jeudi 22 septembre 2022

Les éditions de l’Aube partent en guerre contre Poutine le Moloch

  

Les éditions de l’Aube sont une maison militante pour la mondialisation, le libéralisme soft et pour l’Europe bien entendu. Progressiste, russophobe, jadis proche du parti socialiste, dans sa version droitière, elle est maintenant une sorte d’officine macronienne. La voici donc qui nous livre par ses auteurs interposés sa propre lecture des évènements récents, lecture qui s’apparente tout de même à de la désinformation. Le premier ouvrage, Poutine la logique de la force, est dû à un plumitif d’Ouest-France. Le premier tort de Bouthors est de personnaliser les questions géopolitiques à l’Est de l’Europe en se focalisant sur Poutine, ne comprenant pas manifestement que Poutine n’est que l’incarnation d’une classe politique russe qui a décidé il y a une vingtaine d’année de redresser son pays. Poutine est désigné comme un ancien espion du KGB, énoncé comme cela, c’est signifier que le personnage possède des desseins marqués du coin de la fourberie. Usant de la force, car incapable de convaincre, il aurait pour visée à longue échéance de reconstituer l’Empire soviétique. Même à la grande époque de la Guerre froide personne ne croyait à cette élucubration. Cette idée aussi commune qu’idiote ne tient pas compte de deux faits, d’abord, c’est bien l’Empire américain qui, via l’OTAN, étend continument son pouvoir en Europe. Ensuite que la Russie n’a pas les moyens économiques et militaires de cette reconstitution. Elle n’est même pas capable de récupérer toute l’Ukraine. Son ambition dans la guerre est seulement de rattacher la Crimée et le Donbass où les populations lui sont largement acquises. Le médiocre Bouthors nous dit ensuite que la Russie est de plus en plus isolée, que Poutine en a construit son isolement. Les faits lui donnent tort. La Russie est au contraire de moins en moins isolée sur le plan économique, la preuve ? La balance commerciale russe bat des records tous les mois d’année 2022. Mais Bouthors qui confond ses désirs et la réalité en bon propagandiste atlantiste ne comprend pas que la Russie depuis vingt ans développe son indépendance économique dans tous les secteurs. Œuvrant toujours dans le comique, il en vient ensuite à nous dire que la Russie souffre d’un manque de liberté démocratique, notamment en ce qui concerne la presse. Pourtant, c’est bien en Europe qu’on interdit le pluralisme en bannissant de toute visibilité les médias russes, au mépris des lois sur la presse et son indépendance. Pourtant c’est bien en Ukraine que les journaux et les chaines d’opposition sont interdites par le gouvernement. Pourtant ce sont bien les Etats-Unis qui poursuivent Julian Assange pour avoir révélé les turpitudes des gouvernements américains. Il risque jusqu’à 175 ans de prison[1] ! Je ne vais pas dire que le régime poutinien me convient et qu’il est un exemple de démocratie, je veux seulement dire qu’en critiquant le manque de démocratie en Russie Bouthors ment par omission faisant comme si en Occident nous vivions à l’inverse dans une vraie démocratie parce qu’on vote régulièrement, sans que rien ne change sur le fond ». Il faut toujours balayer devant sa porte. Dans le même ordre d’idées, Bouthors parle de l’utilisation de la force par Poutine, mais il ne dit rien de l’utilisation de la force par les Etats-Unis qui depuis au moins 1945 et les bombes atomiques larguées sur le Japon sèment la mort et la désolation aux quatre coins de la planète. La différence entre la Russie et les Etats-Unis est que le premier pays est incarné par un homme, alors que le second persiste dans la même politique quel que soit les présidents. Dire comme Bouthors que les démocraties occidentales sont menacées par Poutine relève de l’imbécilité. Il est impossible quand bien même il le voudrait que Poutine attaque l’Allemagne, la France ou l’Angleterre. Comme je l’ai dit il n’en a pas ni la volonté, ni les moyens. Récupérer des régions où la population est russophone et largement hostile à Kiev est une chose à sa portée, conquérir puis occuper un pays étranger c’est une autre affaire. Mais ce genre de récit fonctionne avec l’idée selon laquelle Poutine est fou, donc imperméable à toute rationalité. Pourtant les événements récents montrent que Poutine est un homme d’Etat très prudent, ne serait-ce que dans la manière utilisée pour préparer la guerre en Ukraine, pour éviter l’effet des sanctions sur son économie et l’effondrement du rouble. 

