J’hésite beaucoup à
parler encore de Macron et de sa perruque. Ce personnage, mélange de cupidité et
d’imbécilité servile au service du grand capital me sort par les trous de nez. Mais
on nous demande une nouvelle fois de lui sauver la mise, et donc de voter pour
la finance internationale et l’Europe. Je ne peux pas m’y résoudre. Déjà je n’avais
pas voté pour lui en 2017, et je vais continuer. En dressant le bilan de son
misérable quinquennat, j’explique indirectement pourquoi. Il me semble que les "gens de gauche" qui ont critiqué Macron pendant cinq et qui maintenant s'aligne sur l'homme de l'OTAN et de Bruxelles sont des plus inconséquents. Les ralliés de la dernière heure qui soutiennent le représentant du pire capitalisme sauvage sont inconséquents. Que le MEDEF le fasse, c'est bien le moins, que Pécresse et Sarkozy se rallient, c'est dans l'ordre des choses, mais que Philippe Martinez qui s'est fait matraqué et enfumé lors du défilé syndical du 1er mai 2019 le fasse, c'est de la haute trahison.
C’est entendu, le
bilan du quinquennat macronien est un désastre complet sur le plan de la
politique intérieure. C’est concrètement cinq années de manifestations
ininterrompues – les soignants, les cheminots, les Gilets jaunes, les
antivax – et son complément de répression antidémocratique. Matraquage,
éborgnement, et j’en passe. Mais les communistes qui n’ont pas soutenu les
Gilets jaunes vont maintenant soutenir le représentant de la banque et de la
finance comme s’il était moins dangereux que Marine Le Pen. Macron c’est aussi
la destruction de ce qu’il reste du modèle social français : on pourrait
dire une américanisation à marche forcée du système économique. C’est aussi
cinq longues années de corruption et de magouilles financières dont les
dernières révélées sont l’usage intensif des cabinets de consulting de
ses amis de chez McKinsey. Ce concubinage va tellement loin qu’on se demande
pour qui on vote quand on vote pour Macron, est-ce qu’on n’aide pas à mettre en
place un régime politique élaboré à Washington ? Macron et son gang ont
également aggravée une fiscalité qui était pourtant déjà favorable aux riches
et plus dures pour les pauvres. Cet ensemble de faits avérés sont une dérive
vers l’achèvement d’un modèle de société néolibéral, calqué sur les Etats-Unis.
Ce n’est pas un hasard si Macron a été formé à l’école des Young leaders, ce
n’est pas un hasard s’il fut d’abord un employé de la haute banque. Plutôt
fainéant sur le plan intellectuel, il s’est toujours contenté des à-peu-près
sur le plan politique et sur le plan économique. Il navigue depuis 2012 quand
il fut nommé conseiller économique de l’Elysée avec des idées simples, voire
simplettes, en économie, telle celle du ruissellement qu’un enfant de dix ans
comprendrait combien elle est erronée dans ses fondements. Ces éléments de
langage ne sont pas là en vérité pour appuyer une politique économique, mais
pour justifier ses fonctions auprès de ses riches sponsors qui ne l’ont pas mis
là par hasard et pour faire croire qu’il réfléchit à améliorer le sort du pays.
On l’a mis à la tête du troupeau, mais le bélier n’a jamais dirigé le troupeau,
c’est bien le berger qui guide l’ensemble.
