lundi 19 septembre 2022

Eliminer le peuple de la gouvernance mondiale, le rôle de l’Union européenne

  

La médiocre Ursula von der Leyen a de la suite dans les idées, reconnaissons-lui cette qualité. Nous savons que l’Union européenne fonctionne très mal. Et donc beaucoup croit qu’en modifiant les traités ou en désobéissant ponctuellement à eux, on pourra affirmer sa souveraineté. Le monde, baromètre de la fantaisie européiste, a déjà mis en garde Marine Le Pen et Mélenchon en disant que non, les traités ça ne se gère pas à la carte, et que soit on reste dans l’Union européenne, soit on en sort, sinon on s’expose à de lourdes amendes, qu’on n’est pas obligé de payer dirait Mélenchon, mais si on ne les paye pas, on risque de se trouver face à des sanctions qui seront difficiles à supporter, par exemple en ce qui concerne le financement de la dette du pays par la Banque Centrales Européenne. Pour ce journal crasseux intellectuellement, il va de soi qu’on ne peut pas être à la fois dans l’Union européenne et revendiquer une souveraineté pour la France[1]. Le monde ne se rend pas bien compte qu’en faisant ce type de compte-rendu virulent censé appuyer la démarche de Macron et d’Ursula von der Leyen, il démontre par-là que dans l’Union européenne le peuple ça n’existe pas, ça ne peut pas exister et que seul compte l’avis des experts et des bureaucrates pour diriger l’ensemble. 

Macron, sa perruque et Ursula construisant un plan 

Donc Macron et l’abominable Ursula qui a du sang de dictateur dans les veines, veulent imposer une modification des traités européens, faisant semblant ainsi qu’ils sont à l’écoute du populo. « J’ai toujours dit que le vote à l’unanimité dans certains domaines clés n’avait tout simplement plus de sens, si nous voulons être capables d’avancer plus vite » dit Ursula Von der Leyen[2]. Autrement dit l’Union européenne sur les sujets importants comme l’achat de vaccin, l’obligation vaccinale ou encore les livraisons d’armes à l’Ukraine pour faire la guerre à la Russie, ne sera pas décidé par l’ensemble des pays membres mais seulement par les plus importants, soit évidemment l’Allemagne et ses féaux. Ce sinistre raisonnement imaginé par un cerveau malade, appelle plusieurs remarques :

1. d’abord pour sortir l’usage des traités de la règle de l’unanimité, il faut déjà être capable de trouver une unanimité qui l’accepte. C’est douteux, treize pays sur vingt-sept ont dit que cela était inacceptable ;

2. ensuite, cela voudrait dire qu’il y aurait une division en Europe, entre ceux qui par exemple supportent une politique agressive contre la Russie et les autres, mais ces mêmes « autres » seraient soit embarqués dans cette galère contre leur gré, soit la financeraient via les fonds qui alimentent la bureaucratie corrompue de la Commission européenne. On peut ainsi imaginer que la Hongrie par exemple serait entraînée malgré elle dans cette guerre. Certes on peut aussi penser que seuls les pays qui voteraient une action à la majorité la financeraient et la mettraient en œuvre. Mais alors cela montrerait que l’Union européenne est particulièrement divisée sur une question cruciale et que l’unité de façade nécessaire pour construire une Europe fédérale n’existe pas. Le propos est tellement débile, qu’un cerveau un peu éveillé se rend vite compte qu’on ne pourra pas construire une armée européenne contre l’avis de la moitié des pays membres qui dans le cas contraire craindraient d’être les otages d’une sinistre lubie. 

