Le cupide Macron est gêné aux entournures par les
révélations sur ses relations de concubinages avec le glouton McKinsey cabinet
de conseil américain qui a englouti depuis l’élection malencontreuse de 2017
2,4 milliards d’euros en fournissant en contrepartie des études et des
recommandations sur ce que le gouvernement doit faire en matière de réduction
des dépenses publiques ou en matière de conduire la politique sanitaire fondée
sur la vaccination totale de la population. Cette affaire est scandaleuse à au
moins trois titres :
– d’abord parce qu’il s’agit d’un détournement de fonds
publics au profit d’amis du privé. Et comme le notait le rapport récent du
Sénat sur cette gabegie, l’opacité des appels d’offres ouvre la possibilité de
rétrocommissions au profit de membres du gouvernement ou même du locataire de
l’Elysée[1].
Le fait que McKinsey n’ait pas payé d’impôts sur ce détournement de fonds
publics est important, mais relativement secondaire, eu égard les lois que
les plus riches ont concoctées afin de payer le moins d’impôts possibles ;
– ensuite, parce que ce détournement de fonds publics montre
que ni Macron, ni le gouvernement, ni encore moins l’Assemblée nationale ne
font la politique de la France, mais celle-ci est concoctée par un cabinet
américain. Autrement dit, les affaires financières et économiques de la France
sont gérées par Goldmann & Sachs au niveau de l’Union européenne, et les
affaires politiques et sociales le sont par McKinsey qui au passage accroit
l’endettement de l’Etat pour ensuite le dénoncer et donner des instructions
encore plus ruineuses pour soi-disant le réduire en serrant les couilles des
plus pauvres. On se souvient de le coûteux et ubuesque rapport sur les APL que
le gouvernement avait finalement renoncé à mettre en œuvre parce qu’il suscitait
la colère populaire.
– enfin ce scandale McKinsey postulerait que le gang du gouvernement se méfie des services de l’Etat et préfère faire confiance à l’expertise américaine pour gérer ses affaires. Le désastre de l’hôpital public ou la réforme débile de l’éducation nationale, prouve que c’est plus qu’une erreur de jugement, c’est une imbécillité.
Le monde, le journal officiel de la Macronie, a
essayé de déminer le terrain en tentant de noyer le poisson[2].
Les journalistes qui ont pris en charge cette lourde tâche de déminage se sont
un peu embrouillés, tentant de monter en épingle les rigueurs de la loi sur la
question des impôts, ou en disant que d’autres gouvernements avant Macron faisaient
de même avec McKinsey. Mais justement en montrant que McKinsey influençait
aussi les autres gouvernements ils renforçaient clairement les liaisons
douteuses de Macron avec cette boutique et montraient d’une manière indirecte
et dérangeante que la politique ne se faisait pas à l’Elysée, mais dans les
arrières boutiques « pensantes » du capitalisme néolibéral. Notez que
les hommes de McKinsey se retrouvent comme le montre l’illustration ci-dessus
indifféremment, soit au gouvernement, soit chez McKinsey, soit au cœur du parti
LREM, coquille vide qui aide également à détourner des fonds en grande
quantité. La campagne de Macron pour sa réélection de 2022 ne lui aura
pratiquement rien coûté puisqu’il a évité le plus longtemps possible de
descendre dans l’arène de peur de devoir affronter des questions embarrassantes.
Mais ces différentes structures trouveront sans doute le moyen de se faire
rembourser par nos impôts des pseudo-dépenses de campagne en exhibant des
factures fantaisistes.
Cette affaire est d’autant plus scandaleuse que les recommandations de McKinsey pour par exemple diminuer les dépenses publiques sont toujours les mêmes, sans surprise, vous pouvez les voir dans n’importe quel manuel d’économie qu’on conseille aux étudiants de l’ENA de lire : l’hôpital coûte cher ? Fermons des lits de réanimation : les APL coûtent un pognon de dingue, abaissons-les. Pour imaginer ce genre solution aussi bêtement comptable, on n’a pas besoin de payer un rapport et des rapporteurs, comme on n’a pas besoin de McKinsey qui n’a pas plus de compétence en épidémiologie qu’il n’en a en matière de logement social, pour acheter les doses de vaccin et les distribuer. L’Etat sait le faire avec l’aide normale des préfets et des ARS.