On l’oublie le plus
souvent, Macron a démontré aussi son incompétence satisfaite au niveau
international, accélérant la vassalisation de la France à l’impérialisme
germano-américain. Ce qui est au fond dans la logique des choses puisque pour
les néolibéraux qui pillent l’Etat sans vergogne, les lois du marché sont bien
suffisantes en économie pour assurer l’essentiel, non pas le plein emploi, mais
l’enrichissement continu et stratosphérique des plus riches. Les affaires
étrangères sont un sujet qui est un peu moins traité que celui des affaires
intérieures, et pourtant, l’échec est encore plus patent dans ce domaine. Globalement
Macron a rabaissé la France bien plus encore que ses trois prédécesseurs,
détruisant ce qui faisait son caractère unique. Compensant cette défaite par
une surexposition médiatique, et une campagne de communication ruineuse, il est
pourtant visible que du point de vue de la politique internationale il aura été
le pire président que la France ait connu depuis la Libération. Le premier
exemple qui vient à l’esprit, parce que c’est de saison, c’est la guerre en
Ukraine. N’ayant rien anticipé, il a mis en scène, à quelques jours de
l’offensive de Poutine, un pseudo retrait des troupes russes de la frontière
ukrainienne ! Il s’est ridiculisé lorsqu’il a accepté de rencontrer
Poutine au bout d’une longue table. Il était pourtant patent que Macron n’avait
rien à faire dans cette galère et que le président russe ne le prenait pas au
sérieux. Mais plus encore, en novembre 2019, il jugeait l’OTAN en état de
mort cérébrale – ce sont les mots qu’il a employés[1]
– puis tout soudainement, alors qu’il aurait
pu jouer les médiateurs et retrouver un peu de dignité, il s’est rangé en 2022
aux positions de l’OTAN sur la question de la guerre russo-ukrainienne,
entrainant la France dans le jeu des sanctions économiques, faisant également
partir Renault du marché russe, sous les injonctions comminatoires de Zelensky,
le VRP de l’OTAN et clown télévisuel à ses moments perdus. Il n’empêche que sa
faible implication dans le conflit d’une manière ou d’une autre lui sert tout
de même à faire croire qu’il ne peut pas débattre avec ses concurrents pour les
élections prochaines. Mais qu’a-t-il fait de positif dans ce conflit, à part de
suivre les directives de von der Leyen ? Rien ! Il a juste suivi le
mouvement scandé par les Etats-Unis, l’OTAN et l’Allemagne en acceptant de
mettre en place des sanctions dont l’efficacité reste à démontrer. Il ne semble
pas que la Russie soit bouleversée par ces sanctions, et que cela changera
fondamentalement l’orientation du conflit. Les sanctions ont pour but aussi
véritable qu’incertain, d’isoler sur le long terme la Russie et de substituer
le gaz de schiste américain au gaz russe beaucoup moins cher et surtout moins
polluant pour son extraction et ses livraisons. L’effacement de la France dans
cette affaire est représenté par Zelensky qui, quand on lui a demandé quels
pourraient être les pays qui garantiraient la neutralité de l’Ukraine dans les
pourparlers avec la Russie, a cité les Nations Unies, l’Allemagne, la Pologne,
la Turquie et Israël, mais pas la France[2].
Rappelons que les accords de Minsk devaient être garantis par l’Allemagne et la
France, et supervisés par l’OSCE. Là encore François Hollande avait joué un
rôle, peut-être insuffisant, mais au moins aussi important qu’Angela Merkel. Le
recul est ici évident.
Dans cette affaire
Macron a commis au moins deux erreurs impardonnables :
– la première a été
d’affaiblir durablement l’économie française en lui fermant le marché russe,
tandis que les Allemands ne se gênaient pas pour continuer à acheter du gaz
russe en pleine guerre russo-ukrainienne – 640 millions d’euros par jour qui
aident au financement de la guerre. Mais Zelensky s’il insulte Orban et Macron
en posant ses exigences ne s’y risque pas envers l’Allemagne qui peut toujours
faire semblant d’imposer des sanctions à la Russie tout en préservant ses
marchés dans ce pays. L’éviction de Renault aiderait plutôt l’Allemagne à y
conserver ses positions et surtout avancerait la liquidation annoncée du
secteur automobile en France, dernier bastion de son industrie. En même temps
ce sont aussi les produits agricoles français qui sont exclus de ce marché,
jadis très porteur pour notre économie ;
– la seconde a été
d’engager notre pays comme supplétif de l’OTAN en état de mort cérébrale
et donc de se refuser de jouer ensuite un rôle dans la résolution de la crise
comme l’a fait Israël qui a conservé une position équilibrée, rejetant les
oukases de Zelensky, ou comme l’a fait également Orban en refusant que la
Hongrie s’enrôle sous la bannière de l’OTAN et choisisse son camp. Ce
revirement est typique de l’irrésolution macronienne qui met toujours ses pas
dans ceux de plus puissants que lui, jadis Merkel, aujourd’hui Biden et
Stoltenberg.