 

La guerre de l’OTAN contre la Russie par Ukrainiens interposés, a ramené sur le devant de la scène la question de notre participation à cette boutique qui est une bureaucratie militaire qui travaille pour l’impérialisme américain. Peu de politiques ont fait entendre une voix dissonante pour dire c’est assez, sortons de l’OTAN, ne nous laissons pas entraîner dans une guerre qui n’est pas la nôtre et dont les objectifs sont plus que douteux. C’est d’autant plus étrange que tout le monde – y compris cette crapule de Macron – se réclame du général de Gaulle. Or celui-ci, le 21 février 1966 avançait 5 arguments pour justifier la sortie de la France du commandement militaire intégré de l’OTAN. Ces 5 arguments furent les suivants[3] :

1°) L’O.T.A.N. est en fait « un protectorat américain sur l’Europe », que l’affaiblissement de la menace des pays du bloc de l’est ne rend plus aussi utile qu’auparavant. C’est la thèse développée par Annie Riz-Lacroix[4]

2°) L’arme nucléaire soviétique et la capacité de l’URSS de frapper le territoire américain constituent une situation nouvelle qui jette un doute sur la volonté réelle des Etats-Unis d’engager leur armement nucléaire pour protéger l’Europe de l’Ouest au risque de mettre en jeu leur propre survie.

3°) L’O.T.A.N. impose à l’Europe et à la France la « stratégie de l’Amérique », c’est-à-dire des guerres voulues par les États-Unis ; l’appartenance de la France au commandement militaire intégré de cette organisation risquerait donc d’entraîner la France dans des guerres, voire dans « une conflagration mondiale » que notre pays « n’aurait pas voulue ». c’est clairement ce qui est en train de se passer à propos de l’Ukraine.

4°) La possession de l’arme nucléaire par la France lui permet d’assurer elle-même sa sécurité, ce qui est incompatible avec une position de « subordonnée » dans les structures intégrées de l’Alliance.

5°) L’appartenance au commandement intégré de l’Alliance est contradictoire avec la volonté française d’indépendance nationale, incompatible avec « une situation normale de souveraineté ». 

Les dirigeantes de la Suède et de la Finlande plutôt fières d’elles !

Ce rappel est nécessaire au moment où, ultime provocation, la Suède et la Finlande ont eu l’idée débile de demander leur adhésion à l’OTAN. Le motif que ces pays dirigés par des femmes, congelées du cerveau, comme quoi le sexe ne changement pas la médiocrité des politiciens – je dis ça parce qu’on entend quelquefois dire que si le monde était dirigé par des femmes il y aurait moins de guerre – est que la Russie n’attaquera pas un pays membre de l’OTAN. Doit-on rappeler à ces deux menteuses que l’URSS et la Russie n’a jamais attaqué ces deux territoires du temps de leur neutralité, et qu’elle n’aurait aucune raison de le faire ? Mais par contre l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’OTAN signifie :

– d’abord que ces deux pays devront suivre les consignes de l’OTAN pour s’engager dans la guerre contre la Russie, ce qui est le but, même si leurs peuples ne le souhaitent pas, et cela les mettraient en première ligne ;

– ensuite qu’ils devront dépenser beaucoup d’argent pour financer l’effort de guerre contre la Russie, ce qui soulagera sans doute les Américains totalement empêtrés dans une dette publique qu’ils ne maitrisent plus, qui leur vendront le matériel nécessaire, mais qui pèsera sur ces pays aujourd’hui encore prospères. De fait on assisterait à une vassalisation de ces deux pays nordiques ;

– enfin que cette extension infinie de l’intégration otanienne non seulement est contraire aux promesses qui avaient été faites aux Russes en 1991, mais aussi qu’elles constituent une réelle menace aux portes de la Russie. Que veut-on ?  Prendre Kaliningrad ?

Cette intégration rallongera les frontières de l’OTAN de 1300 kilomètres autour de la Russie, faisant de la mer baltique un lac otanien ! Rien que cette entreprise justifie à elle seule la réaction de la Russie en Ukraine. Le but est d’enfermer la Russie, de l’isoler. 