Evolution de la balance commerciale russe 

Olivier Weber quant à lui coche toutes les cases de la modernité décadente de l’Occident. Elevé aux Etats-Unis par l’Université de San-Francisco, il est comme on dit engagé dans les combats humanitaires, et en outre il enseigne à Sciences Po. Il coche toutes les cases de la bienpensance. C’est un individu assez mal défini, c’est une sorte de Bernard Kouchner en plus jeune. Il aime enfiler les lieux communs. Le dernier lieu commun est que la guerre de Poutine aurait renforcé l’unité du peuple ukrainien. C’est pourtant le contraire qu’il faut comprendre. La guerre en Ukraine n’a pas commencé en 2022 comme les Occidentaux font semblant de le croire, mais en 2014 justement par la division actée du peuple ukrainien, le Donbass faisant sécession d’avec le pouvoir de Kiev. Bien sûr Olivier Weber le sait, mais il ment à la fois pour justifier l’inversion de la cause, mais aussi pour dédouaner l’OTAN de son engagement militaire. Curieusement il ne parle pas des habitants du Donbass, c’est comme s’ils n’existaient pas, comme s’il fallait s’en débarrasser, c’est-à-dire les faire partir de chez eux. C’était d’ailleurs le projet programmé de Zelensky qui voulait lancer l’armée ukrainienne à l’assaut du Donbass au mois de mars 2022, mais ce projet a dû être abandonné parce que justement les Russes sont intervenus avant le massacre. Européiste militant le malheureux Olivier Weber croit non seulement que l’Ukraine est devenue par magie une nation, mais de surcroit qu’elle aspire à rejoindre l’Europe. Il oublie qu’avant la guerre de février 2022, entre 10 et 15 % des Ukrainiens avaient déjà quitté le pays, et que depuis la guerre c’est presque le quart de la population qui est partie et qui n’a aucune intention de revenir. Si une grande partie des Ukrainiens qui sont restés se voudraient européens, au moins un tiers d’entre eux préfère se rapprocher de la Russie, on est très loin d’une nation unie comme fait semblant de la croire Olivier Weber. Comme le montre la carte des langues parlées en Ukraine, il n’y a pas d’unité. Dans ses soi-disant carnets il oublie de nous parler des massacres d’Odessa ou de Kharkov par des néo-nazis financés par la CIA via les équipes de Victoria Nuland qui s’était flattée d’avoir financé le coup d’Etat de l’EuroMaïdan, deux villes où justement la population est très divisée et au bord de la guerre civile. De même il oublie que les troupes russes sont appuyés par l’armée populaire du Donbass qui vivent leur arrivée comme une libération. Olivier Weber veut croire que cette guerre en Ukraine si elle renforce le sentiment national dans ce pays, est aussi une opportunité pour l’Union européenne. Il se trompe lourdement. D’abord parce que pour cela il faudrait que les Européens s’émancipent de la tutelle américaine, ce qu’ils ne sont pas prêts à faire, mais ensuite parce que les Européens sont profondément divisés sur à peu près tout, l’immigration, les sanctions, les livraisons d’armes à l’Ukraine. La démonstration de cela sera encore plus évidente cet automne quand il faudra assumer en Allemagne les coupures de gaz via Nord Stream I, et les conséquences à la fois sur l’économie et sur le moral des consommateurs. En attendant les pays européens se disputent sur une question mineure, celle de l’exclusion de tous les Russes de l’espace Schengen, les furieux Etats baltes et polonais, sont pour reconstruire un rideau de fer comme au bon vieux temps, les autres considèrent qu’on ne peut pas pénaliser tous les Russes. L’unanimité étant requise pour l’application de ce genre de débilité, il suffit que la Hongrie tienne le choc pour que cette mesure ne voit concrètement jamais le jour[2]. 

 

L’Ukraine est une nation très corrompue, sans doute l’une des plus corrompue de l’Europe. C’est connu et périodiquement Zelensky est épinglé pour ses louches entreprises et son évasion fiscale[3]. C’est le même Zelensky qui nous dit qu’il faut couper les ponts avec les Russes, qui exige ceci, cela des Occidentaux, notamment l’interdiction des visas touristiques pour les Russes qui voudraient se rendre en Europe, mais dans le même temps nous apprenons que cet hypocrite loue sa très chic villa italienne de Forte dei Marmi à des Russes pour 50 000 € par mois[4] ! Mais si l’Ukraine est aussi corrompue, c’est bien parce qu’elle est d’abord très divisée. Le fait que, selon un rapport américain, 30% des armes livrées à l’armée ukrainienne arrivent sur le marché noir, le fait que les médicaments livrés disparaissent aussi par camions entiers pour être revendus avec bénéfice[5], montre manifestement que le sentiment national ukrainien n’est pas très en forme. Il est tout à fait possible qu’une nation ukrainienne finisse par émerger de la guerre, mais ce ne sera sûrement pas dans ses frontières actuelles. Cette recréation se fera sans doute en excluant d’une manière ou d’une autre une partie de sa population, la partie russophone, soit en abandonnant le Donbass, soit en obligeant les populations russophones à fuir vers la Russie si l’OTAN parvenait au bout du compte à gagner la guerre ce qui nous semble de plus en plus douteux sans l’aide massive des Etats-Unis. 

 

Les éditions de l’Aube sont décidemment en forme en cette rentrée littéraire. Voici maintenant le morne Alexandre Snegriev qui signe Alexandre S. une sorte de journal intime, Je vous écris de Moscou pour nous dire qu’il a été surpris par la guerre en Ukraine. La guerre c’est insensé, nous dit-il. Sans doute ne suivait-il pas l’actualité de ce qui se passait dans le Donbass, ni même à Odessa ou à Kharkov pour ne pas la voir arriver. Dès lors de quelle autorité morale peut-il se prévaloir pour décider que cette guerre est insensée quand il n’est pas capable de la comprendre autrement que le résultat d’un caprice enfantin de la part de Poutine ? Nina Kéhayan traduit et préface l’ouvrage et donc nous dit ce qu’il faut en penser. Nina Kéhayan est, avec son mari Jean Kéhayan[6], de ces communistes défroqués qui pour dénoncer les crimes de Staline se sont faits les propagandistes de l’impérialisme américain. Cette mouvance antisoviétique qui a émergé dans le sillage de Mai 68 pense que la Russie d’aujourd’hui est lé résurgence de l’URSS ce qui est stupide bien entendu, mais comme l’antisoviétisme est leur fonds de commerce après s’en être servi comme ciment pour la Seconde gauche, ils tentent de le recycler dans un anti-poutinisme primaire. En dehors d’un traité sur l’aubergine, publié aux éditions de l’Aube où elle a son rond de serviette, elle a traduit Alexandre Snegriev. Elle aussi croit savoir que Poutine tout seul a annexé la Crimée, oubliant bien entendu que cette annexion était d’abord le vœu des Criméens, et donc mettant sous le boisseau l’article premier de la Charte des Nations Unies qui garantit le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ne comprenant rien à la Russie d’aujourd’hui non plus qu’à l’Ukraine, elle se croit fine en personnalisant le conflit entre l’Occident et le reste du monde autour de la personnalité de Poutine, qualifié de Moloch. Cette diabolisation stupide lui évite de se poser des questions difficiles sur la question de la mondialisation, et de l’affrontement à venir avec la Chine, comme elle lui permet d’oublier que les Etats-Unis ont semer la guerre et la mort tout autour de la planète depuis au moins 1945 quand ce pays a décidé d’expérimenter la bombe atomique en la lâchant sur Hiroshima, jusqu’aux interventions catastrophique en Afghanistan ou en Irak. Que les Turcs massacrent les Kurdes dans une opération à grande échelle au nord de la Syrie, ou qu’ils aident l’Azerbaïdjan dans sa guerre contre les Arméniens du Haut Karabakh ne lui pose aucun problème, Erdogan est son allié. De même la défense de la démocratie à la sauce atlantiste entraîne une invisibilité de la question Erythréenne qui a déjà causé près de dix fois plus de morts que la guerre en Ukraine. 

 

Le livre d’Alexandre S. est une sorte de journal intime dans lequel il se lamente d’abord parce que la guerre ce n’est pas beau, qui dirait le contraire à part Guillaume Apollinaire ? Mais ensuite parce que les Russes qui globalement soutiennent la guerre en Ukraine ne renversent pas le pouvoir, autrement dit parce que les Russes selon lui ne sont pas assez occidentalisés. De ces lamentations on retiendra celle-ci, Des États-Unis où elle se trouve, ma femme m’a conseillé de faire un stock d’antidépresseurs. J’ai pu en commander grâce à un directeur de pharmacie que je connais. Le prix des médicaments a augmenté. Toute la matinée j’ai lu les informations. Pour le repas, je me suis fait cuire des pâtes, je les ai arrosées d’huile d’olive, j’ai râpé du fromage… et je les ai mangées. J’ai bu un verre de vodka et je me suis couché. Alexandre S. a donc mangé des pâtes et a demandé à sa femme de lui envoyer des antidépresseurs depuis les Etats-Unis d’où elle résiste. De là à en déduire que le couple S. est perméable à la propagande américaine, il n’y a qu’un pas. Alexandre S. veux nous faire croire que si les Russes ne se révoltent pas face au pouvoir c’est parce que les lois sont terribles. Mais lui-même ne semble rien risquer, et de surcroît il sous-estime la rigueur des lois ukrainiennes qui interdisent tout média d’opposition à Zelensky, et qui mettent les opposants en prison. D’analyse sérieuse des causes de la guerre, on en cherchera en vain, de même qu’on ne saura jamais pourquoi 81% des Russes soutiennent Poutine dans cette entreprise[7] : soit ils sont fous par atavisme, soit ils sont conditionnés depuis leur naissance, mais dès qu’on avance que les attitudes sont conditionnées par la propagande, il faut aussi discuter des effets du rouleur compresseur de la propagande occidentale sur des âmes simples comme celles du dépressif Alexandre S. 

 

Alexandre S. cependant nous montre qu’il est un cœur sensible, il nous fait part de la mort de son chinchilla : Kurt, notre chinchilla, est mort. Il aurait eu dix-neuf ans dans deux mois. En 2003, nous avons voulu acheter un hamster ou un cochon d’Inde à la fille de ma femme, mais ma femme a préféré un chinchilla, pour leur air intelligent. C’était à l’époque de notre rencontre : Kurt a le même âge que notre histoire. À présent ma femme vit aux États-Unis, et moi à Moscou. Cette fantaisie animalière doit nous convaincre qu’elle est la marque d’un grand styliste ! On dirait du Yann Moix ou du Virginie Despentes !

L’ensemble donne la curieuse impression qu’Alexandre S. souhaite la défaite de son pays afin que celui-ci redevienne un partenaire de l’Occident et qu’il puisse continuer à voyager et à faire des salons de livres. En attendant il soutient l’Ukraine à sa manière : Pour la première fois de ma vie, j’ai préparé un borchtch. J’ai coupé les carottes, la betterave, le chou, les pommes de terre, l’oignon, et à la fin j’ai ajouté des tomates. En le mangeant, je me suis dit que l’on pouvait qualifier ce borchtch d’action de soutien à l’Ukraine, et le plaisir de le manger, de trahison de la patrie.

Pourtant il ne semble pas que Poutine, le Moloch des Carpates, ait poursuivi de sa vindicte Alexandre S. et d’ailleurs je ne le lui souhaite pas. 

 

Voici enfin le géographe du CNRS à la retraite, Michel Foucher. Celui-ci sait pourtant que les frontières sont mouvantes et soumises à des révisions constantes dans l’histoire[8]. Mais l’opportunisme le pousse à endosser les habits défraichis de la posture de l’indignation macronienne. Pour lui les éditions de l’Aube se sont mises de moitié avec l’hebdomadaire macronien Le 1, fondé sans succès par des journalistes du Monde, pour éditer ses élucubrations qui paraissaient auparavant dans une grande indifférence dans Le 1 que personne ne lit. Il est très content de cette guerre qui lui permet non seulement de faire l’expert à la télévision sur une chaîne de second rang, France 24, mais également de mettre en scène son sentiment anti-russe qu’il tient probablement en héritage de son père des temps de la Guerre froide. Bien qu’il sache très bien que Moscou soutient naturellement les russophones qui pour des raisons indépendantes de leur volonté – conséquence malheureuse de la Perestroïka – se sont retrouvés nationalisés de fait dans des frontières qu’ils ne souhaitaient pas. Il retient donc la fable d’une invasion qui serait sans raison d’un pays souverain, en évitant de parler des populations du Donbass qui ne rêvent que de se libérer du joug de la canaille de Kiev qui travaille pour les Américains et l’OTAN.  Pressé par la nécessité de faire son quota de pages, il ne s’est pas relu et aligne les invraisemblances dans un pensum écrit avec les pieds. Pourquoi publier de telles médiocrités ? Sachant que ce genre d’ouvrage ne rapportera pas un franc, je crois que l’idée des éditions de l’Aube est de participer au travail de propagande de l’atlantisme débridé, tout en touchant quelques subventions qui feront tourner la boutique. Enfilant les lieux communs, il reprend sans précaution l’idée selon laquelle l’Ukraine serait une nation révélée, faisant comme si « l’agression » poutinienne aurait soudé définitivement un peuple autour d’un projet et d’une langue commune, comme si le tiers des russophones acceptait tranquillement de renoncer à son identité et à son histoire. Pire encore Foucher croit que seul Poutine décide de la guerre coloniale pour reconstituer l’Empire de Pierre le Grand. Dans la foulée des platitudes, il nous ressort que la « révolution » de Maïdan qui est de fait une déclaration de guerre contre les populations russophones, était un acte spontané des Ukrainiens. Il ne se pose pas la question de savoir comment et pourquoi les Américains et les équipes de Nuland sont intervenues pour financer ce qui est un coup d’Etat. Il republie également dans cet ouvrage aussi une tribune qu’il avait publiée dans Le monde en 2013 où il évoquait les questions de sécurité de la Russie, en contradiction de ses positions ultérieures. Personne à part moi ne le remarquera, vu que personne ne lit Michel Foucher.


[1] Nils Melzer, L’affaire Assange, histoire d’une persécution politique, Editions critiques, 2022.

[2] https://www.lexpress.fr/actualite/monde/touristes-russes-dans-l-ue-que-change-la-suspension-de-l-accord-sur-les-visas_2179375.html

[3] https://www.humanite.fr/monde/ukraine/ukraine-volodymyr-zelensky-piege-par-les-pandora-papers-723110

[4] https://www.iltirreno.it/toscana/2022/08/31/news/villa-zelensky-affittata-ai-russi-viaggio-a-forte-dei-marmi-la-testimonianza-ho-sentito-parlare-russo-ma-non-fate-il-mio-nome-1.100082310

[5] https://histoireetsociete.com/2022/08/22/des-veterans-de-la-guerre-ukrainienne-sur-la-facon-dont-kiev-a-pille-laide-americaine-gaspille-des-soldats-mis-en-danger-des-civils-et-perdu-la-guerre/

[6] Celui-ci vivant depuis ses jeunes années dans la confusion la plus totale est d’origine arménienne, ses parents ayant réchappés au génocide de 1915. Il fut longtemps, à Marseille, un prosoviétique virulent. Il est aujourd’hui non seulement atlantiste, mais européiste et en plus favorable à une intégration de la Turquie dans l’Europe !

[7] https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-la-popularite-de-vladimir-poutine-a-t-elle-vraiment-bondi-a-83-20220401

[8] Les frontières, CNRS Éditions, 2020

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