lundi 18 septembre 2023

La crise sur l’île de Lampedusa et ses conséquences, économiques, sociales et politiques

 

 

Le 14 septembre 2023 sur l’île de Lampedusa 

Discuter de ce sujet est très difficile et tabou, et on ne se fait pas que des amis. En effet tous ceux qui ne sont pas favorables à une immigration de masse sont considérés comme des fascistes et des racistes, sans cœur donc on ne leur parle pas, et on fait comme si c’était un non sujet, c’est vrai de la gauche qui croit défendre les pauvres en défendant les migrants, mais c’est aussi vrai à droite, chez Macron et même chez les Républicains. La doxa libérale, de Macron à Mélenchon, c’est que l’immigration est une chance pour la France et une opportunité pour la croissance économique, que cela permet de contourner le déficit des naissances et donc de payer sur le long terme les retraites. La différence entre la gauche et la droite porte seulement sur l’accueil, la gauche pense que l’État doit prendre en charge les migrants, les former, les loger, avant que de les faire travailler, supposant que le marché du travail est parfaitement élastique, et la droite pense que le marché y pourvoira. Au début les migrants seront peu payés, seront orientés vers travaux difficiles dans l’agriculture intensive, ou le ramassage des ordures, et ensuite, ils s’élèveront. Sauf évidemment que les Français, comme d’ailleurs les Européens en général sont hostiles à une arrivée continue de migrants, dans des proportions qui varient entre 65 et 80% selon les sondages. Plus que du racisme, cette hostilité reflète une crainte et une saturation qui ne réjouit que les imbéciles du type Benoît Hamon qui, avant de disparaitre heureusement du paysage politique, faisait campagne pour le parti socialiste sur le thème du métissage lors de la campagne présidentielle de 2017, et qui récoltera un peu plus de 6% au premier tour.  Seulement les 13, 14 et 15 septembre, c’est 11 000 personnes, selon Le monde, qui ont débarqué sur l’île de Lampedusa[1]. C’est plus du grand remplacement, c’est une invasion. Les problèmes de Lampedusa ne sont pas nouveaux, mais c’est la première fois que cette petite île fait face à un tel nombre de migrants, d’un seul coup. 

 

Cette petite île de 20 kilomètres carrés est bien connue comme étant la première porte d’entrée sur l’Europe, c’est le point le plus près de la Tunisie utilisé par la mafia sicilienne et par les ONG pour faire leur business. Officiellement elle comprend un peu plus de 6 000 habitants, et le camp pour les réfugiés c’est 400 places. En trois jours, selon Le monde qui a beaucoup varié sur ces chiffres, ce serait 11 000 migrants qui auraient débarqué ! Ça ce sont les données brutes du problème. La première question qui vient à l’esprit est que le nombre de bateaux arrivés sur l’île étant estimé à 200, selon l’OIM[2], il est impossible que le gouvernement italien et Frontex n’aient pas su que cette déferlante arrivait, dans un état d’impréparation incroyable, au point de se demander s’il y a encore un gouvernement à Rome et une commissaire européenne qui s’occupe de ce sujet. Cette question est d’autant plus insupportable que Meloni l’Americana s’était fait élire sur sa volonté de contrôler et de limiter les flux migratoires venus d’Afrique. Elle avait même émis l’idée d’un blocus naval pour endiguer les bateaux de migrants, mais elle y avait renoncé invoquant son coût trop élevé. Les arrivées irrégulières de migrants ont été évaluées dans un premier temps à 114 300 entre janvier et aout 2023. Et la première conséquence de cet afflux sera sans doute de signer la fin de son gouvernement, à la fois pour ses mensonges et pour son incompétence. La seule chose que l’ubuesque Meloni a trouvé à dire pour sa défense, c’est :« La pression migratoire que l'Italie est en train de subir depuis le début de l'année est insoutenable. Elle est fille d'une conjoncture internationale difficile »[3]. Elle n’est pas acoquinée avec Zemmour pour rien. En croyant ainsi repasser le Mistigri à l’Union européenne, elle ne fait que démontrer sa propre inutilité, son incapacité, ou son peu d’envie à affronter la Commission européenne. Cependant, au-delà du cas de la Meloni qui n’a guère d’intérêt, sauf celui de décrire la fourberie de cette femme, il faut se poser la question d’abord de savoir pourquoi l’Union européenne n’a rien vu venir, et conséquemment pourquoi elle n’a rien fait. On a dit que cette masse de migrants est arrivée à bord près de 200 bateaux, ce qui ne passe certainement pas inaperçu. La question est double : ne peut-on pas prévoir cette arrivée, à moins de jouer comme Macron les faux naïfs – qui aurait pu prévoir ? – qui finance ces embarcations ? Ces derniers temps Frontex avait été mis à l’amende par la Commission pour avoir laissé les Grecs renvoyer leur surplus de migrants, sous couvert d’une critique de la gestion de son budget, mais en vérité il s’agissait d’une punition parce que cet organisme n’avait pas suivi les consignes de l’Europe en ce qui concerne une politique de laisser-faire, laisser-passer, ce qui correspond à la doxa libérale[4]. Il est possible que cet organisme qui est le bouc émissaire ait voulu ainsi montrer qu’en réalité ils peuvent jouer un rôle décisif si on le laisse travailler, et donc qu’on ne peut pas se passer d’eux. 

Les migrants débarquent à Lampedusa le 15 septembre 2023 

La situation chaotique de Lampedusa est semblable à celle des îles grecques de Lesbos, Samos, Chios et Kos, qui servent à retenir les migrants qui arrivent par la Turquie, et que de temps à autre Erdogan relâche pour faire chanter la Commission européenne et obtenir quelques milliards supplémentaires[5]. Là c’est probablement le président tunisien, l’ombrageux Kaïs Saïed, qui a voulu se rappeler à l’attention de la Commission. C’est évidemment un chantage. Comme la Lybie il retient sur son sol des Africains contre rémunération de la part de la Commission européenne. On sait que dans les pays du Maghreb la coupe est pleine et que les Maghrébins ne veulent plus de ces migrants qui viennent de l’Afrique noire et qui leur posent des problèmes[6]. Ils les chassent, les traquent, les maltraitent, mais à gauche personne en France ne s’inquiète de dire que les Algériens, les Marocains, les Tunisiens ou les Libyens sont racistes et fascistes, car les racistes, comme vous le dira Houria Bouteldja, ne peuvent être que des blancs. Les Américains et le journal Le monde sont sur la même longueur d’onde quand il s’agit de condamner Frontex qui tente, avec très peu de moyens, de limiter les flux migratoires, c’est-à-dire de faire respecter la loi[7]. Autrement dit les mondialistes poussent, sans le dire, dans le sens d’une ouverture totale des frontières, sans même vouloir comprendre que l’Union européenne dont les finances publiques sont exsangues, ne peut plus assurer ce genre de fantaisie. Ou alors si elle le peut, ce sera au détriment des autochtones, et avec les séquelles qu’on connaît en matière de violences, de délinquance et d’intolérance religieuse. L’Union européenne, telle qu’elle a été voulue par les Etats-Unis, s’appuie sur une doctrine d’ouverture sans réserve… sauf pour les Russes comme on l’a dit ! Mais confrontée à la réalité, il lui faut s’adapter et tenter de limiter les dégâts. Il y a bien un double langage qui est en vérité le reflet de l’échec du modèle libéral et le reflet d’une incapacité à affronter le problème.

Migrants enfermés comme des bêtes à Tripoli 

Les politiciens qui suivent la doxa libérale de l’ouverture sans frein – sauf pour les Russes – gouvernent, que ce soit au niveau de la Commission européenne ou au niveau de la France, contre la volonté populaire. Ils imposent une immigration dont le peuple ne veut pas pour des raisons à la fois culturelles, sociales et économiques. Cette question serait d’ailleurs vite réglée « démocratiquement » par un référendum qu’on se garde bien de faire parce que l’issue serait défavorable aux mondialistes. Macron qui ne fait rien, qui n’a pas d’idée sur ce qu’il faudrait faire, rappelle « le devoir de solidarité européenne », ce qui veut dire clairement qu’il va faire le choix contre les Français de prendre une partie de ce flux migratoire en France[8]. On verra quels pays le feront, mais je pense qu’il y aura des défections. L’argument économique d’une chance pour la France ne marchant plus, il en vient au devoir de solidarité. Étant donné la popularité de Macron[9], il est probable que cela dissuade au contraire les Français de soutenir cette politique d’autant que pour eux, la prolifération des migrants dans les villes de France est associée au déclin du pays et à la montée de la délinquance. Cet épisode fortement médiatisé qui a été monté par les ONG pour forcer la main aux Européens, est un formidable tremplin pour ce qu’on appelle l’extrême droite en Europe, du Rassemble National en France à l’AfD en Allemagne, sauf en Italie où manifestement, sur ce dossier, Meloni a failli – en vérité elle est tout autant inconsistante sur le reste, étant incapable de s’écarter de ce que lui dit de faire la Commission européenne, que ce soit sur la Guerre en Ukraine ou sur l’euro. Mais c’est aussi une critique directe de la Commission européenne, avec le même jour, le 13 septembre, Ylva Johanson, commissaire chargée du dossier de l’immigration qui tricotait de la layette au Parlement européen pendant le discours de von der Leyen. Manifestement elle n’était pas au courant de ce qui se passait à Lampedusa. 

Au Parlement européen, la commissaire à l’immigration fait du tricot, le 13 septembre 2023 pendant le discours de von der Leyen 

Les associations d’aide aux migrants qui sont à l’origine du désastre de Lampedusa sont dans le collimateur. Ces associations ont de l’argent et l’investissent pour faire traverser les migrants. Elles sont évidemment complices des trafiquants de chair humaine sur les deux rives de la Méditerréanée, notamment la mafia sicilienne et les passeurs libyens ou tunisiens qui s’enrichissent sur la misère des migrants. Pour Delphine Rouilleault, directrice générale de France Terre d’Asile, semi-idiote qui gagne sa vie en tant que passeuse d’hommes, « C’est la désorganisation et le non accueil qui nourrit le rejet »[10]. Elle suppose donc que les capacités d’accueil de la France et de l’Europe sont infiniment élastiques, aussi bien sur le plan financier que sur le plan culturel – tout ça fera de bons petits Français – et donc que ce n’est pas un problème que d’accueillir toujours plus de migrants. Pour ces gens, il n’y a aucune limite aux capacités d’absorption, un million, c’est pareil que dix ou cent millions. Delphine Rouilleault minimisera le désastre de Lampedusa en avançant stupidement que ces derniers temps, il y a peu de bateaux de migrants illégaux qui avaient accosté et donc que cette invasion est juste « un simple rattrapage ». Mais la bêtise de la directrice de France Terre d’Asile, est en vérité une bêtise intéressée. L'association France terre d'asile a un budget de 68,249 millions d'euros qui provient presque entièrement des subventions publiques (dont 70 % du ministère de l'Intérieur). Cette association emploie, en sus des bénévoles, plus de 900 salariés, c’est une grosse PME. France Terre d'Asile précise qu'elle ne reçoit pas de subventions, mais « des dotations en contrepartie de prestations réalisées dans le cadre de la mise en œuvre de politiques publiques ». Cet euphémisme prouve évidemment que l’État puissance publique délègue une partie de sa politique – en l’occurrence qui peut entrer sur le territoire en contournant la loi. Donc que si l’État traite de l’immigration légale, il délègue le soin de traiter l’immigration illégale à une structure privée qu’il alimente avec de l’argent public. Le développement des ONG est bien entendu la conséquence du rabaissement continu de l’État dans ses prérogatives régaliennes. Le ministère de l'Intérieur a recensé en France près de 1 500 associations qui viennent en aide aux migrants dès leur arrivée jusqu'à leur parcours administratif. Ces associations sont dans une concurrence féroce pour ramasser des subventions. Mais un paradoxe existe puisque ces associations, pour certaines, sont critiquées par le gouvernement, alors que c'est l'État qui les mandate pour intervenir. Nous restons encore dans le double langage. 

Le 14 septembre 2023 à Lampedusa 

France Terre d’asile n’est pas la seule association à vivre d’argent public et du trafic d’êtres humains, le fait qu’elle ait plus de 900 salariés relativise son bénévolat. SOS Méditerranée, sulfureuse ONG est également alimentée par des subventions publiques. Elle avait été mise en cause par Frontex qui soutenait qu’elle suscitait des migrants parce que c’est de cela qu’elle vit ! Plus elle secourt de migrants, et plus son budget va augmenter. C’est la loi de l’offre et de la demande. Ceux qui trafiquent dans l’humanitaire, on le sait au moins depuis Kouchner, obtiennent à la fois un salaire et un statut, faisant semblant d’être dévoués, ils évitent ainsi de travailler, et peuvent se positionner dans le jeu politique, auréolés de leur pseudo-désintéressement puisqu’ils ont travaillé dans l’humanitaire. Si aujourd’hui ce statut est un peu moins valorisé, cette posture a facilité grandement le recrutement des personnels dédiés. Le spectaculaire du travail des ONG est seulement la preuve de leur compromission avec le monde de la marchandise et rien d’autre. Ces associations bénéficient aussi de dons privés, et évidemment ce ne sont pas les pauvres qui peuvent abonder les finances des ONG qui traficotent du migrant – le migrant c’est la matière première. Le rôle de Georges Soros dans le financement de ces ONG, par le biais de son réseau de l’Open Society Foundation, est critiqué depuis très longtemps[11] et ses boutiques sont bannies de la Hongrie. Soros aurait dépensé une cinquantaine de milliards de dollars pour encourager les migrations dans le sens Sud-Nord. Personne ne peut croire que ses motivations soient philanthropiques. Mais c’est sa contribution à l’avènement d’un ordre social contrôlé au niveau mondial par une poignée de milliardaires. Tout cela n’est pas contradictoire avec le fait que c’est bien la misère qui pousse ces Africains à partir. Remarquons deux choses : d’abord que si l’Afrique est riche, le départ de ses habitants en masse prouve que ces pays sont mal gérés ou corrompus ce qui revient au même. Les coups d’État récents qui ont eu lieu en Afrique on aussi pour origine que ces pays ne sont pas maître de leur destin, mais sous la domination du capitalisme étrangers. La deuxième remarque concerne la qualité de cette population. Ce sont des hommes jeunes, sans femmes, ni enfants. Ce qui semble vouloir dire que ces migrants n’ont pas l’intention de revenir un jour au pays. Se pose alors un autre problème : l’Europe qui est trois fois moins grande que l’Afrique doit accueillir le surplus de sa population, ce qui a terme posera un problème économique évident, l’Europe est vouée à plus ou moins brève échéance à la pénurie alimentaire, parce qu’on considère que l’Afrique possède encore beaucoup de richesses naturelles inexploitées, ce qui n’est pas le cas des vieux pays européens !

 

Si on regarde froidement les choses, au-delà de l’émotion, voilà ce que nous dit la réalité. Que ce soit de la part des migrants, comme des ONG ou même des États qui retiennent des migrants contre de l’argent, il s’agit d’un chantage : quelles que soient vos lois, on ne les respectera pas, et au nom des droits de l’homme, vous serez bien obligé, que cela vous plaise ou non, de nous accueillir, de nous nourrir et de nous loger. Le migrant est ainsi une marchandise qui rapporte. Elle rapporte d’abord aux passeurs, des deux côtés de la Méditerranée, Lampedusa est un segment du marché qui rapporte beaucoup d’argent à la mafia sicilienne, des membres de cette boutique avoueront que les migrants leur rapportent bien plus que le trafic de drogue[12]. Et ça rapporte aussi aux ONG, puis aux États qui sont censés les garder sans les mettre en prison. Et puis ça rapporte aux migrants, peut-être moins que ce qu’ils croient, mais ça leur rapporte tout de même, malgré les risques encourus. A tort ou à raison, le coût est perçu moindre que l’avantage potentiel. Mais globalement c’est payant. Si on se fie aux chiffres donnés par le journal Le monde, pour 123 000 migrants ayant réussi à traverser, 2000 ce seraient noyés, soit 1,6%. Ce pourcentage est très inférieur au risque de mourir pour les Ukrainiens qui font la guerre à la Russie pour le compte de l’Oncle Sam. Les noyés se sont juste des dégâts collatéraux perçus comme tels, en pourcentage de ceux qui arrivent à bon port, Ce n’est pas beaucoup. Bien sûr pour les familles qui perdent dans ce voyage des proches, c’est un drame, personne ne peut le nier. Pour les ONG plus le nombre de noyés est important, plus ils justifient leur « travail ». C’est bon pour la communication et permettra de dire qu’il leur faut encore plus de subventions afin d’acheter des bateaux plus fiables, des gilets de sauvetage et des téléphones portables avec les numéros à appeler lorsque les migrants débarquent. Ça lasse et ça effraye les populations des pays européens bien sûr, mais ça permet aux médias de continuer leur propagande immigrationniste en jouant sur l’indignation du mauvais accueil qui est fait à ces malheureux. La gauche qui n’a plus la possibilité de revenir au gouvernement avant longtemps – en France comme en Italie – s’est trouvé un nouveau rôle, jouer la mouche du coche pour forcer la droite à faire leur politique sur ce terrain. Mais cela ne dérange pas beaucoup la droite de gouvernement qui ainsi se donne une forme de respectabilité droit-de-l’hommiste. 

Migrant noyé au large de la Tunisie 

Le 17 septembre 2023 l’impayable Ursula von der Leyen s’est rendue, avec son sourire commercial, à Lampedusa, elle était accompagnée d’une autre agente des Américains, Meloni. Elles étaient là pour constater les dégâts de leur politique. La première parce qu’elle a toujours freiné Frontex, et la seconde parce qu’elle n’a pas osé la rupture avec la politique immigrationniste de l’UE. Rien n’a été remis en question, Ursula a avancé que l’accueil serait renforcé, qu’on allait dialoguer avec les pays émetteurs de flux, bref, on continuera comme avant. Ces deux femmes ont fait semblant de découvrir le problème et au lieu de s’attaquer à la cause, elles ont à peine effleuré les conséquences. Ylva Johansson les accompagnait, elle avait pour la circonstance abandonné son tricot. Le même jour Le monde révisait son chiffre à la hausse pour ce qui concerne le nombre de migrants qui sont passés à Lampedusa, le journal donnait un chiffre de 127 000 migrants entre janvier et aout 2023, soit plus du double de ce qu’avait connu la même période de 2022[13]. Ce chiffre à lui seul montre qu’elle a été l’inutilité et l’incompétence de Meloni. Les politiciens sont en mode quand l’âne est sorti, on ferme la porte. Des réunions, des sommets sont prévus sur cette question, à l’Europe et à l’ONU. Pourtant l’impuissance de ces deux institutions en la matière montre que la seule voie est celle d’un recours à la souveraineté nationale. La dilution de celle-ci dans des organismes multilatéraux est m’assurance que tout restera comme avant. La seule politique admise par eux est celle d’une régulation par le marché, mais celle-ci ne peut fonctionner qu’avec la destruction complète du tissu social et l’appauvrissement continu des salariés. 

Les deux agentes des Américains examinant les dégâts de leur politique

[1] https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/09/16/crise-des-migrants-a-lampedusa-l-extreme-droite-met-la-pression-sur-emmanuel-macron_6189641_823448.html

[2] https://www.lemonde.fr/international/article/2023/09/16/migrants-la-presidente-de-la-commission-europeenne-va-se-rendre-a-lampedusa-dimanche_6189693_3210.html

[3] https://www.bfmtv.com/international/europe/italie/en-direct-afflux-de-migrants-a-lampedusa-reunion-de-crise-en-cours-au-ministere-de-l-interieur_LN-202309150326.html

[4] https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/video-manque-d-efficacite-lacunes-dans-son-organisation-frontex-l-agence-europeenne-de-surveillance-des-frontieres-est-dans-la-tourmente_5132218.html

[5] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/09/06/comment-l-europe-sous-traite-a-l-afrique-le-controle-des-migrations-1-4-frontex-menace-la-dignite-humaine-et-l-identite-africaine_6188169_3212.html

[6] https://www.lemonde.fr/international/article/2023/07/07/au-maghreb-la-double-peine-des-migrants-subsahariens_6180897_3210.html

[7] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/27/refoulements-en-mer-egee-les-recensements-errones-ou-mensongers-de-frontex_6123944_3210.html

[8] https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/09/15/lampedusa-gerald-darmanin-convoque-une-reunion-et-va-echanger-avec-ses-homologues-allemand-et-italien_6189530_3224.html

[9] Qui est officiellement au début du mois de septembre à 28%, mais qui est sans doute plutôt autour de 20%.

[10] https://www.bfmtv.com/international/europe/italie/migrants-a-lampedusa-c-est-la-desorganisation-et-le-non-accueil-qui-nourrit-le-rejet-pour-delphine-rouilleault-directrice-generale-de-france-terre-d-asile_VN-202309140851.html

[11] https://www.latribune.fr/economie/international/le-milliardaire-george-soros-investit-500-millions-de-dollars-en-faveur-des-migrants-600534.html

[12] https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/video-en-italie-les-migrants-rapportent-plus-que-le-trafic-de-drogue_2014766.html

[13] https://www.lemonde.fr/international/article/2023/09/17/lampedusa-ursula-von-der-leyen-et-giorgia-meloni-en-visite-sur-l-ile_6189769_3210.html

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