En refusant de jouer
un rôle singulier de médiateur dans cette crise, en entonnant des trompettes
guerrières, Macron a entamé un peu plus notre souveraineté et notre crédibilité,
admettant ainsi que la politique étrangère de la France se concoctait à
Bruxelles, soit dans les bureaux de la Commission européenne, soit dans ceux de
l’OTAN. La photo ci-dessous prise à Bruxelles le 24 mars 2022 définit un ordre
protocolaire assez strict, Macron se trouve au second rang, derrière les
maîtres Stoltenberg, Biden Boris Johnson et le boucher Erdogan, vrai dictateur
celui-là dont les crimes en Syrie et en Lybie ont bien moins obsédé l’OTAN et
ses larbins que ceux de l’armée russe en Ukraine.
Macron prétendait, en
devenant malencontreusement président de la République
française, travailler à la disparition de la nation au profit d’une Europe
fédérale dont il aurait pu prendre la tête. Giscard d’Estaing dont le père
était un collaborateur notoire, avait déjà cette même idée loufoque. Pour cela Macron
signa le Traité d’Aix-la-Chapelle, en Allemagne, traité qui faisait de très
larges concessions au leadership allemand, concédant entre autres l’amputation
de la souveraineté française sur l’Alsace et la Lorraine, ouvrant même la voie
à un « partage » du siège permanent de la France à l’ONU[3].
Qu’espérait-il obtenir ? D’abord la création d’une défense européenne
commune. Mais cette idée dont personne ne veut, a du plomb dans l’aile, car si
la crise ukrainienne a accéléré la course aux armements en Europe, notamment en
Allemagne, celle-ci s’est faite au détriment des intérêts français, les
Allemands préférant acheter des avions de combats aux Etats-Unis[4]
aux avions français, tout en continuant à s’immiscer dans le projet d’avion
commun qui lui permettra de piller la technologie française et de se
l’approprier. Les Polonais ont fait de même, achetant 32 F-35 américains, entérinant
la vassalisation définitive de l’Europe aux intérêts germano-américains[5].
C’est donc plus qu’un échec, c’est un désastre, car, on s’en souvient Macron
nous vendait la fable d’une défense autonome européenne face à la puissance
militaire américaine. Souvenons-nous, les largesses de Macron face à
l’Allemagne étaient conditionnées à l’accès de Michel Barnier à la présidence
de Michel Barnier à la tête de la Commission européenne. Mais Merkel qui
représente cette insatiable appétit des Allemands pour le pouvoir en a décidé
autrement. C’est la pitoyable lobbyiste allemande Ursula von der Leyen qui en
hérita, comme pour tous les postes importants des institutions européennes. Ce
camouflet infligé à Macron confirma l’idée d’une Europe allemande, ou plutôt
germano-étatsunienne, et le nouveau recul de la France au sein de ses
institutions. Quand l’Allemagne et la Pologne achètent des armes sophistiquées
aux Etats-Unis, elles renforcent la puissance militaire américaine. Or celle-ci
possède déjà un millier de bases dans le monde dans 133 pays, et au moins
250 000 soldats dispersés dans le[jb1] monde entier. Ce sont les dernières lueurs de
l’Empire, mais rien ne nous oblige à tenter de le consolider en votant pour
Macron. En acceptant sans rien dire que les pays européens achètent des avions
de combat américains, on accepte de diminuer le potentiel de l’industrie
d’armement française. Voter Macron, c’est voter pour l’OTAN.
