Macron se prend une gifle de
la part de sa femme à la descente de l’avion
Macron n’ayant plus grand-chose à faire, incapable de cadre un gouvernement en pleine dérive s’est ridiculisé encore un peu plus. Il était donc parti pour le Vietnam, soi-disant pour renouer des liens diplomatiques très distendus depuis des décennies. On fait remarquer au passage que le Vietnam a renoué des liens diplomatiques et commerciaux avec les Etats-Unis qui pourtant on fait pis que pendre à ce pays très dynamique aujourd’hui. Cette visite aurait dû être empreinte d’un minimum de dignité. Mais la famille Macron ne connait pas la signification de ce terme. Ce sont des gens à la vulgarité tonitruante qui se font remarquer dans le mauvais sens quoi qu’ils fassent. C’est dans leur nature. Ils ont beau dépenser beaucoup d’argent sur notre compte, ils ont toujours l’air de crémiers endimanchés. La dernière fantaisie de ce couple improbable, c’est de s’être disputé et battu au moment de l’atterrissage de l’avion présidentiel à la vue de tout le monde. C’est misérable, le comportement de deux ivrognes ou de deux drogués. Mais il y a encore pire. Dans un premier temps l’Élysée a commencé par nier, avançant que c’était des fausses images. Mais devant les ricanements des internautes du monde entier, l’Élysée a fait machine arrière admettant une chamaillerie ! Mais cela ne s’est pas arrêté pour autant. Sur les chaînes d’information continu et sur les radios on a envoyé en catastrophe quelques « experts » macroniens pour nous expliquer que tout cela n’était pas très clair, commentant le fait qu’on ne devait pas commenter de telles images. Sur BFMTV ils disaient qu’on ne voyait pas très bien ce qui se passait. Puis ils ont déporté la discussion sur le fait que l’Élysée avait une fois de plus menti. Mais dans la vidéo, tout le monde a vu après la gifle combien Macron avait été surpris et gêné que cela se soit vu.
En juin 2021, Macron avait
mangé une autre beigne lors d’un serrage de mains
Mais ensuite on a encore une fois de plus accusé les Russes.
C’est bien commode. Donc on a avancé que ces images qui avaient été filmées on
ne sait comment avaient été diffusées par des réseaux gérés par les Russes.
C’était un nouveau mensonge, notamment parce que c’était l’agence étatsunienne
AP qui avait filmé cette dispute entre deux ivrognes. Et c’est cette agence qui
a été la première à la diffuser. Nos journalistes de cours prompt à venir au
secours de cet illuminé de Macron, ont bien discuté sur cette question, se sont
les ennemis de la France qui dénigre notre bon président ! Quand on a eu
épuisé la piste des Russes malveillants, il a bien fallu passer à autre chose.
Le ton était d’avancer que des disputes ou des chamailleries, ça fait plus soft,
il y en a dans tous les couples. Cependant la vidéo montre que Macron parait
des coups qui paraissaient assez violents. Ceci dit même si on avance que des
disputes il y en a dans tous les couples, il était clair cette scène de ménage
montraient deux imbéciles qui ne savent pas se tenir, alors qu’ils sont des
personnages publics censés représenter la France. Il est vrai que jamais la
France n’avait été rabaissée autant à travers le monde que depuis que nous
avons le couple Macron pour nous représenter. Macron est une tête à claque,
tout le monde, et pas seulement la sinistre Brigitte, a envie de lui mettre des
gifles. Il y a cinq ans, alors qu’il faisait le malin à serrer des mains, un
jeune homme, nommé Damien Tarel, lui avait administré une claque retentissante.
Le malheureux n’échappa pas à la vindicte de Macron et écopa de 18 mois de
prison. Ces exemples montrent à quel point tout le monde a envie de se
débarrasser de ce sinistre clown. On comprend mieux ce que voulait dire Bernard
Tapie quand il disait que la haine envers Macron n’était pas seulement de la
détestation, mais plutôt que des millions de Français aimeraient bien lui faire
la peau !