La deuxième histoire vraiment vulgaire et mesquine est que Macron triche avec le fisc comme le premier venu des impécunieux. L’avarice travaille ce malheureux garçon, et ce n’est pas d’aujourd’hui. Non seulement il s’était fait redresser en 2017 pour avoir menti sur sa déclaration de patrimoine, tentant mesquinement d’échapper à l’ISF, mais il récidive aujourd’hui. En 2022, il a le culot de déclarer un patrimoine inférieur à celui qu’il déclarait en 2017. Or évidemment entre 2017 et 2022 il a gagné officiellement en tant que président 162 000 € net par an, ce qui fait en cinq ans, plus de 800 000 € ! Or tous ses frais sont intégralement payés par le budget de l’Elysée, y compris quand il se déplace en vacances. Mais malgré tout, il fait une déclaration mensongère au fisc disant qu’en 5 ans de mandat il s’est appauvri, passant d’un patrimoine de plus d’un million trois cent mille euros, puisqu’il payait l’ISF, à 550 000 euros. Où et comment aurait-il pu dépenser tous ses gains ? Même s’il payait sa cocaïne autrement qu’à l’aide de la caisse noire de l’Elysée, aux 1,3 millions € il faudrait ajouter ces 800 000 € et donc on devrait arriver à un minimum de 2 millions d’euros dans sa déclaration de patrimoine. Dans une enquête bien documentée, L’Humanité expliquait comme il était possible quand on est banquier d’affaire de dissimuler facilement de l’argent dans des paradis fiscaux[3]. Selon cet article le cupide Macron aurait gagné beaucoup plus que 3 millions d’euros lors de la vente d’une filiale de Pfizer – boutique qui a décidé pour lui de la politique sanitaire en France – à Nestlé mais probablement, selon les usages de la banque d‘affaire entre 5 et 10 millions d’euros. Le montant de la vente, une grosse affaire, de 9 milliards d’euros engendrait automatiquement près de 150 millions de commission. Macron a donc encaissé effectivement bien plus de 3 millions dans cette histoire. Que sont devenues ces sommes ? Mais on sait aussi que la vente d’Alstom conduite par le tandem Kohler-Macron a rapporté au moins à ce couple 4 millions d’euros, c’est ce qu’a touché Patrick Kron, autre carambouilleur. Et donc dans cette affaire il est probable que Macron a encaissé 2 millions d’euros si par exemple il a partagé la commission d’Alstom avec Kohler. Il y a donc au minimum 4 à 6 millions qui ont été encaissés par Macron et qui n'ont jamais revu le jour. De même quand Macron fait racheter par la France une filiale d’Alstom au prix du double de ce qu’il l’a vendu antérieurement aux intérêts américains, il est encore probable que des rétrocommissions aient été perçues[4]. Cette nouvelle affaire scandaleuse liée à Alstom prouve l’insatiabilité de ce gang.
Derrière ces histoires sordides d’avarice, d’autres se profilent encore. D’après le journal ultra-macronien, Le monde, l’Elysée sous Macron aurait encore plus abusé de l’usage des sondages que le sinistre Sarkozy qui est impliqué dans ce scandale. « Les chiffres sont éloquents. Les dépenses du SIG en matière de sondages sont passées de 1,4 million d’euros en 2017, à 1,9 million en 2018, puis à 3,3 millions en 2019 – dont près de la moitié a servi à analyser les contributions du grand débat national. En 2020, la facture s’est élevée à 2,6 millions d’euros, dont près de 40 % sur l’épidémie de Covid19, et celle – non encore connue – de l’année suivante, devrait encore être supérieure : entre janvier et septembre 2021, 2,1 millions d’euros avaient déjà été dépensés, dont 20 % en lien avec la crise sanitaire. » Macron et son gang ont en effet accru considérablement l’appel aux sondeurs, comme ils ont fait en utilisant les services des cabinets de conseil. Ils ont sondé les Français sur tout et n’importe quoi, le plus souvent pour tenter de soigner leur image de marque défaillante et parfois pour comprendre pourquoi ils se faisaient cracher dessus par les Français. Les sommes dédiées sont en augmentation tout au long du quinquennat[5]. Non seulement on peut critiquer cette passion curieuse pour défendre leur image de marque, mais comme sous Sarkozy, il est probable que cette appétence pour les sondages ouvre aussi la voie à des malversations, comme ce fut le cas dans les affaires qui ont secoué le gang de Sarkozy, malversations, ça veut dire rétrocommissions, financement occultes des élections ou pots de vin, comme vous voulez. Le monde joue les naïfs et tente de faire croire à ses lecteurs que le pouvoir cherche seulement à comprendre ce qui se passe sur le terrain. Mais en dehors de l’incompréhension manifeste de Macron et de ses sbires en ce qui concerne les attentes des Français, il y a une certaine forme de démission, ou si on peut dire une navigation à la godille.