 

Mais cet isolement de la Russie est une vue de l’esprit, en effet quand on ferme une porte, on s’isole aussi soi-même. Est-ce que les peuples européens – par exemple les Français ou les Italiens – veulent vraiment couper tous les ponts avec la Russie sur le long terme ? Plus l’intégration otanienne avance, et moins la souveraineté des peuples est respectée. En adhérent à l’OTAN, la Finlande et la Suède abandonnent leur souveraineté militaire et deviennent de simples provinces de l’impérialisme américain, de la chair à canon pour une prochaine guerre. C’est une manière de construire une « gouvernance » mondiale, sauf qu’en réalité c’est l’ensemble occidental, USA plus l’Europe vassalisé, qui s’isole du reste du monde, on commence à le comprendre un peu. Les Etats-Unis sont le pays le plus détesté de la planète, et pour cause ! Mais les Occidentaux croient toujours que l’Occident est tellement riche et avancé sur le plan économique qu’il peut sans risque fermer ses marchés aux pays récalcitrants, l’Inde, la Chine, ou d’autres encore. Or la Chine, l’Inde, la Russie ne sont plus des pays du Tiers-Monde, ils ont un niveau de développement élevé et maitrisent de plus en plus les technologies les plus récentes utiles au développement économique. Ces pays pèsent lourd, et ils pèsent d’autant plus lourd que les Occidentaux sont de plus en plus chassés des autres continents, notamment en Afrique où la France n’existe plus et où la coopération économique se fait avec la Chine et la Russie. Ce qui veut dire qu’en tentant bêtement d’isoler la Russie, c’est l’arrière-cour de l’Occident qui rétrécit ! Contrairement à ce que nos médias tentent de nous vendre, la majorité du monde n’est pas contre la Russie, seulement une quarantaine de pays appliquent plus ou moins bien les sanctions décidées à Washington. Il existe 197 pays dans le monde, et à moins de considérer les autres pays comme peuplés de sous-hommes, il est bien difficile de dire que les Russes sont isolés sur la scène internationale. Cet isolement de l’Occident peu d’ailleurs être considéré comme la conséquence de la mondialisation. Par exemple les Etats-Unis et le reste de l’Occident, ont massivement investi en Chine, accélérant ainsi son développement. Longtemps la Chine fut la première destination des investissements directs étrangers, et forcément cela leur a permis une montée en gamme dans les chaînes de production. Il ne faut pas s’étonner qu’en franchissant un stade de développement la Chine revendique toujours plus de droits pour s’affranchir de la tutelle de l’Occident, que ce soit sur le plan militaire ou sur celui de la maitrise des technologies nouvelles. Présenter aujourd’hui la Chine et la Russie comme des ennemis relève seulement du dépit de voir l’élève s’émanciper de son maître. 

Carte des pays appliquant les sanctions américaines contre la Russie 

Les sanctions économiques décidées par les Américains et les Européens contre la Russie doivent être comprises comme inefficaces, mais aussi comme un échec dans le projet d’établir une gouvernance mondiale. La Commission européenne en est à un septième train de sanctions. C’est comme pour le vaccin, moins ça marche et plus on insiste. Pour punir les Russes Macron leur a donné une usine Renault clé en main pour 1,5 cts d’euros, soit un rouble ! La perte nette pour l’Etat français est de 2,2 milliards d’euros et avec quelques ajustements les Russes disposent aujourd’hui d’un outil pour fabriquer à bon compte des automobiles. Cet alignement sur les positions américaines coûte très cher. Si la France était indépendante de l’Union européenne et de l’OTAN, elle n’aurait pas creusé encore plus son déficit commercial, tandis qu’à la suite de la guerre en Ukraine, la balance commerciale russe s’est clairement améliorée, confirmant que Bruno Le Maire ne sait pas ce qu’il dit quand il avance que l’économie russe va s’effondrer. Autrement dit cette asymétrie entre le comportement de la balance commerciale française et la balance commerciale russe est le résultat de l’alignement de la France sur une gouvernance mondiale erratique et de la souveraineté de la Russie en matière économique. Que toutes les sanctions économiques contre la Russie aient échouer dans les grandes largeurs prouve à quel point ces gens-là ne savent plus ce qu’ils font, à part envoyer des armes et entretenir une guerre meurtrière. Il est probable qu’une France souveraine aurait certainement eu plus de poids pour aider à l’émergence d’une solution négociée. Mais en restant dans la roue de l’OTAN, elle ne peut qu’en subir les conséquences qui sont un nouveau recul de sa souveraineté. 