Si le quinquennat de
François Hollande a été médiocre, il le fut cependant un petit peu moins que
celui de Macron en ce qui concerne la politique étrangère. François Hollande
sut assez bien résister à la volonté de Merkel de nous refourguer des centaines
de milliers de migrants en 2015. Le quinquennat de Macron c’est aussi un record
dans l’accueil de migrants. Il ne faut pas chercher plus loin les raisons de la
montée de l’extrême-droite en France[6].
Pleurnicher ensuite pour dire qu’il n’a pas su enrayer la montée de l’extrême-droite[7].
Il n’a pas su l’enrayer, mais il a su la faire monter ! Hollande fit au
moins quelques efforts pour conserver des positions françaises en Afrique en
s’engageant tout seul – je veux dire sans le moindre début d’aide de l’Europe bien
contente de voir la France s’embourber et creuser son déficit – au Mali. Macron
dont les connaissances géographiques tiennent sur un timbre-poste s’est
désintéressé de l’Afrique, laissant les choses aller, il a obtenu les résultats
suivants :
– d’abord la France
s’est faite éjectée du Mali et remplacée par les milices Wagner[8]
qui sont comme on le sait inféodées à la Russie. On peut toujours dauber sur la
fourberie des Russes pour l’occasion et sur le manque de fidélité du Mali, mais
il faut constater que la présence militaire française ne donnait pas
satisfaction sur le terrain. Il est vrai que Macron n’est pas très bien appuyé
par le sinistre Le Drian ministre des affaires étrangères, défaillant sur tous
les terrains, ni par l’évanescente Parly, soi-disant ministresse de la défense.
– ensuite Macron et
son gang semblent avoir oublié que si à court terme l’Afrique ne pèse pas
beaucoup à l’échelle mondiale, sur le long terme ce sera certainement un des
lieux du développement économique futur, pas seulement du fait de sa démographie
galopante, mais aussi des investissements étrangers qui y sont faits. Les
Chinois et les Russes ne s’y sont pas trompés et sont devenus incontournable
sur tout le continent, mais s’ils se servent de ce marché pour leurs débouchés,
ils coopèrent avec les Africains en investissant massivement, donc en
contribuant à leur développement. Ce désengagement est donc une faute de
l’Union européenne et de Macron. La France est déjà quasiment bannie du Maghreb,
la voilà qui ne pèse plus rien aussi dans l’Afrique noire francophone. Il est
stupide de considérer l’Afrique simplement comme un fournisseur de main d’œuvre
peu onéreuse.
Regardons la carte ci-dessus, elle montre le recul de la France sur le plan de son commerce extérieur en Afrique. Elle montre qu’en une vingtaine d’années la France s’est fait tailler des croupières dans ce qui était sa chasse gardée durant l’Empire et aussi après l’indépendance. Elle n’existe plus. C’est lié aussi bien à la désindustrialisation accélérée du pays consécutivement à l’intégration dans la zone euro et la dégradation continue de notre agriculture, qu’à l’incapacité des diplomates à renouveler un lien usé jusqu’à la corde. La Chine est devenue la puissance la plus importante sur ce continent dont on sait l’importance en termes de matières premières pour le développement des industries high-techs[9]. A tout le moins cela montre que les technocrates qui gouvernent la France ont laissé les choses empirer, car le problème est ancien, et ce ne sont pas les excuses que Macron répète à l’envie aux Algériens qui redresseront notre image dans ces régions dont les liens avec la France sont de plus en plus distendus, bien au contraire, ces excuses masquent mal l’absence de propositions de partenariat que le gouvernement français pourrait faire.
Macron et Malcolm Turnbull sur le pont d’un sous-marin de la à Sydney, le 2 mai 2018
Parmi les nombreuses
avanies qu’a dû subir Macron sur la scène internationale, il y a la pitoyable histoire
des sous-marins australiens. Contre tous les usages et sous les effets
corruptifs de la pression américaine, les Australiens ont rompu le contrat
qu’ils avaient signé avec la France[10].