Marc MacGann lobbyiste d’Uber et Macron qui fait ses courses
L‘affaire Uber qui vient d’éclater dans ce mois de juillet est emblématique des problèmes psychologique que Macron et son gang entretiennent avec l’argent. Leur avidité les perdra. Les révélations portent. Le monde, pourtant journal macronien de la première a détaillé les compromissions de Macron le cupide avec la firme Uber[7]. Pour bien comprendre l’enjeu de ses révélations, il s’agit d’une enquête internationale – et donc pas seulement du Monde qui se trouve contraint de la publier – menée par plusieurs journaux, mais qui n’aurait jamais démarré si Marc MacGann n’avait pas vendu la mêche. Celui-ci était un lobbyiste d’Uber, stipendié en tant que tel, et donc c’est d’emblée un personnage louche. Il se présente comme un lanceur d’alerte, mais nonobstant les raisons qui l’ont poussé à mettre les pieds dans le plat, il va confirmé la bassesse de et la cupidité de Macron. Uber c’est ce qu’il y a de pire comme employeur. C’est la dévalorisation du travail et du statut de salarié, c’est le capitalisme du XIXème siècle. On se souvient que Macron défendait au moment de se lancer dans la campagne présidentielle cette funeste boutique au motif qu’elle créait des emplois : « je préfère, disait ce gangster, un travailleur ubérisé à un chômeur ». On comprend mieux pourquoi aujourd’hui le cupide Macron défendait Uber alors même qu’étant à Bercy, il était parfaitement bien placé pour savoir que cette firme volait l’Etat français en ne payant pas ses impôts.
Macron a donc aidé Uber, non seulement pour les impôts, mais également pour modifier la loi, le droit du travail, de façon à faciliter la vie de cette canaille qui exploite les travailleurs sans vergognes. Le Monde parle de proximité idéologique, mais ce canard boiteux oublie deux choses : d’abord qu’il a soutenu Macron depuis au moins 2016 pour qu’il soit élu et réélu, alors qu’un enfant de quatre ans savait que macron était un gangster, ensuite que de l’idéologie, Macron s’en tamponne un peu pourvu que le pognon continue à rentrer, le COVID a montré que pour défendre une politique sanitaire très contestable, il était prêt à creuser une dette abyssale au profit de Pfizer. Il est très probable que Macron qui est d’une avarice au moins aussi grande que celle de sa femme, n'a pas rendu ses services gratuitement. Il a, toujours selon Marc MacGann, reçu des fonds de la part d’Uber pour sa campagne de 2017 et sans doute a-t-il aussi reçu des liquidités qui ont alimenté ses comptes cachés ou ouvert à des prêts de noms. Les banquiers savent bien dissimuler l’argent aux yeux des jaloux.
Sur Internet, une opinion manipulée, la société iStrat a multiplié les faux articles favorables à Uber sur des sites de presse, avant une décision judiciaire cruciale. Et qui on trouve à la tête d’iStrat ? Olivia Gregoire, menteuse professionnelle, quelques semaines porte parole des mensonges du gouvernement et qui est maintenant ministre de la corruption auprès des PME. Pour échapper à la police, l’appli de VTC allègrement trafiquée Dans plusieurs pays, Uber a tenté de rendre son service inutilisable pour les forces de l’ordre afin de compliquer le contrôle des chauffeurs. « Nous avons vendu un mensonge à tout le monde » Mark MacGann, qui fut l’un des principaux lobbyistes d’Uber, est le lanceur d’alerte qui a transmis 124 000 documents au « Guardian ». Macron a beau « assumer » au nom de la défense de l’emploi, sa bouffonerie ne masque pas la canaillerie de la Macronie[8]. Pour se défendre il a sombré une fois de plus dans la grossièreté, oubliant son nouveau profil d’honnête homme : « Je conçois tout à fait qu’ils veuillent s’attaquer à ma pomme, ça fait cinq ans et demi, je suis habitué », a-t-il balayé en réagissant aux critiques venues de l’opposition de gauche. Et de citer Jacques Chirac : « Très sincèrement comme disait un de mes prédécesseurs, ça m’en touche une sans bouger l’autre ». Le cynisme de cet individu manifestement au bord la folie n'a plus de borne. Mais il oublie de dire qu'il a enfreint la loi plusieurs fois en se faisant l'instrument de la pénétration d'Uber sur le territoire français. Cette affaire qui interpelle les malheureux imbéciles qui ont voté pour lui pour faire barrage à Marine Le Pen – ils ont voulu faire barrage à un fascisme qui n’existe pas en facilitant la vie de ce grand corrompu –, est emblématique du néolibéralisme : les très riches achètent des hommes politiques qui modifieront les lois à leur profit et qui sont capables de le justifier auprès de l’opinion. N’oubliez pas, Macron était le ministre d’Hollande quand il s’est vendu à Uber et à quelques autres, et donc l’ancien président qui représentait la fausse gauche, porte une responsabilité très lourde dans le désordre engendré par les deux quinquennats macroniens. Une telle affaire aurait en Angleterre déjà conduit le premier ministre à la démission, Boris Johnson a été démis pour bien moins que ça. Mais si en France Macron et sa perruque ne démissionneront pas, protégés par des institutions finalement fort peu démocratique, cette affaire va durer et sûrement entraîner de nouvelles révélations et détruire le peu de crédit qu’il leur restait.