L’éphémère premier ministre de Macron, Gabriel Attal, est un autre pitre de choix. Ayant des difficultés à exister sur le plan politique il a choisi un créneau qu’il pense porteur, il veut interdire le port du voile aux enfants de moins de 15 ans au motif qu’ils ne pourraient pas choisir en toute conscience. Évidemment 85% des Français qui n’en peuvent plus de l’islamisation galopante de la société, seront d’accord avec ça. On a compris que comme Retailleau, c’est juste de la com. Mais le journal Le monde qui est parti dans son numéro daté du 27 mai 2025 reparti pour une campagne qui favoriserait l’islamisation de la France, ne l’entend pas de cette oreille. Sous la double signature de Mariama Darame et Nathalie Segaunes, l'article ne discute pas du bien-fondé de la proposition de loi, mais de sa constitutionnalité et des difficultés de l’appliquer ! Bien entendu avouer qu’une telle loi serait inapplicable c’est avouer que la France a déjà perdu sa souveraineté et qu’elle est maintenant une terre islamisée[1]. Dans cet article idiot, vous chercheriez en vain une analyse sur ce que veulent les Français à ce sujet.
Le monde qui n’a jamais aimé vraiment la laïcité trouve que le rapport sur l’entrisme que les Frères musulmans exercent sur les établissements scolaires sous contrat. Le lycée Averroès est depuis de nombreuses années dans le collimateur. Mais Le monde nous explique qu’en fait il n’y a pas d’argument solide pour rompre le contrat. Le seul exact serait « le refus d’une inspection ». Violaine Morin, la plumitive chargée de la défense de l’islamisation des lycées, s’abrite derrière le fait que les inspecteurs de l’éducation nationale n’auraient rien remarqué de suspect ! Je ne vais pas faire le procès de l’inspection académique, ce n’est pas le lieu, mais seulement celui des journalistes du Monde qui jour après jour militent pour le développement d’un enseignement islamiste. Mais il est assez clair à la vue des images dont nous disposons que ce lycée musulman, le seul lycée musulman sous contrait, fait la promotion du voile ! C’est à l’évidence une entorse à la laïcité, mais aussi un bastion où se développe une contre-société islamisée. On voit sur ces photos des enseignantes voilées devant des fillettes voilées. C’est un peu comme si dans nos lycées d’État nous avions encore des curés en soutane pour distribuer le savoir aux enfants. Il va de soi que de défendre le voile dans les lycées et les écoles musulmanes est un recul civilisationnel.
Passons à un autre sujet qui occupe en ce moment le devant
de la scène médiatique. Parmi les débats sans queue ni tête qui animent
aujourd’hui la classe politique, il y a la loi pour le droit de mourir. L’idée
de cette loi qui n’intéresse pas beaucoup de monde se veut humaniste, aider les
personnes qui souffrent trop à ne pas se prolonger au-delà. Mais derrière cette
façade il y a plusieurs problèmes. D’abord on remarque le peu d’enthousiasme
des députés à travailler sur ce sujet. Avec 164 voix pour et 103 voix
contre – principalement venues de la droite et de l’extrême droite –
l’Assemblée nationale a ainsi approuvé l’article-clé établissant cinq
conditions cumulatives. Il y a donc 164 députés sur 577 qui sont pour cette
loi, soit lois d’un sur trois. Pire encore, les députés ont voté un amendement
destiné à alourdir les peines si quelqu’un s’oppose à ce droit, par exemple si
une femme veut encore garder son vieux mari en vie, la peine est portée à deux
ans de prisons et 130 000 € d’amende ! C’est d’ailleurs ce point qui
est le plus controversé. Or pour voter cette connerie, il ne s’est trouvé que
84 députés pour le faire, mais l’article a été adopté car seulement 49 députés
ont voté contre. 14% des députés ont voté pour cette imbécilité. Il semblerait
que sur ce point l’avis des médecins soit supérieur à celui de la famille.
Ainsi va la soi-disant démocratie. On constate que beaucoup de nos feignants de
députés se sont volontairement abstenus en s’éloignant des lieux du débat,
craignant sans doute que leurs électeurs leur reprochent leur position – pour
ou contre – sur ce sujet. Peu de pays en Europe ont légalisé le suicide
assisté : les Pays Bas, la Belgique, le Luxembourg et l’Espagne. Les
réticences tiennent à la fois aux pratiques religieuses qui presque toutes
condamnent ces actions. Le Pape François y était opposé et le nouveau Pape Léon
XIV aussi[2].