Excédents russes de la balance commerciale et des paiements 

Cependant alors que depuis des semaines on nous promettait un renforcement de l’OTAN et de l’Union européenne, c’est l’inverse qui risque de se passer à la fin de la guerre qui, d’une manière ou d’une autre, va bien se terminer un jour. L’OTAN sera comptable d’avoir entretenu une guerre ruineuse « par ses aboiements aux portes de la Russie », comme dit le Pape François[5]. Mais depuis quelques semaines, les dissensions entre la Commission européenne et certains pays comme la France, l’Italie ou même la furieuse Allemagne, montrent une nouvelle faille entre les jusqu’au-boutistes du type polonais ou lituanien qui voudraient une reddition de l’armée russe, et ceux qui pensent qu’il faut avancer vers une solution négociée, ce qui veut dire fatalement des concessions territoriales de la part de Zelensky et reconnaitre au minimum la sécession du Donbass. Ces dissensions montrent que ce pouvoir supranational sans contrôle est voué à l’échec. La Commission européenne, présidée par l’hurluberlue von der Leyen, ne tient debout qu’à coups de concessions. Par exemple, elle exerce un chantage contre les Polonais et les Hongrois en les menaçant de leur couper les subventions s’ils ne s’alignent pas. Mais l’OTAN elle-même qui a la volonté d’intégrer au plus vite, les Suédois, les Finlandais et même l’Ukraine, doit se plier pour cela au pouvoir d’une minorité extra-européenne, celui de la Turquie[6]. Dans les deux cas une minorité peut bloquer un « gouvernement » supranational. Et cela n’est pas près de changer. Si l’OTAN, bras armé de l’impérialisme américain sur le seul européen, ne prétend pas à remplacer les entités nationales, les bureaucrates de l’Union européenne pensent que cela sera possible sur le long terme, en diluant de plus en plus les souverainetés nationales, en leur ôtant leur pouvoir de décision. Le problème est que pour que cela fonctionne il faut avoir des résultats, or ni la monnaie unique, ni la Commission européenne n’en ont vraiment, ces deux institutions tentent de camoufler leur échec derrière les crises qui seraient venues d’ailleurs, crise des subprimes, crise sanitaire, crise ukrainienne, mais ça ne marche pas car à l’évidence ces crises viennent justement de la déréglementation des marchés et donc de la dilution des nations dans la mondialisation.

La belle entente de deux grands démocrates 

Le dictateur Erdogan est un très fin diplomate, reconnaissons-lui cette qualité, même si par ailleurs nous condamnons ses exactions contre son peuple et contre les Kurdes. Arguant de son rôle au sein de l’OTAN et de la position stratégique de son pays dans le contrôle de la Mer Noire, il joue sur tous les tableaux en même temps. Il livre des drones meurtriers à l’Ukraine, ce qui satisfait l’OTAN, mais en même temps il transactionne avec les Russes pour écouler lui-même le blé ukrainien ! Également cette position de pivot lui permet d’acheter du pétrole à la Russie et de le revendre après raffinement avec un joli bénéfice pour sa famille aux Européens qui pour sanctionner les Russes ne leur achètent plus ni gaz ni pétrole. Mais personne ne lui dit rien parce que les pays européens ont intérêt à acheter ce pétrole tout en faisant semblant de mettre en œuvre des sanctions économiques douteuses qui mettront la Russie à genou. Et en même temps comme l’OTAN a besoin de lui pour faire fonctionner sa boutique, notamment sur la question de l’intégration de la Suède et de la Finlande dans l’OTAN, elle ferme les yeux sur les attaques sur le nord de la Syrie où se poursuit une véritable purification ethnique en y chassant les Kurdes. Les Américains, l’OTAN et les Européistes ne disent rien de ce qui aboutira nécessairement, comme en Ukraine, à une redéfinition des frontières. Ils ont trop besoin, pour poursuivre leur jeu trouble, du dictateur Erdogan. Ils ne regardent pas trop non plus des droits de l’homme qui sont totalement bafoués en Turquie, et pensent que tôt ou tard on intégrera la Turquie à l’Union européenne. Ils font mine de ne pas voir que le régime d’Erdogan est encore bien moins démocratique que celui de Poutine. Ce rôle de pivot, Erdogan s’en sert aussi pour fracturer un peu plus le camp de l’OTAN, par exemple en avançant que les sanctions contre la Russie devraient être levées afin de reprendre les exportations de céréales. En se posant ainsi comme négociateur raisonnable, face aux furieux otanistes[7], il espère jouer ainsi un rôle dans les négociations à venir lors de la reconstruction de l’Ukraine, mais il démontre du même coup que la gouvernance mondiale n’existe pas vraiment et ne peut pas exister. Du reste l’ONU le démontre tous les jours, n’ayant strictement rien pu faire pour jouer un rôle utile dans l’évolution du conflit en Ukraine. Récemment Erdogan dont le pays est membre de l’OTAN a fait étalage de sa souveraineté en renforçant ses liens de coopération avec la Russie, sans que l’OTAN, les Américains et les européistes trouvent quoi que ce soit à redire[8]. Cet épisode tend à démontrer que sur le chemin de la mondialisation, plus personne ne maîtrise rien, et que les pays les mieux armés dans cette époque restent ceux qui sont ouvertement souverainistes. 