PS sur la Macronie et sa corruption endémique
Passons sur les déboires d'Elisabeth Borne incapable de déclarer sérieusement ses revenus, volant l'Etat au passage. Beaucoup se sont posé la question des liens entre Macron et Bolloré d’un côté et entre Bolloré et Zemmour de l’autre. On vient d’avoir un début de réponse avec la vente de Bolloré Africa Logistics à Mediterranean Shipping Company[9], compagnie qui avait embauché Alexis Kohler comme directeur financier quand Macron a quitté Bercy pour faire sa campagne et avant qu’il ne revienne auprès de lui à l’Elysée. Or Kohler a des liens familiaux avec MSC, c’est-à-dire avec la famille Aponte, et il est intervenu pour celle-ci quand elle a eu des difficultés de paiement. On retrouve le sulfureux Kohler qui finira sans doute en prison, dans des tas de conseils d’administration ou chaque fois il a facilité la vie de MSC. C’est ce qu’on appelle un conflit d’intérêt ou plutôt des conflits d’intérêts. Kohler est poursuivi, lentement évidemment par le Parquet Nationale Financier. Qui est toujours très lent dès qu’il s’agit du gang de Macron. Il y a quelques mois Le canard enchaîné – pas Le monde ni Libération bien entendu – révélait que Bolloré avait besoin de Macron pour liquider ses affaires en Afrique. C’est maintenant chose faite, grâce à Kohler bien entendu. Cet Alexis Kohler qui est dans tous les mauvais coups de la Macronie, c’est lui la cheville ouvrière de la scandaleuse vente d’Alstom à prix d’ami aux Américains. Et c’est sans doute lui qui a facilité la vie de Bolloré. En 2019, Macron, passant outre l’idée saugrenue de séparation des pouvoirs avait écrit au PNF pour disculper son copain dans les malversations récurrentes de la haute finance, avait écrit une lettre qui fit changer le très mou et peu indépendant PNF d’avis et qui renonça à poursuivre le puissant secrétaire général de l’Elysée. C’est plus de la politique, c’est du simple banditisme mafieux, avec intimidation des juges. La vente de Bolloré Africa Logistics confirme le concubinage de Macron et son gang avec le grand capital et explique pourquoi Zemmour a été lancé dans le grand bain d’une campagne électorale qui va le conduire à sa perte.
Pour ceux qui veulent comprendre pourquoi Alexis Kohler finira tôt ou tard en taule, il faut lire les enquêtes de l’excellente Martine Orange publiées dans Médiapart ou se rendre sur le site https://www.off-investigation.fr/ spécialisé dans l’analyse ce genre de carambouille. Quand Macron s’est défendu sur ses liens avec McKinsey il a dit qu’ils aillent au pénal, mais il n’a pas dit qu’ils aillent devant le PNF parce qu’il sait que de ce côté lui et Kohler sont relativement tranquilles. Anticor poursuit avec la patience de la fourmi ses plaintes multiples et variées contre Kohler au pénal où le classement sera plus difficile.
[1] http://www.senat.fr/notice-rapport/2021/r21-578-1-notice.html
[2] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/03/29/mckinsey-et-macron-le-vrai-et-le-faux-sur-la-polemique_6119680_4355770.html
[3] https://www.humanite.fr/politique/emmanuel-macron/lenquete-qui-jette-le-soupcon-sur-le-patrimoine-demmanuel-macron-743752
[4] https://frontpopulaire.fr/o/Content/co753570/rachat-d-alstom-energie-a-general-electrics-bonne-affaire-ou-coup-tordu
[5] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/03/30/sondages-un-executif-tres-attentif-aux-humeurs-de-l-opinion_6119723_823448.html
[6] https://www.vududroit.com/2022/03/scandale-mckinsey-oui-cela-merite-daller-au-penal/
[7] https://www.lemonde.fr/pixels/article/2022/07/10/uber-files-revelations-sur-le-deal-secret-entre-uber-et-macron-a-bercy_6134202_4408996.html
[8] https://www.nouvelobs.com/politique/20220712.OBS60853/macron-assume-a-fond-sa-demarche-aupres-d-uber-je-le-referais-demain-et-apres-demain.html
[9] https://www.jeuneafrique.com/1335178/economie/msc-rachete-bollore-africa-logistics/?utm_source=facebook.com&utm_medium=social&utm_content=jeune_afrique&utm_campaign=post_articles_facebook_31_03_2022&fbclid=IwAR0CrycRJWz3mih1cMHjl5Oyy1ILZX0UpdJk-hEbOffGkiLNH-L80qwbWtw#:~:text=Mediterranean%20Shipping%20Company
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