Cet épisode scandaleux montre, au-delà des pertes pour notre industrie de l’armement :
– d’abord que les
Américains sous l’impulsion de l’administration Biden, ont repris l’idée de
restaurer l’Empire étatsuniens au détriment de leurs alliés. Macron n’a
absolument pas réagi à cette mauvaise manière concoctée conjointement par les
Etats-Unis, le Royaume Uni et l’Allemagne, qui malgré la rupture du contrat
australien avec la France en a profité pour vendre sa technologie, sachant
pertinemment que cela affaiblira encore un peu plus la France dans leur
partenariat européen et augmentera leur poids dominant[11].
– ensuite que la France est devenue avec Macron un paillasson dont la voix ne compte plus. Vis-à-vis des Australiens et des Américains, Macron a été incapable de rendre les coups, comme il a été incapable de proposer une position originale sur la guerre en Ukraine, par exemple des négociations sérieuses sur l’application des accords de Minsk de façon à faire avancer la paix. Mais sans doute que cela n’a pas été possible à cause de sa soumission à l’OTAN. Dans l’affaire des sous-marins, il s’est contenté d’appeler Biden qui lui a dit qu’il était bien désolé, mais qui n’en pensait pas moins.
Il faudrait aussi parler des fâcheries avec les Italiens à qui Macron prétendait faire la leçon[12], préférant rester obséquieux avec les maîtres de l’Europe, plutôt que d’ouvrir la voie à une coopération avec les pays du sud de l’Europe qui sont en souffrance aussi à cause de la monnaie unique. Malheureusement on s’habitue à ce déclassement permanent, la France était devenue, de renoncement en renoncement, au plan mondial une puissance secondaire, elle est maintenant une puissance secondaire au niveau européen. Mais sans doute était-ce inévitable à partir du moment où on adhère à l’idéologie néo-libérale et qu’on accepte l’hégémonie américaine et allemande.
Pour des Français soucieux de l’indépendance politique de la nation, il est impossible d’accorder sa voix à Macron comme nous le demande le marigot des politicards de profession.
[1] https://information.tv5monde.com/info/l-otan-en-etat-de-mort-cerebrale-juge-emmanuel-macron-331037
[2] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/03/30/guerre-dukraine-mardi-29-mars-2022-jour-34-fin-de-journee/#:~:text=L'Ukraine%20est%20pr%C3%AAte%20%C3%A0,Pologne%2C%20la%20Turquie%20et%20Isra%C3%ABl.
[3] https://ingirumimusnocte2.blogspot.com/2021/10/leurope-des-coups-de-poignard-dans-le.html
[4] https://www.marianne.net/societe/defense/lallemagne-achete-des-f-35-americains-ah-elle-est-belle-leurope-de-la-defense#:~:text=Berlin%20a%20choisi%20d'acqu%C3%A9rir,au%20sein%20de%20l'Otan.
[5] https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/la-pologne-signe-lachat-de-32-chasseurs-f-35-americains-1167124
[6] https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/il-ny-a-jamais-eu-autant-dimmigration-sur-la-periode-recente-que-sous-emmanuel-macron
[7] https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/montee-de-l-extreme-droite-en-france-je-n-ai-pas-reussi-a-l-endiguer-reconnait-emmanuel-macron_5061631.html
[8] https://www.midilibre.fr/2022/02/10/groupe-paramilitaire-wagner-quelle-est-cette-milice-russe-qui-sevit-actuellement-au-mali-10101616.php
[9]Olayiwola Abegunrin & Charity Manyeruke, China’s Power In
Africa: A New Global Order, Palgrave Macmillan, 2020
[10] https://www.lemonde.fr/international/article/2021/09/16/l-australie-rompt-le-contrat-du-siecle-avec-la-france-sur-les-sous-marins-au-profit-de-technologies-americaines-et-britanniques_6094854_3210.html
[11] https://www.lefigaro.fr/international/en-pleine-crise-des-sous-marins-l-allemagne-pose-les-bases-d-un-partenariat-spatial-militaire-avec-l-australie-20210923
[12] https://www.leparisien.fr/international/crise-france-italie-toujours-des-tensions-macron-va-s-entretenir-avec-mattarella-11-02-2019-8009562.php
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