Erdogan et Poutine à Sotchi le 5 aout 2022 

Les exemples d’une impossibilité d’une gouvernance mondiale sont légion, alors qu’aujourd’hui les tensions militaires et les guerres se généralisent sur toute la surface de la planète, preuve sans doute d’un effondrement de la diplomatie. Par exemple les européistes annonçaient un effondrement (encore un autre effondrement !) de l’économie britannique parce qu’ils n’avaient pas la monnaie unique et parce qu’ils voulaient sortir de l’Union européenne, mais cela ne s’est pourtant pas passé. Au contraire, les Britanniques s’en sortent mieux que l’Europe continentale d’un point de vue économique, même si sa politique reste très inégalitaire : leur pays est plus industrialisé que la France maintenant, leur taux de croissance est plus élevé que sur le continent, et le PIB par tête est plus élevé que celui de la France. La déconfiture de la Grèce, pays trahi par Tsípras qui fit ce qu’on lui demandait pour rester dans l’Union européenne et dans l’euro, mais l’inverse de ce que le peuple avait décidé, parle d’elle-même. Les propagandistes de Bruxelles prédisaient à la Grèce une dépression profonde s’ils sortaient de l’UE et de la monnaie unique, mais cette dépression ils l’ont eue en y restant. Quelles que soient les farces de Boris Johnson qui s’en va, plus personne au Royaume Uni ne parle aujourd’hui de revenir sur cette sortie, ses successeurs ne transgresseront pas la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. 


[1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/05/10/qu-impliquerait-la-desobeissance-aux-regles-europeennes-promue-par-la-nupes_6125509_4355770.html

[2] https://www.midilibre.fr/2022/05/09/union-europeenne-vote-a-lunanimite-ou-a-la-majorite-pourquoi-cette-question-divise-les-27-10284918.php

[3] D’après https://www.les-crises.fr/de-gaulle-et-l-otan-1966-l-epiphanie-de-la-france-libre-par-eric-juillot/

[4] https://ingirumimusnocte2.blogspot.com/2022/05/annie-lacroix-riz-aux-origines-du.html

[5] https://www.laliberte.ch/news/le-pape-a-mis-en-cause-l-otan-646139

[6] https://www.rfi.fr/fr/europe/20220513-turquie-erdogan-oppos%C3%A9-%C3%A0-l-adh%C3%A9sion-%C3%A0-l-otan-de-la-su%C3%A8de-et-de-la-finlande

[7] https://www.rts.ch/info/monde/13154122-avancees-diplomatiques-en-turquie-sur-la-reprise-des-exportations-de-cereales-russes-et-ukrainiennes.html

[8] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/08/06/a-sotchi-poutine-et-erdogan-renforcent-leur-cooperation-economique-et-energetique_6137356_3210.html

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