Mais cette idée en réalité s’oppose à une autre idée : pendant des
décennies on a mis en avant les progrès de la médecine dans l’allongement de la
vie et dans la limitation des souffrances des malades. Or en disant aujourd’hui
qu’il est moderne de raccourcir la vie pour mettre fin à des souffrances, on
comprend que c’est un vrai renoncement à l’idéologie du progrès dont il s’agit
là. Pendant des décennies on a chanté que le progrès global des sociétés permettait
de reculer l’âge de mourir presqu’indéfiniment, aujourd’hui le progrès réside
dans le fait de pouvoir raccourcir la vie ! Faut-il qu’on vote une loi
pour nous affirmer que nous sommes mortels ?
Dans les pays qui ont déjà adopté ce type de loi, il est clair que le nombre de candidats au suicide assisté a clairement augmenté. Nous le voyons sur le graphique ci-dessus. Mais l’essentiel n’est sans doute pas là : il se trouve dans la disparité entre les deux pays considérés, la Belgique et les Pays-Bas., la Belgique est bien moins peuplée que les Pays-Bas, 11 millions contre 18 millions. Or on note pour 2022 8700 candidats au suicide assisté aux Pays-Bas, contre 3000 en Belgique, soit 2,4 fois moins. Il est assez difficile d’expliquer cet écart, sauf à dire que les habitants des Pays-Bas ont plus d’enthousiasme à vivre que les Belges. Si on projette ces chiffres sur la France, cela concernerait entre 30 000 et 35 000 personnes, ce qui est très peu puisque la France compte près de 70 000 000 de citoyens. Mais cela a suffi à Fondapol, un think tank libéral qui n‘en est plus à une imbécilité près, financé par de grasses subventions publiques, de venir nous raconter que cette loi sur l’euthanasie permettrait de faire des économies substantielles pour la Sécurité Sociale ! 1,4 milliards c’est la somme à laquelle ils arrivent. Comme on le voit, ce genre de discours qui fait primer la comptabilité morbide sur l’intérêt des populations masque les enjeux véritables. C’est un peu comme pour les retraites : en reculant toujours plus l’âge de départ à la retraite, on facilite son paiement, mais plus personne n’y a accès ! Ici, en proposant aux malades de mourir, on sauve la Sécurité sociale.
Finalement les députés ont adopté cette loi le mardi 27 mai 2025. Il semble donc plus facile d’aider les gens à mourir plutôt que de les aider à vivre ! Certains ont comparé cette loi au film Soleil vert. C’est sans doute exagéré, les députés n’ont pas assez d’imagination et de culture pour faire cette comparaison. Plus à droite on a mis sur le même plan la loi sur le suicide assisté et la légalisation de l’avortement, arguant que cela participait de la même culture de mort. Le vote de la loi pour une fois était en phase avec l’opinion publique qui approuvait la démarche à 85%, même si manifestement les Français ne connaissaient pas les détails assez douteux de cette loi et qu’ils ne seront dans leur très grande majorité jamais concernés par l’usage de cette loi. On pourrait voir là un nouveau recul de la religion dans son emprise sur la vie civile, ce qui n’est pas nécessairement un mal. Cependant ce qui pose question c’est que cette loi dans son ensemble donne le pouvoir à l’État et à ses mandants de décider qui va finalement mourir. Certes on comprend que le processus est suffisamment alambiqué pour rendre cet accès difficile, et il est vrai que peu de monde sera concerné par cette loi, mais il semble bien qu’elle soit un premier pas vers l’eugénisme. Mais au fond, elle ne fait que confirmer les tendances récentes du système de soins décomposé qui est le notre et qui oblige déjà, pour faire face à la pénurie de soignant de trier les malades en fonction de leur âge. C’est ce qu’on a vu au moment de la crise du COVID, et ce qu’on voit dans l’accès des plus démunis aux traitements onéreux par exemple contre le cancer.
