aussi foncièrement européiste, supposant que pour faire l’Europe il faut massacrer le peuple en l’alignant sur les standards néolibéraux de Bruxelles. Elle vient également de la haute bourgeoisie, son père était un patron important qui faisait des affaires avec la Maroc. Certes la voix de l’ancienne Garde des Sceaux n’a pas beaucoup d’importance, personne ne se souvenant d’elle, mais elle dénote un opportunisme sans limite. Elle est maintenant très âgée, et cela ne l’empêche pourtant pas de faire la leçon à tout le monde, alors qu’elle-même ne comprend pas grand-chose, ni à ce qu’elle est, ni à ce que les temps sont devenus. Mais l’important est sans doute de participer en trahissant son propre parti. Dans ce nid de vipères qu’est devenu le PS pris en main par les rocardiens et dérivés strauss-kahniens, les hommes ne sont pas en reste. Le résidu Claude Bartolone qui un temps était compté comme fabiusien, et qui occupa le poste de président de l’Assemblée nationale, a lui aussi rallié Macron. Il avait déjà trahi Benoît Hamon en 2017, en critiquant systématiquement sa campagne, mais aussi en annonçant bien avant le 1er tour qu’au second il voterait Macron. Lui aussi peut-être qualifié d’un degré d’importance nulle. Et lui aussi trahit sans vergogne, comme par surprise la candidate de son propre parti. Il faut vraiment avoir la foi du charbonnier pour voter pour des gens pareils[7]. Cette droite avec un faux nez c’est tout de même elle qui explique globalement le mauvais score qu’elle fera aux prochaines élections, présidentielles et législatives, c’est l’héritage du Hollandisme, on n’attend en effet plus que lui et Nicolas Sarkozy comme soutient à Macron dans ce parti UMPS reconstitué.
A cette conjuration des imbéciles, il manquait le très vieux Jacques Attali. Celui-là aussi a louvoyé partout, passant de la fin des années soixante-dix à aujourd’hui, d’un programme très à gauche de transition au socialisme pour François Mitterrand[8] jusqu’à un thatchérisme échevelé. On sait que c’est lui qui avait introduit Macron dans les sphères du pouvoir politique déjà du temps de Sarkozy, cheville ouvrière de l’UMPS, il était intervenu en faveur de Macron auprès de Hollande. Ce bonhomme qui s’est trompé sur tout et sur le reste, fait semblant d’avoir encore des idées alors qu’il a maintenant un pied dans la tombe. Ridicule jusqu’au bout de sa nuit, cette déclaration n’a aucune chance de motiver les Français d’aller voter Macron, et peut-être même que cela en dissuadera quelques-uns, tant sa parole est démonétisée. Avec Bernard Henry-Lévy, c’est l’éditorialiste qui est le plus moqué sur la toile.
Alain Minc, le meilleur ennemi d’Attali semble par contre s’être trompé d’époque, il a manifestement choisi le mauvais cheval. Lui aussi vient de l’extrême gauche trotskiste, puis lui aussi est passé par le PS, puis par le sarkozysme, mais malheureusement il a misé sur le mauvais cheval en se rangeant derrière Valérie Pécresse et en le faisant savoir : « avec elle la main ne tremblera pas » a-t-il assuré[9]. Il a invoqué une autre raison, disant que Macron était allergique au parlementarisme. C’est vrai, mais il ne semble pas avoir compris que dans notre époque ultra-moderne, tellement moderne qu’elle ressemble au retour des temps préhistoriques, le parlementarisme c’est une fable éventée, un système à bout de course depuis bien longtemps et qui n’a pas la capacité de séduire les masses. La propagande gouvernementale nous dit qu’il faut aller voter, mais pour qui ? Pour des ignorants, des cupides et des malveillants ? Macron a besoin d’un taux de participation consistant pour tenter de faire croire à sa légitimité à nous martyriser. Cela est déjà une bonne raison pour se détourner des urnes. Plus le taux d’abstention sera élevé, et il le sera, et plus il sera facile de comprendre que le peuple doit prendre son avenir en main et ne plus déléguer son pouvoir souverain à des gens plus bêtes que lui. Tout cela ne sera possible évidemment que dans le cadre national, seul cadre dans lequel le peuple peut contrôler ses délégations.
Les traitres de comédie sont aussi très largement à l’œuvre du côté des républicains, les uns se font acheter par Zemmour, les autres se vendent à Macron. On a vu le cas de ce traitre de comédie d’Éric Woerth, délinquant ordinaire, petit comptable cupide qui vendait autrefois les bien de la collectivité à des prix d’amis[10], puis les égarés de la politique, tout autant cupide toutefois, les Muselier et les Estrosi qui ont fait le chemin par étape. Seront-ils récompensés pour les services rendus ? Parier sur la générosité de Macron est un dangereux pari. Voici maintenant Martine Vassal, officiellement membre de Les Républicains, elle a également conduit à la catastrophe la campagne pour les municipales quand elle voulait s’encanailler à suivre la voie gaudiniste de la magouille éhontée. C’est une combinarde, européiste, affairiste, prébendière, gérant les emplois du Conseil régional comme des bons points qu’elle distribue à ses affidés. Elle est aussi connue pour avoir été dans l’incapacité de gérer la grève des éboueurs marseillais qui dépendent de Marseille-Métropole, dont elle est la présidente. Elle aussi, comme Zemmour et quelques autres nous parle d’unité. Et parler pour ne rien dire ça la connait : « Je crois profondément que l’unité nationale est désormais notre seul chemin. J’ai donc décidé de soutenir à la présidence de la République française. Au cœur d’une tempête sans précédent depuis 1945, il est le seul à pouvoir donner un espoir aux français »[11]. Ça ne veut rien dire, mais ça fait comme si elle donnait une raison au-delà de son intérêt personnel. Quelle sera sa récompense ? Probablement un soutien de Macron pour les prochaines élections, et entre temps elle aura rejoint le parti croupion d’Edouard Philippe. Délinquant de mère en fils, Pierre Vassal était en fuite après une bagarre au couteau devant l’opéra de Marseille, il s’est finalement rendu à la police[12]. Martine Vassal finalement ne réussit pas grand-chose et surtout pas à élever sa progéniture. Mais ne lui faisons pas un mauvais procès on est responsable de ses enfants que jusqu’à un certain point. Rappelons-nous que Marisol Touraine, autre macronienne de choc, a eu aussi des difficultés avec son fils, le délinquant, Gabriel Reveyrand-de Menthon qui est parti en taule pour extorsion de fonds et séquestration[13]. Quand ce ne sont pas les politiciens eux-mêmes qui se retrouvent en cabane comme Balkany ou Guéant, ce sont leurs enfants. Quelle engeance !
Raffarin avait déjà mauvaise réputation quand il était
premier ministre, c’était un peu le Jean Castex de Jacques Chirac. Ses
élucubrations portaient le nom à l’époque de raffarinades. Aujourd’hui
il ajoute à son incompétence notoire et son imbécillité la trahison de son parti
et donc la malheureuse Pécresse qui doit maintenant, comme Anne Hidalgo
regretter de s’être lancée dans cette entreprise. Ces deux femmes sont très
moquées, supposées idiotes, et elles le sont en effet. Mais le sont-elles plus
que Macron ou Zemmour ? Dans la classe politique, il y a bien une forme
d’égalité entre les hommes et les femmes. Je ne le pense pas. Raffarin rejoint
donc Macron. Quoi d’étonnant ? Du temps de sa jeunesse il était un
jeune giscardien, comme si des choses comme ça pouvaient exister !
Vieux avant l’âge, il retourne à ses anciennes amours. Croit-il vraiment que
Macron soit la réincarnation de Valéry Giscard d’Estaing ? Cette revue de
la troupe des traitres de comédie explique pourquoi dans les temps très courts
à venir, les politiciens seront de moins en moins écoutés
[1]
https://ingirumimusnocte2.blogspot.com/2021/11/le-marketing-macronien-de-zemmour.html
[2]
https://www.lejdd.fr/Politique/presidentielle-dans-les-sondages-macron-creuse-lecart-le-pen-conforte-sa-2e-place-zemmour-chute-4097445
[3] Le pari
risqué et à contretemps de Marion Maréchal, Le monde, 8 mars 2022.
[4] https://www.nouvelobs.com/politique/20220307.OBS55372/un-participant-au-meeting-d-eric-zemmour-fait-un-salut-nazi.html#modal-msg
[5] https://www.cnews.fr/france/2022-03-06/presidentielle-2022-lancien-ministre-socialiste-francois-rebsamen-va-voter
[6] Annie
Lacroix-Riz, La non-épuration,
[7] https://www.marianne.net/politique/gauche/touraine-rebsamen-guigou-bartolone-la-jambe-gauche-claquee-de-la-macronie
[8] Mathieu Fulla Les
socialistes français et l’économie (1944-1981) : une histoire économique
du politique, Les Presses de Sciences Po, 2016.
[9] https://www.lepoint.fr/politique/alain-minc-pourquoi-je-voterai-pecresse-12-01-2022-2460142_20.php
[10] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/12/11/hippodrome-de-compiegne-de-quoi-eric-woerth-etait-il-accuse_4539241_4355770.html
[11] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/presidentielle-2022-martine-vassal-lr-presidente-de-la-metropole-aix-marseille-annonce-son-soutien-a-emmanuel-macron-2483365.html
[12] https://www.bfmtv.com/bfm-dici/hautes-alpes-pierre-vassal-recherche-apres-une-condamnation-s-est-rendu-a-la-police_AN-202111130271.html#:~:text=Pierre%20Vassal%2C%20le%20fils%20de,de%20Gap%2C%20rapporte%20le%20quotidien.
[13] https://www.leparisien.fr/faits-divers/le-fils-de-marisol-touraine-incarcere-pour-extorsion-de-fonds-10-09-2013-3123123.php
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire