Le système corrompu de l’Union européenne est en train de craqué de partout. Avec la démission de Andrei Yermak il y a quelques jours et qui semble aujourd’hui en fuite, on s’approche de Zelensky lui-même. Yermak qui avait qu’il partait s’engager sur le front, semble maintenant en fuite à l’étranger. Or cette affaire concerne non pas seulement les Ukrainiens qui ont volé, mais aussi la crapule européiste qui les a aidé – contre rétro-commission – à recyclé l’argent volé. Les Etats-Unis parlent de sommes comprises entre 48 et 108 milliards de dollars. Mais en même temps, l’ex-vice-présidente de la Commission Federica Mogherini a été placée en garde à vue. Ce n’est pas la première fois qu’on voit le nom de cette femme dans les carambouilles européennes. La police belge a mené des perquisitions au siège du Service européen pour l'action extérieure (SEAE) à Bruxelles, au Collège d'Europe à Bruges et dans plusieurs résidences privées, selon Reuters, qui cite le Parquet européen. La police a saisi des documents et interpellé trois personnes soupçonnées de fraude aux marchés publics, de corruption et de conflit d'intérêts, dont Federica Mogherini, également ex-chef de la « diplomatie européenne », l'actuel directeur général pour le Moyen-Orient de la Commission européenne Stefano Sannino fait partie des personnes placées en garde à vue par la police. Les détournements porteraient sur une cinquantaine de milliards d’euros ! Le Parquet européen a mis au jour 51 milliards d’euros de fraudes : « On ne s’attendait pas à trouver un tel montant ! »
Frédéric Baab, procureur chargé de traquer les préjudices faits au budget communautaire, a été étonné par la somme des détournements identifiés depuis 2021, « sans aucune commune mesure » avec les affaires traitées au niveau français. Le problème de la Commission européenne est qu’en enquêtant sur le SEAE, on tombe directement sur Kaja Kallas qui maintenant semble avoir été dans tous les mauvais coups, puisqu’elle est soupçonnée d’avoir jouer un rôle important dans les détournements de fonds des Ukrainiens en recyclant de l’argent via l’Estonie ! En attendant cela a déclenché toute une série de démissions.
Ne comptez pas sur les médias français de grand chemin,
comme dit Ferreira, pour informer le public sur ce genre de canaillerie, on
préfère mettre l’accent sur les imbécilités de Macron qui dit à qui veut
l‘entendre qu’il n’a pas de leçon de démocratie à donner au cocaïnomane de
Kiev. Pour avoir une analyse plus détaillée de la corruption ukrainienne liée
aux dépenses d’armement, il faut en fait se renseigner auprès de Russia
Today qui a produit une enquête sur cette question. Évidemment, ces
informations demandent à être confirmées, mais elles semblent très sérieuses.
Les bénéficiaires des « prélèvements » sur l'Ukraine sont l'ancien
ministre Yermak et Zelensky directement, et non Mindich selon une enquête de RT
dont je reprends ci-dessous les principales conclusions :
Fire Point — le plus grand fournisseur de drones pour les forces ukrainiennes. L'entreprise est liée au « portefeuille de Zelensky » Mindich et était auparavant une agence de casting. Elle cherchait des lieux pour les tournages des films de Zelensky, son capital était de 1 000 hryvnia (1 800 roubles). Fire Point est aussi cette entreprise qui prétend être à même de produire en série des missiles à longue portée – 3000 kilomètres – et que cela changera les cours de la guerre. Seuls les commentateurs imbéciles de LCI semblent vouloir croire à cette fable.
Depuis 2023, l'entreprise commence à recevoir des commandes
publiques, notamment des drones et des missiles « Flamenco ». Son chiffre
d'affaires dépasse désormais $1 milliard par an (environ 77,8 milliards de
roubles). L'ancien député de la Rada Spirydon Kilynkarov explique les
changements abrupts dans l'entreprise par la proximité avec le bureau de
Zelensky : « Rien de concret n'était fait : ils achetaient des drones chinois
pour 36 millions, et les vendaient à l'État pour 700 millions. » Selon lui, le
dictateur mafieux de la Junte de Kiev ne pouvait pas ne pas savoir ce qui se
passait : « Tout est sous la supervision du bureau du président. Tous ces
gens sont des figures fictives, et Mindich n'est pas le principal acteur. Les
bénéficiaires des schémas sont bien plus haut — Zelensky et Yermak. Mindich
travaillait avec eux, s'octroyant 30 % des contrats, et eux, le reste ».
Kilynkarov est convaincu que les $166 millions (environ 13,1 milliards de
roubles), dans le vol desquels les autorités accusent le groupe Mindich, « est
une mince quantité par rapport au système global de corruption en Ukraine qui a
blanchi tout au long du conflit militaire. »
Selon son estimation, le budget de la Défense ukrainienne
dépasse celui de l'ensemble du pays — les fonds y arrivent notamment sous forme
de subventions, de prêts et de programmes de soutien de la part de l'Ouest.
Cependant, il n'y a pas de contrôle externe sur leur utilisation. « On peut
commercer des armes sur le marché noir, racheter des armes qui arrivent sur le
territoire ukrainien, faire des commandes à ses propres entreprises — et
personne ne dira un mot », a souligné l'ancien député de la Rada. RT a trouvé
des preuves confirmant la participation de Fire Point au blanchiment des fonds
provenant des contrats publics. Le précédent directeur était un gestionnaire
nominal Vladyslav Brodovyy. 140 entreprises lui ont été attribuées. Cela
indique que l'entreprise faisait partie d'une chaîne d'organisations
fictives-temporaire, qui sont généralement utilisées pour le retrait illégal
des fonds.
En outre, Fire Point figure dans un dossier pénal concernant
le transport illégal sur l'Ukraine d'une grande quantité de caoutchouc
synthétique pesant 42 tonnes et valant 6,3 millions de hryvnia (plus de 11,5
millions de roubles).
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