C’est reparti pour un tour, voilà qu’on nous ressort la
vieille fable du trou de la Sécurité sociale. Il faut dire d’abord que Pierre
Moscovici, ce vieux fainéant, s’emmerde en tant que Président de la Cour des
comptes. Il a besoin de se faire voir. Il faut rappeler que cet individu cumule
son salaire de Président – 12 000 € par mois, avec ses retraites de
Ministre, de parlementaire et de Commissaire européen à l’économie. Il doit
bien toucher dans les 40 000 € par mois, sans compter les petits avantages
annexes. Mais il vient nous expliquer que les dérives de la Sécurité sociale
sont inacceptables, qu’il faut faire des économies. J’entends ça pour ma part
depuis au moins cinquante ans. Il nous dit qu’en 2024 le déficit de la Sécurité
sociale s’est élevé à 15 milliards d’euros, soit 0,4% du PIB. Personne ne nie
que ce déficit existe. Mais la question est : quelles en sont les
causes ? Les cotisations sociales qui alimentent le budget de la Sécurité
sociale sont calculées proportionnellement aux salaires. Mais comme nous le
voyons ci-dessous, la part patronale des cotisations sociales a baissé
drastiquement depuis le début des années quatre-vingts. Cela s’est réalisé, que
le gouvernement soit de gauche ou de droite, au fil des années au nom de la
création d’emplois. C’est évidemment discutable.
Le deuxième point est que le financement de la Sécurité sociale est très dépendant de la croissance économique. Or tendanciellement cette croissance économique en France est orientée à la baisse, notamment depuis l’intégration de la France dans la zone euro. Cette baisse de la croissance en France a été accentuée avec la guerre en Ukraine qui a coupé la France de certains marchés, et qui a globalement affecté l’économie européenne – et donc allemande – depuis 2022. L’autre point très important est que les salaires en France stagnent depuis des années – c’est pourquoi il y a une explosion des fortunes des milliardaires. Autrement dit, les profits se sont emparés des bénéfices de la hausse de la productivité globale des facteurs : Oxfam annonce que le partage des gains de productivité se sont faits ces dernières années dans un rapporte 82%-18% en faveur du capital.
Arrivé à ce point de notre raisonnement on comprend que les solutions pour sauver le budget de la Sécurité sociale ne sont pas très nombreuses : soit en diminue les dépenses, soit on augmente les recettes. Diminuer les dépenses cela veut dire reculer l’âge de départ à la retraite, ce qui ne peut pas être considéré comme un progrès, et en repoussant tout le temps ce départ, on aboutit au fait que seuls les morts seront susceptibles de toucher la retraite pour laquelle ils ont pourtant cotisé. Les Danois ont donné le « la » en la matière. Alors que l’âge de départ à la retraite est déjà de 67, ce pays propose qu’il soit repoussé à 70 ans en 2040, arguant du fait que l’espérance de vie augmente[3]. Ce qui est faux car l’espérance de vie n’augmente plus dans les pays occidentaux et elle a même tendance à reculer. En outre travailler entre 67 ans et 70 ans au contraire diminuerait l’espérance de vie. En France repousser cette date à 70 ans – ce qui plairait beaucoup à la canaille politicienne – poserait deux problèmes difficiles : d’abord quand on a repoussé cette date de 62 ans à 64 ans, cela a donné lieu à des manifestations massives durement réprimées. Ensuite, il faudrait que les personnes âgées puissent trouver un emploi Et on sait que les personnes âgées trouvent très difficilement du travail au-delà de la cinquantaine. On peut également limiter les dépenses sociales, par exemple instaurer un moindre remboursement sur les soins. Mais on sait que cette solution ne peut se réaliser qu’en construisant une dégradation continue des conditions de santé. Il y a bien entendu des dépenses inutiles qu’on peut éliminer, mais cela reste très marginal, d’autant que le principal du trou de la Sécurité sociale provenant de la branche maladie.
Part des salaires dans la
valeur ajoutée
Une autre solution serait d’augmenter les salaires. En effet la masse salariale versée aujourd’hui est évaluée par l’URSSAF à plus de 700 milliards d’euros en 2023[4]. Or les cotisations patronales représenteraient 45% du salaire brut[5]. Si donc nous augmentons les salaires de 10%, soit 70 milliards, il viendrait un excédent pour les comptes sociaux de 70 x 45% = 31,5 milliards d’euros, de quoi couvrir très largement le trou de la Sécurité sociale. Ces calculs sont approximatifs bien sûr, mais ils sont parlant. Le patronat qui a engrangé des profits exceptionnellement élevés depuis quarante ans, va nous dire par l’intermédiaire de ses domestiques de l’Assemblée nationale et du gouvernement que ce faisant on tuerait l’emploi ! Qu’on ne serait plus compétitif ! Mais il y a beau temps maintenant que nous ne sommes plus compétitifs, notre industrie ayant disparu presque complètement. En outre on peut se poser la question de savoir si ce sont les salaires qui sont à l’origine de notre perte de compétitivité ou bien le fait que nous ayons bêtement rejoint la monnaie unique. Le tableau suivant montre d’ailleurs que le niveau des salaires français n’est pas un argument qui expliquerait notre perte de compétitivité. Nos principaux concurrents payent beaucoup mieux leurs salariés. Un argument supplémentaire en faveur d’une hausse générale des salaires est que la France connait en avril 2025 le taux d’inflation le plus faible de la zone euro. Alors quel est le principal obstacle à la hausse générale des salaires ? C’est essentiellement l’opposition du patronat. En effet quand on augmente la masse salariale, on diminue forcément les profits. Les domestiques comme Macron du patronat vous expliqueront qu’une hausse des salaires plomberait l’attractivité de la France. Ils tiennent à la thèse idiote de la théorie du ruissellement, thèse jamais démontrée dans son efficacité par ailleurs. En outre une hausse générale des salaires renforcerait la consommation qui à l’heure actuelle est à la peine.
Salaire brut et net pour 2021 en Europe
Comme on le comprend, le débat sur la Sécurité sociale est biaisé aussi bien par l’ignorance crasse des journalistes que par celle des politiciens de profession. Le but de ce débat est d’aller une fois de plus vers une privatisation des soins, et l’aggravation de la santé publique. Autrement dit ce qui est en jeu c’est une santé à deux vitesses. Ce dualisme a toujours existé, mais si entre 1945 et 1983 il avait tendance à être moindre, il devient de plus en plus important au fil du temps. Une autre manière de rééquilibrer le budget de la Sécurité sociale, ce serait d’abaisser les subventions aux entreprises. Elles ont beaucoup augmenté ces dernières années, alors que les Européistes et Macron nous chantent les vertus de la concurrence libre et non faussée. Ces subventions sont évaluées par le syndicat patronal CFDT à plus de 200 milliards d’euros[6], soit dix fois le trou de la Sécurité sociale. On voit qu’il s’agit là d’un transfert de fonds du secteur public vers le secteur privé, et qui explique pourquoi la France est devenue un désert médical et pourquoi nous ne pouvons pas financer la retraite à soixante ans, il n’y a pas d’argent magique pour l’École, la Santé, mais apparemment il y en a pour financer Zelensky et subventionner le patronat. Cette question centrale est politique, elle est pourtant négligée par les politiciens qui préfèrent perdre leur temps sur des problèmes qui intéressent au fond assez peu de Français. Cependant il est assez clair que cette introduction dans l’opinion des « solutions » pour résoudre le problème du déficit de la Sécurité sociale est d’abord là pour nous préparer au pire, soit au déremboursement de certains soins, soit à un financement privé et individualisé de la couverture santé.
[1]
https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/05/26/la-surenchere-antivoile-de-gabriel-attal-crispe-sa-famille-politique_6608401_823448.html
[2]
https://tribunechretienne.com/ne-faites-pas-ca-lappel-relaye-par-le-pape-leon-xiv-face-a-la-legislation-de-leuthanasie/
[3]
https://www.ouest-france.fr/europe/danemark/au-danemark-la-retraite-va-commencer-a-70-ans-car-lesperance-de-vie-augmente-5de86132-3a22-11f0-9096-11e668431f68
[4]
https://www.urssaf.org/accueil/statistiques/nos-etudes-et-analyses/employeurs/nationale/employeurs-2024/eff-ms-secteurs-bilan2023.html#:~:text=En%202023%2C%20la%20masse%20salariale,8%2C7%20%25%20en%202022.
[5]
https://www.l-expert-comptable.com/a/534274-la-masse-salariale-definition-calcul-et-analyse.html#:~:text=Le%20poids%20de%20la%20masse%20salariale%20pour%20l'entreprise&text=De%20mani%C3%A8re%20g%C3%A9n%C3%A9rale%2C%20les%20cotisations,salariale%20et%20les%20majorations%20diverses.
[6] https://www.cfdt.fr/sinformer/ressources-et-publications/eclairage-economique-combien-de-milliards-daides-publiques-aux-entreprises
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire